A lire : Joakim Noah se lâche dans Sport

Difficile à contacter (mais on ne désespère pas…), Joakim Noah a accordé une interview exclusive à nos confrères de Sport, l’hebdomadaire gratuit disponible dans une dizaine de villes en France.

Dans le numéro qui paraît cette semaine, le fiston Noah fait la Une, et confirme qu’il n’est pas un adepte de la langue de bois.

Voici quelques extraits de son interview.

« J’ai plus d’expérience, je comprends mieux ce qui se passe. La récupération, c’est ce qu’il y a de plus important en NBA. Parfois on joue cinq matchs en une semaine. Il faut un mental d’acier, toujours être prêt à jouer un match. Il faut boire beaucoup d’eau, dormir, ne pas faire le c… le soir. Ma routine est meilleure qu’avant. Parfois, c’est difficile quand tu voyages beaucoup. Tu te retrouves à New York, à Miami. Et le soir, quand tu sais qu’il va y avoir une belle fête sur la plage, c’est dur de ne pas y aller parce que tu as un match important le lendemain. »

« Franchise player, ça ne veut rien dire. Tout simplement parce que ton club peut toujours prendre quelqu’un de meilleur. À tout moment, tu peux être transféré. De mon côté, j’essaie de rester concentré sur le terrain. Aujourd’hui, je sais que je suis bien aimé à Chicago par le public. Mais l’an dernier je me suis fait siffler, ici. J’ai toujours ça à l’esprit. Je veux garder la tête froide et prendre du plaisir sur le terrain. »

« Déjà, j’ai mal au dos parce que je me suis pris des coups de coude de Garnett, alors je ne me prive pas pour le dire. Oui, c’est un sale joueur. Faire ça, ce n’est pas cool. Peu de joueurs en NBA font ça. Et beaucoup pensent la même chose que moi. La différence, c’est que je n’hésite pas à le dire. Quant à Cleveland, si tu y venais, tu verrais qu’il n’y a rien de bien. Les nanas sont grosses, il y a des usines partout. Ce n’est pas une ville qui fait rêver. »

Suite de l’interview sur SportWeek.fr.