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Les blogs de la rédaction

March Madness : les conseils pour construire un « bracket » gagnant

Par  — 

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Nous y sommes ! La March Madness, le tournoi le plus excitant du sport américain, va démarrer cette semaine après l’annonce des soixante-huit équipes sélectionnées hier. Des millions de personnes, en famille, au bureau, ou entre amis, vont remplir leur « bracket » et tenter de prédire les vainqueurs des soixante-trois rencontres du tournoi. Même le président des Etats-Unis, Barack Obama, s’adonne chaque année avec passion à l’élaboration de son bracket.

Mais pour mettre toutes les chances de notre côté, voici un petit guide des choses à faire… ou ne pas faire pour construire un bon bracket. Cela n’empêchera pas une grand-mère de l’Idaho ou un gamin de sept ans de l’Iowa de remporter le premier prix en ayant choisi leurs équipes en fonction de la couleur de leur maillot ou du surnom de l’université. Seuls les résidents américains pourront tenter de gagner le milliard proposé par Warren Buffett… mais cela ne risque pas d’arriver. Les probabilités de remplir un bracket parfait sont en effet de 1 sur 9 223 372 036 854 775 808…

1. Le règne des Seeds 1
Louisville a perpétué la tradition. Les Seed 1 ont gagné six des sept derniers tournois et 11 sur les 15 dernières années. Sur cette période, les Seeds 2 n’ont remporté qu’un seul titre, et les Seeds 3 ont gagné les trois autres. Plus largement, sur le dernier quart de siècle, une seule équipe classée plus bas que Seed 3 a remporté le titre de champion (Arizona, Seed 4 en 1997).

2. Succès tout relatif pour le numéro un absolu !
Depuis dix ans, la NCAA dévoile l’identité du numéro un absolu, supposé être, sur le papier du moins, a remporté le titre à trois reprises (Florida en 2007, Kentucky en 2012 et Louisville en 2013). Les résultats des autres : deux Final Four, une Elite 8 et quatre éliminations au Sweet 16 ou avant… Après les Wildcats et Louisville, jamais deux sans trois cette année ?

1seed

3. Florida ou Wichita State dans l’histoire ?
Les Gators et les Shockers sont les 11e et 12e équipes à terminer la saison régulière de leur conférence invaincus, remporter le tournoi de conférence et être Seed 1 lors de la March Madness. Aucune des dix équipes dans ce cas est parvenue à remporter le titre NCAA. Cette liste inclut Indiana State avec Larry Bird en 1979, Houston avec Akeem Olajuwon en 1983… ou encore Gonzaga l’an passé. Si aucune équipe n’a été championne, quatre ont perdu en finale et toutes ont atteint au moins le stade de l’Elite 8, à l’exception des Bulldogs en 2013.

4. Les Seeds 2 maudits ?
En vingt-neuf ans depuis l’expansion à 64 ou 68 équipes, les Seeds 2 n’ont remporté le titre que quatre fois (la dernière fois en 2004 avec UConn). Cette période de neuf ans sans titre est la plus longue de tous les temps pour les Seeds 2.

5. Au moins un Seed 2 ne passera pas le premier weekend
Sur les dix-sept dernière années, les quatre Seeds 2 n’ont passé le premier week-end (1er et 2e tour) qu’une seule fois (en 2009). Trois Seeds 2 se sont même inclinés dès le premier tour sur les deux dernières années (Missouri et Duke en 2012, et Georgetown, battu par Florida Gulf Coast, en 2013)

6. Les Seeds 3 à l’abri au premier tour, mais après…
Sur les sept dernières March Madness, seuls deux Seeds 3 ont perdu au premier tour (Georgetown  – à nouveau – en 2010, et New Mexico face à Harvard l’an passé). Mais seuls huit sur seize ont passé le cap du deuxième tour depuis trois ans.

7. Les Seeds 4 rarement en finale…
Michigan l’an passé est l’exception qui confirme la règle. Depuis 1979, seuls trois Seeds 4 ont atteint la finale (Syracuse en 1997, Arizona en 1997, et Michigan en 2013).

8. …parce qu’ils ont du mal à passer le premier tour
Un Seed 4 est tombé au combat face à un Seed 13 au premier tour de la March Madness lors des six dernières éditions. Kansas State a été battu par LaSalle l’an dernier.

9. Et si vous choisissez de faire confiance aux Seed 4 au premier tour, attention au 2e tour
Depuis l’expansion du tableau à 64 équipes ou plus en 1985, jamais les quatre Seeds 4 n’ont atteint le Sweet 16. Depuis l’an 2000, trois des quatre Seeds 4 ont passé le premier week-end du tournoi à deux reprises seulement (en 2012 et 2013).

10. Attention aux excès de surprises
L’année passée a été folle avec des victoires de Seeds 13, 14 et 15 au premier tour. Cela n’est arrivé que deux fois (en 1991 et en 2013).

11. Jamais un Seed 5 n’a remporté le titre de champion
Butler (2010), Indiana (2002) et Florida (2000) ont atteint la finale mais jamais un Seed 5 n’a soulevé le trophée de champion, contrairement aux Seeds 6 (deux fois) et Seed 8 (une fois).

12. La malédiction du Seed 7
Jamais un Seed 7 n’a atteint la finale du championnat NCAA et un seul à atteint le Final Four (Virginia en 1984) et seulement sept ont atteint l’Elite 8. Prudence, donc.

13. Pile ou face entre les Seeds 8 et 9
Historiquement parlant, les Seeds 9 mènent par 60 à 56 (2-2 l’an passé) victoires face aux Seeds 8 au premier tour. Mais il est rare de voir un Seed 8 passer le cap du 2e tour. Avec un bilan de 5-55 (dont une victoire pour Wichita State face à Gonzaga l’an passé), il est rare de voir un Seed 9 dominer un Seed 1 pour une place au Sweet 16.

14. Mettez au moins deux équipes ayant un Seed à deux chiffres au Sweet 16
Depuis le début de la décennie, les Seeds à deux chiffres ont la cote. En effet, pas moins de treize équipes du genre ont atteint le Sweet 16 lors des quatre dernières années (trois en 2010, quatre en 2011, trois en 2012, trois en 2013). Il y a eu au moins un Seed 10 ou plus lors de 27 des 29 dernières années depuis l’expansion du bracket à 64/68 équipes, et au moins deux lors de 14 des 17 dernières années.

15. Des Seeds élevés rarement au Final Four
Le Seed le plus faible à avoir atteint le Final Four est le Seed 11. à trois reprises (LSU en 1986, George Mason en 2006 et VCU en 2011). Wichita State, Seed 9 l’an passé, a aussi crée la surprise.

16. Les Seeds 12, dangers permanents
La question qu’il convient de se poser n’est pas de savoir si un Seed 12 va sortir un Seed 5 au premier tour, mais combien vont créer la « surprise ». Hormis en 2000 et 2007, les Seeds 5 ont remporté au moins un match lors de 23 des 25 dernières années et au mons deux lors de 12 des 13 dernières années (trois en 2013).

17. Si vous voulez miser sur un outsider, choisissez un Seed 12
Les Seeds 12 sont un placement sûr pour le Sweet 16. Ils ont atteint le Sweet 16 un total de 20 fois, soit plus que les Seeds 7 (19), Seeds 11 (15), ou encore les Seeds 8 et 9 combinés (15). La raison est simple, les Seeds 12 affrontent les Seeds 5 au premier tour, et les Seeds 4/13 au deuxième tour, évitant ainsi les très gros favoris.

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18. Mais n’en choisissez qu’un seul !
Ne soyez pas trop gourmands. Deux Seeds 12 se sont retrouvés au Sweet 16 qu’une seule fois la même année (2008).

19. Les Seeds 12 au Sweet 16 mais pas plus loin
Si le tableau est propice aux exploits des Seeds 12 le premier weekend, ils n’affichent qu’un bilan de 1-19 (seule victoire en 2002 pour Mizzou, battu au tour suivant) car ils affrontent le plus souvent des Seeds 1 à ce stade de la compétition.

20. Un Seed 13 ça va, deux Seeds 13 bonjour les dégâts
Comme indiqué plus haut, voir un Seed 13 battre un Seed 4 est monnaie courante. Mais deux fois la même année est un fait rare. Cela n’est arrivé que trois fois (1987, 2001, 2008).

21. La tendance va-t-elle se confirmer pour les Seeds 13 au Sweet 16 ?
Seuls six Seeds 13 ont atteint le Sweet 16 (Bradley (2006), Oklahoma (1999), Valparaiso (1998), Richmond (1988), Ohio (2012) et LaSalle (2013)) mais cela est arrivé au cours des deux dernières éditions de la March Madness. En revanche, on attend toujours le premier Seed 13 en Elite 8.

22. Même chose pour les Seeds 15 ?
Sur les 29 dernières années, seuls sept Seeds 15 ont passé le cap du premier tour, mais cela est arrivé trois fois en deux ans. Y’aura-t-il un nouveau Florida Gulf Coast cette année ?

23. Combien de gros « upsets » choisir ?
Depuis 1985, il y a eu 58 grosses surprises (victoires de Seeds 13, 14, 15 ou 16), soit deux par an et neuf de ces équipes ont passé le cap du deuxième tour. Jamais une de ces équipes n’a atteint l’Elite 8.

24. 0 sur 116 : le bilan des Seeds 16
Jamais un Seed 16 n’a battu un Seed 1 au premier tour. L’an passé, Southern a frôlé l’exploit face à Gonzaga (64-58 et un point d’écart à moins de deux minutes de la sirène) et UNC Asheville a également donné des sueurs froides à Syracuse en 2012 (sept points d’écart). Seuls quatorze Seeds 16 ont perdu par moins de dix points d’écart (dont deux l’an passée).

25. Difficile pour deux Seeds 4 d’atteindre l’Elite 8 en même temps
L’année 2013 est l’exception qui confirme la règle avec deux Seeds 4 au Final Four. Depuis 1985, deux Seeds 4 ont atteint l’Elite 8 la même année que trois fois (1990, 1995 et 2013 avec Michigan et Syracuse).

26. Jamais une équipe n’a été championne après avoir perdu son premier match lors de la Champ Week
Gardez un oeil sur les résultats de la Champ Week. Chaque année, plusieurs favoris chutent dès le premier tour de leur tournoi de conférence. Jamais ces équipes n’ont remporté le titre de champion NCAA par la suite.

27. Combien d’upsets choisir au total ?
Pour la quatrième fois en cinq ans, il y a eu exatcement dix surprises au premier tour l’an passé. Depuis 1985, la moyenne annuelle est de 8,2 (victoires de Seeds 9 à 16). Le record est de treize en 2001.

28. Danger provenant du First Four
Attention aux équipes passées par Dayton pour le First Four. En trois ans (depuis l’instauration de ce système), au mons une équipe du genre à passer le premier tour. VCU a même atteint le Final Four en 2011, South Florida a battu Temple en 2012 et LaSalle a atteint le Sweet 16 en 2013.

29. Attention Kentucky, Michigan State, Arizona, Syracuse et Florida…
Depuis 1985, les équipes ayant occupé le fauteuil de numéro un n’ont remporté le titre que 13 fois sur 28. Kentucky et Louisville ont été champions ces deux dernières années en ayant été numéros un.

30. Méfiez vous des repêchés avec un mauvais bilan en match de conférence
Cette année, une seule équipe repêchées possède un bilan de conférence négatif : Oklahoma State (8-10 dans la Big 12). Depuis 1985, 32 équipes ont été repêchées en ayant un mauvais bilan en matchs de conférence, 18 ont passé le premier tour, et 5 se sont qualifiées pour le Sweet 16. Minnesota et Illinois étaient dans ce cas la saison passée et tous deux ont passé un tour.

31. Méfiez-vous des Seeds élevé issus de « petites » conférence
Gonzaga, Saint Louis et Nex Mexico en ont encore une fois apporté la preuve l’an passé. Depuis 1997, il y a eu 36 équipes issues de « petites » conférences à recevoir un Seed de 1 à 4. Dix-neuf n’ont pas passé le premier weekend, et seuls quatre ont atteint le Final Four. Danger pour Wichita State…

32. Difficile pour les petits nouveaux ?
Cal Poly et North Carolina Central joueront la première March Madness de leur histoire cette année. Depuis 1978, sur les 79 équipes dans ce cas, seules 5 ont passé le cap du premier tour… dont Florida Gulf Coast l’an passé et Norfolk State en 2012. Auparavant, cela ne s’était plus produit de l’an 2000. Cela s’explique par le fait que 55 de ces 79 équipes ont reçu un seed 15 ou 16 et affrontaient donc une très grosse écurie d’entrée de jeu.

33. Peu de chances de voir les Seeds 1, 2, 3 et 4 d’une même région au Sweet 16
Depuis l’expansion de 1982, seuls 15 régions sur 116 (12,9%) ont vu leurs quatre têtes de série se qualifier pour le Sweet 16. C’est arrivé une fois l’an passé (Indiana, Miami, Marquette, Syracuse dans la Région Est).

34. Choisissez un outsider en Elite 8
Sur 30 des 35 dernières années, il y a eu au moins un Seed 6 ou plus faible en Elite 8. Wichita State (Seed 9) a joué ce rôle en 2013.

35. Soyez conservateur avec vos choix du Final Four
Depuis quelques années, nuos avons eu droit à deux Seeds 11 (George Mason et VCU) et un Seed 8 (Butler) au Final Four. Pourtant, voir un Seed 6 ou plus faible dans le dernier carré reste un fait exceptionnel. Cela n’est arrivé que cinq fois au cours des 27 derniers tournois.

36. Gardez un oeil sur les rankings d’avant-saison
Treize des seize derniers champions étaient classés dans le Top 9 du ranking d’avant-saison. Curieusement, les trois exceptions n’étaient même pas classés dans le Top 25 (Syracuse en 2003, Florida en 2006 et UConn en 2011). Le Top 9 de cette saison : Kentucky, Michigan State, Louisville, Duke, Kansas, Arizona, Michigan, Syracuse, Oklahoma State.

37. Toujours sur le ranking d’avant-saison…
Depuis l’an 2000, seuls deux Final Four n’avaient pas au moins deux équipes du Top 10 du ranking de pré-saison (2006 et 2011).

38. Deux équipes de la même conférence au Final Four ?
Lors de 17 des 22 premières années après l’expansion du tableau à 64/68 équipes (1985), il y a eu deux équipes d’une même conférence au Final Four. Cette tendance est en phase de disparition puisque cela n’est arrivé que deux fois en sept ans (dont l’an passé avec Louisville et Syracuse pour la Big East).

39. Les quatre Seeds 1 au Final Four ? Peu de chance…
Depuis 1979, les quatre Seeds 1 n’ont atteint le Final Four qu’une seule fois (en 2008). Il y a eu au moins un Seed 1 lors de 28 des 35 dernières March Madness.

40. La Mountain West faiblarde lors de la March Madness
Malgré cinq qualifiés l’an passé, la Mountain West n’a pas réussi à inverser la tendance. Le bilan de la conférence n’est que de 17-38 au cours de ses quatorze années d’existance. Jamais un membre de la MWC n’a atteint l’Elite 8. Malgré un Seed 3, New Mexico a chuté dès le premier tour l’an dernier.

41. L’ACC mal en point
Depuis trois ans, l’ACC n’a placé aucune équipe au Final Four (et cinq fois en huit ans). De 1985 à 2005, seuls quatre Final Four se sont déroulés dans membres de cette conférence. L’arrivée de Syracuse ou Pitt va-t-elle changer les choses ?

42. Miser sur l’Ohio Valley ?
De 1990 à 2009, jamais l’Ohio Valley n’a vu son champion remporter un match à la March Madness. Mais l’OVC reste sur trois victoires en quatre ans… A Eastern Kentucky de jouer.

43. L’Ivy League pour un « upset » ?
Pendant plus de dix ans, l’Ivy League a été la risée de la NCAA. Mais depuis 2010, la conférence des « intellos » est de retour au premier plan. Cornell a atteint le Sweet 16 en 2010, Princeton a failli créer l’expoit face à Kentucky en 2011 et Harvard a fait de même face à Vanderbilt en 2012 avant de battre New Mexico au premier tour en 2013. Les Crimson sont de retour cette année.

45. Stephen F. Austin, un choix risqué
Malgré un excellent bilan de 31-2, méfiez-vous de Stephen F. Austin. Les champions de la Southland restent sur 26 défaites en 27 ans et seulement deux matchs ont été perdus par moins de dix points. L’an passé, Northwestern State a été écrasé par Florida (79-47).

46. Même chose pour l’America East
L’America East reste sur 15 défaites en 16 ans, toutes par au moins dix points. Albany a chuté de douze points l’an passé (73-61 face à Duke). Les Great Danes seront de retour cette année…

47. La NEC toujours à la recherche de sa première victoire
Jamais la NEC n’a remporté de match dans le tableau final (bilan de 0-32). La NEC a remporté trois fois le « play in game » mais LIU Brooklyn a chuté dès ce stade la compétition l’an passé. Ne comptez pas sur Mount St. Mary’s pour faire mieux…

48. Onze défaites maximum
Jamais une équipe n’a été championne NCAA en ayant concédé plus de onze défaites pendant la saison. Ce record est celui de Kansas, champion en 1988 avec Larry Brown comme coach et Danny Manning comme joueur vedette. Oklahoma State a perdu douze fois cette saison. Cal Poly totalise dix-neuf défaites, le plus grand total cette année.

49. Une bien longue attente pour la Pac-12 et la Big Ten
Plusieurs conférences majeures n’ont plus remporté le titre de champion NCAA depuis des lustres. C’est le cas de la Pac-12, qui attend un titre depuis Arizona en 1997 ou de la Big Ten, depuis l’an 2000. Une bien longue attente. Cette année, ces deux conférences auront chacune six équipes dans le tableau. Arizona sera seed 1, Michigan et Wisconsin seeds 2.

50. Jouez à « domicile », un avantage non négligeable
Les meilleures équipes sont en générale placées le plus près possible de leur campus. Ainsi, Florida jouera à Orlando, Duke à Raleigh ou encore Wisconsin à Milwaukee. Mais attention, cela peut parfois avantager des équipes moins bien classées. Quelques exemples (hypothétiques) cette année : Baylor-Creighton à San Antonio (2e tour), Louisville-Wichita State à Indianapolis (Sweet 16), San Diego State-Arizona à Anaheim (Sweet 16), Villanova-Virginia à New York (Elite 8).

Enfin, mes derniers conseils

Commencer par le vainqueur et construisez votre bracket à l’envers
Il est bien plus facile de commencer par le vainqueur, puis le finaliste, puis les demi-finalistes et ainsi de suite pour remplir son bracket. Cela permet d’éviter beaucoup d’hésitations sur les choix du premier tour.

Ne regardez pas les Seeds pour les duels entre les 6-11, 7-10 et 8-9
Bien trop souvent, on constate que les Seeds 6, 7 ou 8 sont choisis pour passer le premier tour simplement parce qu’ils sont favori sur un plan numérique. Mais pensez à l’exemple du tennis. Lors d’un duel entre le 29e et le 33e mondial, y’a-t-il réellement un favori ? Cela dépend de la forme du moment, des matchups…

Le coeur et la tête
Construire son bracket n’est pas une science exacte mais requiert un minimum de rigueur, surtout dans les tours les plus lointains. Laissez parler votre coeur pour le premier tour, mais fiez vous à votre cerveau par la suite.

Et en dernier ressort…
Imprimez le bracket et lancez une fléchette pour déterminer le vainqueur. Cela ne vous donnera (peut-être) pas moins de chance de l’emporter :)

Comment jouer ?

Pour participer, rien de plus simple. Il vous suffit de cliquer sur ce lien pour accéder au site d’ESPN et à la page spécifique à notre challenge (nom du groupe : Basket USA 2014). Afin de vous inscrire à cette ligue privée, vous aurez besoin d’indiquer le mot de passe : busa2014.

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