Kobe Bryant : « Dwight Howard est un gros nounours »

Avec la blessure de Julius Randle, c’est l’image de ce premier match entre les Lakers et les Rockets : Kobe Bryant et Dwight Howard en plein trash-talking.

Les deux joueurs ont échangé quelques mots, et en conférence de presse, Kobe Bryant est revenu sur cette petite altercation.

« Il m’a donné un coup de coude dans le visage et je lui ai fait savoir que je n’aimais pas ça. C’est aussi simple que ça », raconte l’arrière des Lakers.

Kobe Bryant a lancé un « soft » à son ancien coéquipier, qui pourrait aussi être destiné aux arbitres et à la ligue puisqu’il a regretté le fait d’avoir pris une faute, et qu’Howard ait été sanctionné d’une faute flagrante.

« C’est fantastique », ironise-t-il. « C’est le jeu, et ça en fait partie. Les coudes font partie de ce jeu, le trash-talking aussi. Je ne sais pas pourquoi la NBA est devenue si sensible… Howard est un bon gars, un gros nounours et quand on se retrouve sur un terrain, la compétition prend le dessus. »

« Je n’ai pas quitté L.A car j’avais peur de Kobe »

Le pivot des Rockets ne s’est pas étalé sur la question, il a simplement retenu la victoire.

« Je ne vais rien vous dire », balance-t-il aux journalistes. « Ce serait stupide de vous donner des choses à écrire… On a gagné le match, point barre. Inutile d’en parler. Je suis passé à autre chose. »

Avant le match, le pivot des Rockets avait été bien plus bavard pour expliquer qu’il n’avait pas quitté les Lakers à cause de… Kobe Bryant.

« Je n’ai pas quitté L.A car j’avais peur de Kobe. J’ai choisi une bonne situation pour moi. Je ne peux pas changer les opinions des autres, mais j’ai fait ce qu’il fallait pour moi. Chacun a des raisons différentes pour justifier son départ dans une autre équipe. Mais c’est du passé, il n’y a plus besoin d’en parler. Ça arrive. Nous avons joué ensemble un an. Toute l’équipe était blessée, nous n’avons pas vraiment eu la chance de faire ce que nous avions prévu. Ces choses arrivent. C’est la vie. Je pense que tout le monde doit aller de l’avant et s’inquiéter de sa propre équipe. »