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Pour cette Draft pas comme les autres, les Wolves ont consulté des spécialistes d’autres sports

Face à une Draft difficile à lire et compliquée à organiser, la franchise de Minnesota a tenté de trouver des solutions adaptées pour faire le meilleur choix possible.

Entre une cuvée homogène où ne se dégage aucun talent en particulier et une préparation compliquée par la pandémie de Covid-19, les Wolves peuvent certes se réjouir d’avoir obtenu le premier choix de Draft mais leur travail n’a pas été facilité cette année.

Sans oublier qu’une nouvelle difficulté intervient à Minnesota : avec les présences dans l’effectif de Karl-Anthony Towns et de D’Angelo Russell, la franchise a surtout besoin d’un élément compatible avec ses deux All-Stars.

Comment être certain de faire le bon choix face à une Draft floue à lire et pas facile à organiser puisque les contacts avec les prospects sont limités ? Il a fallu trouver des solutions, ce que les Wolves ont tenté de faire, en allant dans plusieurs directions.

En observant James Wiseman par exemple, les dirigeants ont voulu imaginer un duo d’intérieurs avec Karl-Anthony Towns. Ils ont donc non seulement échangé avec son coach à Memphis, Penny Hardaway, mais également contacté Rudy Tomjanovich, ancien coach de Houston dans les années 1990 et qui fut assistant lors des saisons des « tours jumelles », Hakeem Olajuwon et Ralph Sampson, afin d’évoquer la cohabitation entre deux forts intérieurs.

Des conseils qui viennent de Rudy Tomjanovich comme d’équipes NFL ou MBL

Comme chaque détail va compter dans ce processus, les Wolves peuvent s’appuyer sur Robby Sikka, un ancien anesthésiste, désormais vice-président de la franchise au département performance et technologie. Il est également en charge des procédures qui touchent le Covid-19. C’est lui qui est derrière les idées pour analyser physiquement les joueurs, alors que tout devait se faire à distance.

Il n’a pas hésité à joindre des équipes NFL, comme les Seahawks, Eagles, Vikings et les Steelers, ou de MLB, comme les Yankees par exemple, qui ont déjà drafté virtuellement afin de recueillir leur observations et leurs conseils.

« On a appelé des franchises NFL pour savoir comment elles géraient le fait de manquer d’examens physiques », explique Robby Sikka à ESPN. « Elles manquaient de données. Comment faire alors ? »

Pour rappel, les équipes NBA peuvent rencontrer un joueur pendant quatre heures et lui faire passer un essai d’une durée d’une heure seulement. Quant aux entretiens en visioconférence, ils sont limités à quatre heures. C’est peu, mais c’est mieux que rien.

« Je le dis chaque année, et c’est un défi pour notre staff : on ne sait rien », constate le président des Wolves, Gersson Rosas. « On pense en fonction des classements, des prospects, des opinions générales. Mais au fond, on ne sait rien. Voilà pourquoi ce processus est important pour évaluer les talents. Il y a du talent dans chaque Draft, c’est à nous de le trouver. »

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