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Brad Stevens n’a pas de doute sur l’adaptation de John Beilein en NBA

Le coach des Celtics estime que son ancien adversaire en NCAA va rapidement s’adapter à la grande ligue, car il a davantage d’expérience que lui au moment de son arrivée.

Cette saison, quand il affrontera les Cavaliers, Brad Stevens aura la sensation de revivre ses années NCAA à Butler. En effet, il retrouvera sur le banc adverse John Beilein, qui a coaché au plus haut niveau à l’université pendant presque trente ans (depuis 1992) et notamment les douze dernières années à Michigan.

« C’est un grand coach. On s’est beaucoup croisé en NCAA », raconte le coach des Celtics sur Cleveland.com. « Quand on affronte John Beilein, on sait qu’on va vivre une vraie bataille, qu’elle sera juste, et qu’il fera les choses comme il faut. J’ai énormément de respect pour lui. C’est un sacré coach et il fera du très bon boulot à Cleveland. Il coache depuis bien plus longtemps que moi. Il avait déjà vingt ans de coaching à mon âge. Il n’a jamais été assistant. Il va donc s’adapter plus vite que moi. »

Les deux hommes n’ont pas le même âge, mais pour Brad Stevens, le grand saut n’est pas forcément une question d’expérience, mais surtout du timing.

« Tout dépend des circonstances. Une des meilleures choses, c’est le formidable leadership des dirigeants et des patrons. Ils ne montent pas dans les tours après un match, une semaine ou un mois. Ils gardent le cap. J’aime beaucoup ça. Il est donc capital de trouver le bon environnement. Je ne connais pas les autres franchises mais quand on vient de l’université, avec cette sécurité de l’emploi, il faut se poser la question des turbulences. »

Bien gérer le calendrier

Forcément, quelques conseils ont été donnés. « La première saison est un apprentissage, en terme de calendrier », poursuit Brad Stevens. « C’est une sacrée charge. En mars, on accuse le coup avec une expérience jamais ressentie physiquement. Chaque fois qu’on affronte quelque chose, on apprend dans ces moments-là. Il faut faire attention à sa santé. La calendrier est bien plus difficile en NBA, mais l’été est bien meilleur. »

Bien qu’il coache depuis 1975, le nouveau coach des Cavaliers est conscient qu’il va entrer dans un monde bien différent du cocon universitaire. « Le style de la NBA, le rythme, l’enchaînement des matches, la vitesse, l’horloge des 24 secondes », raconte de son côté John Beilein, sur les dossiers évoqués par son homologue de Boston. « Après sa quatrième année, on en avait parlé et il m’avait dit qu’il était dans une bonne dynamique car il comprenait enfin le rythme. C’est ce que je dois réussir à faire, à trouver le mien. Comment peut-on aller le plus vite possible sans trop peser sur les joueurs ? Comment reste-t-on en bonne santé ? Tout est question d’équilibre pour moi en ce moment. »

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