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L’humeur du vendredi : Que cette finale était belle !

au-rebondN’en déplaise aux irréductibles fans de LeBron James et des Cleveland Cavaliers ou aux amoureux du jeu d’attaque de Steve Nash et des Phoenix Suns, mais cette finale était belle ! Je sais, Lakers contre Celtics, c’est du déjà vu. Ces deux franchises s’affrontaient cette année pour la douzième fois depuis leur création. Et même pour la deuxième fois en trois saisons. Mais que voulez-vous ? C’est ainsi, les grandes équipes et les grands joueurs se disputent souvent la place de numéro 1.

Déjà, cette finale nous a offert du suspense. Certes, aucune rencontre n’est allée en prolongation et nous n’avons assisté à aucun panier au buzzer pour la victoire, mais la série a duré sept rencontres. Rien que pour cela, ces finales entrent dans l’histoire. Un Game 7 pour décider du champion NBA, c’est un peu comme la finale de Pro A à Bercy. Plus sérieusement, l’excitation, l’électricité, la nervosité, la tension qu’une telle rencontre procure ne laissent personne indifférent. Même le public de Los Angeles, plus connu pour rester calme, a pris feu dans le dernier quart-temps la nuit dernière. C’est dire. Et hormis pour les matches 1 et 6, le score final s’est toujours décidé dans les dernières minutes, les deux équipes se livrant à chaque fois sans retenue.

Certains diront que niveau highlights, ce n’était pas très spectaculaire. Je veux bien, la défense a pris le pas sur l’attaque et il était davantage question de combats de tranchée que de showtime. Sauf qu’en ce qui me concerne, les finales NBA, ce n’est pas un All Star Game. Alors voir des dunks et des contre-attaques pendant 48 minutes, c’est peut-être amusant, mais c’est surtout lassant. Tout le contraire des guerres tactiques que se sont livrées Phil Jackson et Doc Rivers. On l’a vu, la bataille du rebond a été déterminante et l’équipe qui en récupérait le plus a toujours fini par l’emporter. Et puis voir la façon dont Ray Allen utilise trois ou quatre écrans pour récupérer la balle derrière la ligne à trois-points, n’est-ce pas franchement un modèle d’exécution ?

La suite sur Au rebond.

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