Lonzo Ball est né à Los Angeles, y a grandi, a choisi UCLA comme université et son père a d’ores et déjà annoncé qu’il n’effectuerait qu’un seul workout avant la Draft : avec les Lakers.
De quoi décourager Danny Ainge de le sélectionner avec son first pick ?
« Non, pas du tout. On comprend qu’il est de Los Angeles, mais on va drafter le joueur qui peut aider les Celtics, et peu importe où il aimerait jouer. »
N’en déplaise à son père LaVar, pour qui il n’existe pas d’autre option que la Cité de Anges, Lonzo Ball pourrait suivre les pas d’un autre « L.A. Product » drafté par l’ennemi Boston : Paul Pierce. Avec la réussite qu’on lui connaît…
« Il y aura plus de discussions autour de ce premier choix »
La grande question dans le Massachusetts est désormais de savoir ce que le GM va faire avec ce premier choix. Les meilleurs joueurs disponibles sont des meneurs de jeu, ce dont la franchise n’a pas vraiment besoin puisqu’elle possède Isaiah Thomas. À l’inverse d’un ailier ou d’un intérieur de calibre All-Star qu’elle pourrait attirer avec ce first pick.
Danny Ainge compte d’ailleurs bien étudier les différentes offres, revues à la hausse depuis la trade deadline.
« Forcément, quand on transfère un pick, on transfère la possibilité d’être n°1″ explique-t-il à Sporting News en référence aux discussions de février. « Même s’il y avait seulement 25% de chances, les équipes qui l’auraient pris à la trade deadline auraient eu 75% de chances de ne pas être n°1. C’est comme ça que les équipes voient les choses, et c’est probablement pour ça qu’on n’a pas effectué d’échange. Maintenant, la situation est plus limpide, et il y aura plus de discussions autour de ce first pick et sa valeur. »
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