À quelques heures de la free agency, la NBA a dévoilé le nouveau montant du « salary cap », et il est fixé à 109.1 millions de dollars. C’est sept millions de plus que la saison passée, et ce n’est évidemment pas négligeable pour les ténors de la ligue qui cherchent le moindre million supplémentaire pour recruter.
Les franchises pourront déborder jusqu’à 132 millions avant d’entrer dans la « luxury tax », et elles devront dépenser au moins 98.2 millions de dollars. On rappelle que si une franchise ne dépense pas assez en salaire, la somme restante est alors partagée entre tous les joueurs.
Cette augmentation du salary cap fait aussi bondir les « exceptions », ces contrats qui permettent aux franchises de recruter même lorsqu’elles sont dans le rouge. Ainsi, la « mid-level exception » passe à 9.3 millions de dollars pour les équipes qui n’ont pas payé la luxury tax en 2019 et à 5.7 millions de dollars pour celles qui ont payé la luxury tax.
Les prévisions pour 2020/21 misent sur un salary cap de 116 millions et une luxury tax fixée à 141 millions.