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Le Texas et Chris Paul, deux arguments de poids pour P.J. Tucker

Sorti de l’université de Texas comme Kevin Durant, P.J. Tucker est aussi un proche de Chris Paul. Les deux se connaissent depuis le plus jeune âge puisqu’ils ont inscrit leurs premiers paniers en Caroline du Nord, et lorsque l’ancien défenseur des Suns a appris que les Rockets voulaient le recruter, il n’a pas hésité une seconde…

« Revenir au Texas était la cerise sur le gâteau » explique-t-il au Houston Chronicle. « C’est super de revenir dans ma famille Longhorn (ndlr : surnom des joueurs de l’université de Texas). Ça compte énormément pour moi de revenir ici, là où tout a commencé. Ensuite, Chris est un bon pote, et c’était un choix facile. C’était naturel. Toronto possède une flopée de joueurs que j’adore et que je respecte. J’ai passé un super moment là-bas, mais Houston était le bon choix. Pour moi, c’était simplement naturel. »

« A chaque fin de match, la plupart des équipes font jouer un ailier au poste 4 »

Comme Chris Paul, P.J. Tucker est réputé pour sa défense, et il pense qu’il n’y aura aucun problème d’adaptation.

« Je n’ai même pas eu à poser de questions. Je connais le système de Mike D’Antoni. Je sais comment ça fonctionne, et je pense pouvoir m’adapter à n’importe quel type de défense. Une fois que vous possédez les fondamentaux de la défense collective, ça rend les choses plus faciles. C’est pour ça que je suis désormais un membre des Houston Rockets. »

Signé pour 32 millions sur quatre ans, il prouve du même coup qu’on peut décrocher, à 33 ans, un beau contrat en étant un spécialiste défensif, mais aussi en étant un joueur polyvalent.

« Lorsque je suis sorti de la fac, ne pas avoir de poste fixe et de position naturelle était le plus gros handicap » se souvient-il. « Aujourd’hui, c’est ce dont on parle le plus : être capable de switcher sur les joueurs et de défendre sur toutes les positions. Surtout au regard des attaques jouées aujourd’hui, c’est un atout. Avant c’était un handicap, mais je pense que le jeu a changé en mieux. Aujourd’hui, à chaque fin de match, la plupart des équipes font jouer un ailier au poste 4. C’est presque devenu naturel. Un gars comme Draymond Green, autrefois, aurait été un 3, un deuxième arrière. Là, il joue 4, et souvent en 5. »

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