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À Golden State, la gourmandise n’est pas un vilain défaut

À la conquête d’un troisième titre d’affilée et d’un quatrième en cinq ans, les Warriors n’ont pas vraiment besoin qu’on les pique au vif pour être motivés, et Steve Kerr met en avant l’ambition historique de ses joueurs. Plus les Warriors gagnent de titre, plus ils s’assurent individuellement et collectivement une place au Panthéon de la NBA.

« Quand on parle de superstars, de Michael Jordan, Stephen Curry, Kevin Durant… la motivation au fond de soi vient parfois du fait d’être gourmand en matière de titres et de la place qu’on veut laisser dans l’histoire de la NBA » explique le coach à The Athletic. « Comme coach, je n’utilise pas ça comme une carotte mais je pense que beaucoup de superstars ont sans doute ça en tête. Ils ne peuvent pas s’en écarter. On est champion. À un moment, des joueurs comme Steph ou KD deviennent simplement plus gourmands : « Visons Magic. Visons MJ. Allez ! »

Gagner avec passion

En remportant un troisième titre de rang, les Warriors rejoindraient les Lakers, les Celtics ou encore les Bulls dans l’histoire des « three-peat », et pour Stephen Curry, on ne peut pas se lasser de gagner.

« On ne peut pas perdre la passion. L’autre jour, Draymond en parlait à l’entraînement » raconte le meneur All-Star. « La frontière est mince entre le fait de se montrer, et celui de vraiment défendre et de jouer avec passion. Ce que je veux dire, c’est qu’on peut ne pas gagner, mais on ne peut pas perdre cet atout. Ce n’est bon pour personne. »

La victoire arrachée à Utah et leur enthousiasme après le « game winner » de Jonas Jerebko prouvent que les Warriors n’ont effectivement rien perdu de « cette passion ». Si certains donnent l’impression d’avoir toujours été au sommet, d’autres ont galéré pour en arriver là, et ils sont là pour le rappeler.

« J’ai joué pour des équipes qui perdaient, et donc j’apprécie de gagner » conclut Shaun Livingston. « Je n’oublie jamais par où j’en suis passé. J’ai joué pour des équipes qui gagnaient 25 matchs par an. Des équipes qui prenaient des fessées, à finir avec 30 points d’écart. J’ai continué à jouer dur, à me faire un nom tout seul, à essayer de revenir en NBA… »

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