En opérant un changement de carrière radical, passant du basket au beach volley, et avec les Jeux olympiques 2020 dans le viseur, Chase Budinger découvre un nouveau monde.
Il a abandonné les sneakers pour le soleil et le sable, et il y a forcément pire comme contexte pour faire du sport.
« C’est un mode de vie agréable », explique-t-il. « On va à la plage et c’est notre lieu de travail. On a le soleil et on est juste à côté de l’océan. Difficile de faire mieux. »
Seulement, ce qui demeure un point positif évident est également un paramètre à prendre en compte.
« Le truc, c’est que je ne m’attendais pas à devoir jouer avec tous ces éléments. Il faut composer avec le soleil, la chaleur, l’humidité, le vent. On peut commencer une rencontre sans vent et, à la fin, il se lève. Il faut s’ajuster et c’est ma plus grande phase d’apprentissage. »
Et techniquement ?
« Je dois bosser sur mes contres. C’est ce qui me frustre le plus, donc je vais devoir m’améliorer pour devenir meilleur. »