Evan Turner a donc décidé de rejoindre Boston pour une partie de la « mid-level exception de l’équipe. Pour les Celtics, c’est un pari à bas coût. S’il joue bien, l’ancien Sixer peut d’ailleurs devenir une pièce intéressante en cas de trade à monter en cours de saison.
Mais pour l’ancien numéro 2 de la Draft, il est surtout important de rebondir.
« Des équipes lui ont offert des contrats d’un an. D’autres lui ont proposé des contrats sur plusieurs années », affirme son agent, David Falk. « Mais le contrat était secondaire. C’est l’environnement qui primait ».
Avec Rajon Rondo, Marcus Smart, Avery Bradley ou encore Marcus Thornton déjà sur les lignes arrières, Evan Turner a-t-il vraiment signé dans le meilleur environnement possible ? Pour son agent, la réponse est oui. Notamment parce que le coach Brad Stevens le connait depuis longtemps.
« Boston a plus ou moins été notre destination primaire depuis le début. Je pensais qu’il avait avant tout besoin de retrouver une relation similaire à celle qu’il avait avec Brett Brown à Philadelphia, et qui marchait très bien. On regardait l’environnement, plutôt que l’emplacement. Brad connait Evan depuis le lycée et nous pensons que les relations que les coaches universitaires ont avec leurs joueurs est plus proche de ce qu’il a connu avec Brett Brown ».
D’après David Falk, Evan Turner est ainsi « impatient de jouer pour Brad Stevens ».