Comme Mickaël Gelabale et Chris Johnson du côté de Minnesota, Chris Andersen a vu ses deux contrats de 10 jours transformés en un contrat jusqu’à la fin de la saison.
Seul joueur du Heat appelé par son surnom (« Birdman ») par Erik Spoelstra, l’ancien intérieur de Denver avait reçu le soutien de ses coéquipiers, et plus particulièrement de LeBron James.
Avec ses 3.7 pts et 4 rbds par match en 10 minutes de moyenne, Anderson est rentable, et son envergure lui permet de jouer les intimidateurs. Exactement ce dont avait besoin Miami, souvent dominé sous les panneaux.