Deron Williams déjà épuisé par les rumeurs

Le marché des transferts n’ouvrira ses portes que dans un mois et c’est justement là tout le problème de D-Will.

Pourquoi spéculer sans cesse sur sa prochaine destination alors que rien ne peut se produire pour le moment ?

« Je le répète, je ne sais pas ce que je ferai l’an prochain, » s’agace-t-il sur le blog Nets Nation. « Quand bien même, personne ne le saurait à part moi. Pas même ma mère, mon frère, mon oncle ou mon cousin. Je n’ai parlé à personne. »

De plus, D-Will ne peut pas signer avec les Nets ou une autre équipe avant le 11 juillet mais il pourra tout de même annoncer sa décision à partir du 1er de ce même mois.

Pour cela, il faudrait d’abord qu’il rencontre les équipes intéressées par ses services.

« Je ne peux pas savoir où j’irai puisque je n’ai parlé à aucune équipe. Je ne suis pas autorisé à le faire. Donc il n’y aucune décision à prendre pour le moment. C’est pour ça que personne ne peut affirmer que je vais finir à Dallas où que je vais rester ici. Une autre équipe pourrait faire son entrée. »

Au cas où, Williams rappelle également qu’il est donc inutile de tirer des conclusions de ses récents passages en Russie et Turquie aux côtés d’Andrei Kirilenko mais aussi de Mikhail Prokhorov, propriétaire des Nets.

« Les gens disent que je vais rester aux Nets car je suis allé en Russie. Oui, j’y suis allé. Ça fait six ans qu’Andrei me dit d’aller en Russie alors j’y suis allé. Après, je n’étais pas loin de la Turquie. J’y ai joué trois mois, je voulais voir mes coéquipiers et quelques matches donc je suis allé à Istanbul. »

Histoire de clore les éventuels prochains débats, sachez que Williams s’entraîne toujours dans la salle des Nets, qu’il s’apprête à vendre ses maisons de Chicago et Utah et qu’il passera une petite semaine à Dallas où réside sa famille mais aussi Mark Cuban, le propriétaire des Mavs…

C’est bon Deron, on déconne.