Hommage à Moses Malone
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ReDS
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Hommage à Moses Malone
Moses Malone nous a quitté le 13 septembre 2015, et on se doute que comme pour nous, cela vous a beaucoup touché. C'est pourquoi nous ouvrons ce topic libre, où vous avez la possibilité de vous exprimer pendant une semaine sur ce grand joueur par divers articles, anecdotes, photos, vidéos... On compte sur vous pour faire perdurer la mémoire de The Chairman of the Boards, et nous savons que certains motivés et spécialistes auront à cœur de participer à ce projet pour célébrer la carrière de Moses Malone.
RIP
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Bap
- 4752
Re: Hommage à Moses Malone
Juste après ses 60 ans, un Grand joueur nous quitte, le premier à passer du lycée au circuit pro.
Gros rebondeur, bon scoreur, une machine.
Gros rebondeur, bon scoreur, une machine.
"Don't blame us if we ever doubt you"
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ReDS
- 10315
Re: Hommage à Moses Malone
Son palmarès :
Champion NBA (1983)
MVP (1979, 1982 et 1983)
MVP des Finals (1983)
All-Star à 12 reprises
All-NBA First Team (1979, 1982–1983, 1985)
All-NBA Second Team (1980–1981, 1984, 1987)
NBA All-Defensive First Team (1983)
Points en carrière : 29 580 pts, soit 20.6 pts/m
Rebonds en carrière : 17 834 rebonds, soit 12.2 rbds/m
Champion NBA (1983)
MVP (1979, 1982 et 1983)
MVP des Finals (1983)
All-Star à 12 reprises
All-NBA First Team (1979, 1982–1983, 1985)
All-NBA Second Team (1980–1981, 1984, 1987)
NBA All-Defensive First Team (1983)
Points en carrière : 29 580 pts, soit 20.6 pts/m
Rebonds en carrière : 17 834 rebonds, soit 12.2 rbds/m
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nunu
- 17850
Re: Hommage à Moses Malone
J'ai l'impression que maintenant qu'il est mort, on va le découvrir, il est toujours rarement cité dans la listes des grands pivots, on retrouve toujours les mêmes et lui 'est le parent pauvre. T's pas 3 X MVP sans un minimum de talent
Washington Mystics-BLMA
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dumartinet
- 3100
Re: Hommage à Moses Malone
Je ne le connais pas trop mais au vu de son palmarès, c'est un grand joueur.
RIP
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Sam D.
- 33274
Re: Hommage à Moses Malone
L'article BUSA :
Décès de Moses Malone (1955-2015), triple MVP dans les années 80
L’année 2015 est l’une des plus tragiques de l’histoire NBA puisqu’après Jerome Kersey, Anthony Mason et plus récemment Darryl Dawkins, on vient d’apprendre à 60 ans le décès de Moses Malone, retrouvé mort dans un hôtel en Virginie. Un des meilleurs pivots de l’histoire de NBA, Malone fut l’un des seuls à tenir tête à Kareem Abdul-Jabbar à la fin des années 70 et au début des années 80.
Triple MVP et champion NBA avec les Sixers, Malone fut aussi un pionnier passant directement de la case lycée à l’ABA, la ligue concurrente de la NBA, en 1974.
Les débuts de Moses Malone (né le 23 mars 1955) remontaient donc à la défunte ABA. Le colosse de Petersburg (Virginia) – 2,08 m pour 118 kg – est drafté par les Stars d’Utah en 1974. A 19 ans, il passe directement du lycée au circuit pro. Un Kevin Garnett avec 20 ans d’avance. Malone évolue deux saisons dans cette Ligue – citation dans la All-rookie team et participation au All-Star Game ABA 1975 – avant d’effectuer un séjour éclair à Buffalo et de poser ses valises à Houston.
En 1976, quand il débarque en NBA, Moses Eugene Malone a déjà la réputation d’être un bon rebondeur. Trois ans plus tard, avec une moyenne de 17.6 prises et 24.8 points, il décroche son premier titre de MVP de la saison régulière. Emmené par Calvin Murphy, Rudy Tomjanovich (futur coach des Rockets champions en 1994 et 95) et Mike Dunleavy (ancien coach des Clippers), Houston se hisse en Finales NBA en 1981. Là, le Boston de Larry Bird déroule (4-2). Dans le Texas, Malone a trouvé bien plus qu’une équipe.
« Une vraie famille autour de Tom Nissalke, notre entraîneur », expliquera-t-il plus tard.
Un pionnier pour toute la génération de lycéens (Kemp, Garnett, Kobe, T-Mac…)
C’est ce même coach qui l’entraînait lors de sa saison rookie chez les Stars. Malone suit une progression constante. En 1981-82, il fait de nouveau parler la poudre avec plus de 31 points et 14.7 rebonds par match. Deuxième titre de MVP. Restricted free-agent au cours de l’été suivant, Malone n’a pas toutes les cartes en main mais il veut rejoindre la top team qui s’est mise en place à Philadelphie avec Julius Erving, Maurice Cheeks, Bobby Jones et Andrew Toney. Il donne son accord aux Sixers le 2 septembre. Houston « matche » l’offre de Philly mais accepte de libérer Malone contre Caldwell Jones et un premier tour de draft.
Moses ne loupe pas ses débuts dans la cité de l’amour fraternel. Il mène la danse aux rebonds (15.3 par match) pour la troisième saison de suite et reste toujours très productif en attaque (24.5 pts). Pour la deuxième année consécutive, il est désigné meilleur joueur de la Ligue. Le rayonnement de « Dr. J » n’altère en rien le rendement de Moses.
Avec ses neuf saisons sur le circuit pro dont sept en NBA, ce dernier joue sur du velours face à des intérieurs le plus souvent inexpérimentés. Les playoffs qui suivent sont un régal avec cette « Dream team » avant l’heure. Philadelphie ne lâchera qu’un seul match au printemps 1983. New York (0-4), Milwaukee (1-4) et Los Angeles, en Finales (0-4), sont découpés en rondelles. Le coach, Billy Cunningham, a une formule très simple pour décrire le niveau de jeu des Sixers, battus 4-2 par les Lakers un an plus tôt :
« La différence par rapport à la saison 1981-82, c’est Moses ».
En Finales, contre L.A., Malone ridiculise Kareem Abdul-Jabbar aux rebonds (72-30). Il est évidemment élu MVP.
Meilleur rebondeur de la NBA cinq saisons d’affilée
La saison 1983-84 est moins brillante. Malone manque une dizaine de matches ainsi que le All-Star Game pour une blessure à la cheville. Avec 22.7 points de moyenne, il intègre malgré tout la All-NBA Second team. Les playoffs sont à l’image d’une année délicate : les champions en titre sont sortis sans gloire (3-2) au 1er tour par le New Jersey de Darryl Dawkins.
Philadelphie se refait la cerise la saison suivante avec un Malone à 13 rebonds par match. C’est, à l’époque, le premier joueur à dominer cette catégorie statistique pour la cinquième année consécutive. Une finale de Conférence perdue contre Boston (4-1) laissera beaucoup de regrets aux Sixers. Et sûrement plus encore à Malone qui s’apprête à passer sa dernière année à Philadelphie. Il quitte les Sixers avec une grave blessure à l’œil et ne verra pas la couleur des playoffs en 1986. Pour sa 10e saison NBA.
Malone voyage beaucoup à partir de l’exercice 1986-87. Après Utah, Saint-Louis (ABA), Buffalo, Houston et Philadelphie, il passe deux ans à Washington et trois saisons à Atlanta, aux côtés de Dominique Wilkins.
Chez les Hawks, Malone fait connaissance avec le banc pour la première fois de sa carrière. Le nouveau coach, Bob Weiss, lui préfère le pivot back-up Jon Koncak pour les 67 derniers matches de la saison 1990-91. Malone met le cap sur Milwaukee pour deux petites années avant de revenir chez les Sixers, en 1993-94, et servir de tuteur à la grande tige Shawn Bradley.
Bonne pâte, le triple MVP accepte la mission avant de terminer son parcours à San Antonio pour aiguiller un crack des raquettes, David Robinson. Sérieusement touché à la jambe droite en janvier 1995, Moses Malone n’est malheureusement d’aucun secours pour « l’Amiral ». Game over.
Six ans plus tard, et dès sa première candidature, il avait effectué son entrée au Hall Of Fame. Retrouvé mort dans son lit au réveil, il s’est éteint le 13 septembre, six mois après avoir fêté ses 60 ans.
Décès de Moses Malone (1955-2015), triple MVP dans les années 80
L’année 2015 est l’une des plus tragiques de l’histoire NBA puisqu’après Jerome Kersey, Anthony Mason et plus récemment Darryl Dawkins, on vient d’apprendre à 60 ans le décès de Moses Malone, retrouvé mort dans un hôtel en Virginie. Un des meilleurs pivots de l’histoire de NBA, Malone fut l’un des seuls à tenir tête à Kareem Abdul-Jabbar à la fin des années 70 et au début des années 80.
Triple MVP et champion NBA avec les Sixers, Malone fut aussi un pionnier passant directement de la case lycée à l’ABA, la ligue concurrente de la NBA, en 1974.
Les débuts de Moses Malone (né le 23 mars 1955) remontaient donc à la défunte ABA. Le colosse de Petersburg (Virginia) – 2,08 m pour 118 kg – est drafté par les Stars d’Utah en 1974. A 19 ans, il passe directement du lycée au circuit pro. Un Kevin Garnett avec 20 ans d’avance. Malone évolue deux saisons dans cette Ligue – citation dans la All-rookie team et participation au All-Star Game ABA 1975 – avant d’effectuer un séjour éclair à Buffalo et de poser ses valises à Houston.
En 1976, quand il débarque en NBA, Moses Eugene Malone a déjà la réputation d’être un bon rebondeur. Trois ans plus tard, avec une moyenne de 17.6 prises et 24.8 points, il décroche son premier titre de MVP de la saison régulière. Emmené par Calvin Murphy, Rudy Tomjanovich (futur coach des Rockets champions en 1994 et 95) et Mike Dunleavy (ancien coach des Clippers), Houston se hisse en Finales NBA en 1981. Là, le Boston de Larry Bird déroule (4-2). Dans le Texas, Malone a trouvé bien plus qu’une équipe.
« Une vraie famille autour de Tom Nissalke, notre entraîneur », expliquera-t-il plus tard.
Un pionnier pour toute la génération de lycéens (Kemp, Garnett, Kobe, T-Mac…)
C’est ce même coach qui l’entraînait lors de sa saison rookie chez les Stars. Malone suit une progression constante. En 1981-82, il fait de nouveau parler la poudre avec plus de 31 points et 14.7 rebonds par match. Deuxième titre de MVP. Restricted free-agent au cours de l’été suivant, Malone n’a pas toutes les cartes en main mais il veut rejoindre la top team qui s’est mise en place à Philadelphie avec Julius Erving, Maurice Cheeks, Bobby Jones et Andrew Toney. Il donne son accord aux Sixers le 2 septembre. Houston « matche » l’offre de Philly mais accepte de libérer Malone contre Caldwell Jones et un premier tour de draft.
Moses ne loupe pas ses débuts dans la cité de l’amour fraternel. Il mène la danse aux rebonds (15.3 par match) pour la troisième saison de suite et reste toujours très productif en attaque (24.5 pts). Pour la deuxième année consécutive, il est désigné meilleur joueur de la Ligue. Le rayonnement de « Dr. J » n’altère en rien le rendement de Moses.
Avec ses neuf saisons sur le circuit pro dont sept en NBA, ce dernier joue sur du velours face à des intérieurs le plus souvent inexpérimentés. Les playoffs qui suivent sont un régal avec cette « Dream team » avant l’heure. Philadelphie ne lâchera qu’un seul match au printemps 1983. New York (0-4), Milwaukee (1-4) et Los Angeles, en Finales (0-4), sont découpés en rondelles. Le coach, Billy Cunningham, a une formule très simple pour décrire le niveau de jeu des Sixers, battus 4-2 par les Lakers un an plus tôt :
« La différence par rapport à la saison 1981-82, c’est Moses ».
En Finales, contre L.A., Malone ridiculise Kareem Abdul-Jabbar aux rebonds (72-30). Il est évidemment élu MVP.
Meilleur rebondeur de la NBA cinq saisons d’affilée
La saison 1983-84 est moins brillante. Malone manque une dizaine de matches ainsi que le All-Star Game pour une blessure à la cheville. Avec 22.7 points de moyenne, il intègre malgré tout la All-NBA Second team. Les playoffs sont à l’image d’une année délicate : les champions en titre sont sortis sans gloire (3-2) au 1er tour par le New Jersey de Darryl Dawkins.
Philadelphie se refait la cerise la saison suivante avec un Malone à 13 rebonds par match. C’est, à l’époque, le premier joueur à dominer cette catégorie statistique pour la cinquième année consécutive. Une finale de Conférence perdue contre Boston (4-1) laissera beaucoup de regrets aux Sixers. Et sûrement plus encore à Malone qui s’apprête à passer sa dernière année à Philadelphie. Il quitte les Sixers avec une grave blessure à l’œil et ne verra pas la couleur des playoffs en 1986. Pour sa 10e saison NBA.
Malone voyage beaucoup à partir de l’exercice 1986-87. Après Utah, Saint-Louis (ABA), Buffalo, Houston et Philadelphie, il passe deux ans à Washington et trois saisons à Atlanta, aux côtés de Dominique Wilkins.
Chez les Hawks, Malone fait connaissance avec le banc pour la première fois de sa carrière. Le nouveau coach, Bob Weiss, lui préfère le pivot back-up Jon Koncak pour les 67 derniers matches de la saison 1990-91. Malone met le cap sur Milwaukee pour deux petites années avant de revenir chez les Sixers, en 1993-94, et servir de tuteur à la grande tige Shawn Bradley.
Bonne pâte, le triple MVP accepte la mission avant de terminer son parcours à San Antonio pour aiguiller un crack des raquettes, David Robinson. Sérieusement touché à la jambe droite en janvier 1995, Moses Malone n’est malheureusement d’aucun secours pour « l’Amiral ». Game over.
Six ans plus tard, et dès sa première candidature, il avait effectué son entrée au Hall Of Fame. Retrouvé mort dans son lit au réveil, il s’est éteint le 13 septembre, six mois après avoir fêté ses 60 ans.
Joel Embiid : "Whatever happens happens. If something happens, something happens."
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Pooh One
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Re: Hommage à Moses Malone
L'article de Busa dans lequel Mo Cheeks nous rappelle l'humilité du joueur, lui qui n'a jamais voulu bénéficié de l'attention médiatique des Magic, Bird, Erving ou autre KAJ :
Il est décédé le jour de mon anniversaire . Top 5 pivot All time pour moi.Mo Cheeks évoque le rire et la profonde humilité de Moses Malone
La disparition soudaine de Moses Malone suite à une crise cardiaque, hier matin, a plongé le monde de la NBA dans un deuil immédiat. Les hommages se sont multipliés de la part de ses amis et anciens coéquipiers, mais également de la part des joueurs actuels, qui n’oublient pas leurs aînés.
Charles Barkley a ainsi fait part de son lien particulier avec Moses Malone, qui l’a pris sous son aile sans ne rien attendre en retour. Pour Mo Cheeks, son coéquipier des Sixers, avec qui il a gagné un titre de champion en 1983, l’humilité est ainsi le trait de caractère qui ressort le plus.
« Il n’y avait pas de meilleur gars que lui, pas meilleur coéquipier. Il ne s’est jamais considéré comme une star. Et je pense que c’est une de ses plus grandes qualités. C’était juste un bon gars. Un des meilleurs. »
Il faut pourtant dire qu’à son arrivée à Philly en 1982, dans sa septième saison NBA, Moses Malone pèse quand même 31 points et 15 rebonds par match ! Mais il affirme alors sans problème que les Sixers sont l’équipe de Julius Erving.
« Il était taiseux hors des terrains avec les gens en général. Mais avec nous, il était jovial. Il était marrant, » se souvient l’actuel assistant-coach du Thunder dans The Oklahoman. « Son image était celle d’un dur parce qu’il était comme ça en tant que joueur. Mais avec ses amis et ses coéquipiers, il était très amusant. Son rire était contagieux. Je m’en souviens maintenant et ça me met la larme à l’oeil. Il riait avec tant d’énergie que ça contaminait tout le monde. »
Après Wilt Chamberlain, et des mêmes causes, Moses Malone est le deuxième MVP de l’histoire de la NBA à s’éteindre.
Fan Club d'Arthur Karnisovas et Marc Eversley
En route vers la septième !
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Kingaber
- 1
Re: Hommage à Moses Malone
Malone became a restricted free agent after the 1981–82 season. He signed an offer sheet of six-years for $13.2 million with Philadelphia on September 2, 1982. The 76ers were coming off a six-game loss in the Finals to the Los Angeles Lakers, whose center, Kareem Abdul-Jabbar, dominated their big-man duo of Darryl Dawkins and Caldwell Jones. The Rockets were changing ownership, and decided that Malone's $2 million annual salary did not fit their plans.[27] Houston matched the offer, and agreed to trade Malone to the 76ers for Jones and their first-round pick in the 1983 NBA Draft on September 15 .[28] With Julius Erving, Maurice Cheeks, Andrew Toney, and Bobby Jones, the Sixers won the NBA championship. Malone was named the league MVP for second straight year, becoming the only NBA player ever to win the award in consecutive seasons with two different teams, a feat only matched by Barry Bonds (1992–93) in the four major sports.[29]
That year, Malone averaged 15.3 rebounds per game, which led the league for the third consecutive year, and also averaged 24.5 points, which was fifth-best in the NBA. He was an All-Star for the sixth consecutive season, and was named to the All-NBA First Team and the All-Defensive First Team after the season.[18][19] The 76ers lost only one postseason game as they won the league championship, defeating the Lakers in a four-game sweep in the 1983 NBA Finals.[1] In 13 postseason games, Malone averaged 26.0 points with 15.8 rebounds. He won the Finals Most Valuable Player Award, having outrebounded Abdul-Jabbar 72–30 in the series.[30] It was also around this time that Malone began to tutor Hakeem Olajuwon, passing on the torch to the future Rockets superstar.[31]
His head coach Billy Cunningham said, "Let's not make believe. The difference from last year was Moses."[30] Before the playoffs began, reporters asked him how well the 76ers would do. Malone famously said "fo', fo', fo'" (four, four, four)—predicting a four-game sweep in each of the playoffs three rounds. As it turned out, the Sixers only lost one playoff game (Game 4 of the Eastern Conference Finals to the Bucks) en route to making Malone a world champion for the first time, sweeping the Knicks and Lakers along the way. This led some to rephrase Malone's prediction as "fo', fi', fo'" (four, five, four). The inside of that year's championship ring was inscribed with "fo' fi' fo".[32] The 76ers' 12–1 record in the playoffs became the second-most-dominant playoff run in NBA history (the 2001 Lakers went 15–1 in the extended four-round playoff set-up).
Je suis très triste maintenant coque samsung galaxy note 5 coque protection galaxy note 5 pas cher
That year, Malone averaged 15.3 rebounds per game, which led the league for the third consecutive year, and also averaged 24.5 points, which was fifth-best in the NBA. He was an All-Star for the sixth consecutive season, and was named to the All-NBA First Team and the All-Defensive First Team after the season.[18][19] The 76ers lost only one postseason game as they won the league championship, defeating the Lakers in a four-game sweep in the 1983 NBA Finals.[1] In 13 postseason games, Malone averaged 26.0 points with 15.8 rebounds. He won the Finals Most Valuable Player Award, having outrebounded Abdul-Jabbar 72–30 in the series.[30] It was also around this time that Malone began to tutor Hakeem Olajuwon, passing on the torch to the future Rockets superstar.[31]
His head coach Billy Cunningham said, "Let's not make believe. The difference from last year was Moses."[30] Before the playoffs began, reporters asked him how well the 76ers would do. Malone famously said "fo', fo', fo'" (four, four, four)—predicting a four-game sweep in each of the playoffs three rounds. As it turned out, the Sixers only lost one playoff game (Game 4 of the Eastern Conference Finals to the Bucks) en route to making Malone a world champion for the first time, sweeping the Knicks and Lakers along the way. This led some to rephrase Malone's prediction as "fo', fi', fo'" (four, five, four). The inside of that year's championship ring was inscribed with "fo' fi' fo".[32] The 76ers' 12–1 record in the playoffs became the second-most-dominant playoff run in NBA history (the 2001 Lakers went 15–1 in the extended four-round playoff set-up).
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Last edited by Kingaber on 17 September 2015, 10:59, edited 1 time in total.
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Sam D.
- 33274
Re: Hommage à Moses Malone
Bon histoire d'être complet, c'était aussi une machine à perdre des ballons
3.1 en carrière (et seulement 1.4asts), avec une pointe à 4.0tos par match en 78-79. Enfin bon, il compensait largement ailleurs, 3 titres de MVP, on ne va pas oublier qu'ils ne sont que 5 à en avoir obtenu davantage : James, Wilt, Russell, KAJ et Jordan. On ne mesure pas une carrière sur le simple titre de MVP, mais ça place quand même le bonhomme !
3.1 en carrière (et seulement 1.4asts), avec une pointe à 4.0tos par match en 78-79. Enfin bon, il compensait largement ailleurs, 3 titres de MVP, on ne va pas oublier qu'ils ne sont que 5 à en avoir obtenu davantage : James, Wilt, Russell, KAJ et Jordan. On ne mesure pas une carrière sur le simple titre de MVP, mais ça place quand même le bonhomme !
Joel Embiid : "Whatever happens happens. If something happens, something happens."
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Pooh One
- 10969
Re: Hommage à Moses Malone
C'est sur !
Seulement 4 joueurs ont réalisé plus de 25 000 pts et 15 000 rbs (Malone, Hayes, KAJ, Wilt). D'ailleurs deux sont décédés...
Seulement 4 joueurs ont réalisé plus de 25 000 pts et 15 000 rbs (Malone, Hayes, KAJ, Wilt). D'ailleurs deux sont décédés...
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mamath1234
- 14561
Re: Hommage à Moses Malone
Karl Malone ayant arrêté sa carrière à 14.968 rebonds (j’étais étonné de pas le voir dans la liste)
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ReDS
- 10315
Re: Hommage à Moses Malone
Moses Malone Career Retrospective
Utah Stars, 1974
Houston Rockets, 1976
Houston Rockets, 1977
Houston Rockets, 1978
1980 All-Star Game
Houston Rockets, 1981
Houston Rockets, 1981
NBA.com
Utah Stars, 1974
Houston Rockets, 1976
Houston Rockets, 1977
Houston Rockets, 1978
1980 All-Star Game
Houston Rockets, 1981
Houston Rockets, 1981
NBA.com
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ReDS
- 10315
Re: Hommage à Moses Malone
Moses Malone Career Retrospective [2]
Philadelphia 76ers, 1982
Philadelphia 76ers, 1983
Philadelphia 76ers, 1983
Philadelphia 76ers, 1983
Philadelphia 76ers, 1983
Philadelphia 76ers, 1983
Philadelphia 76ers, 1983
Philadelphia 76ers, 1984
Philadelphia 76ers, 1984
Philadelphia 76ers, 1985
Philadelphia 76ers, 1986
Philadelphia 76ers, 1986
1986 All-Star Game
Source : NBA.com
Philadelphia 76ers, 1982
Philadelphia 76ers, 1983
Philadelphia 76ers, 1983
Philadelphia 76ers, 1983
Philadelphia 76ers, 1983
Philadelphia 76ers, 1983
Philadelphia 76ers, 1983
Philadelphia 76ers, 1984
Philadelphia 76ers, 1984
Philadelphia 76ers, 1985
Philadelphia 76ers, 1986
Philadelphia 76ers, 1986
1986 All-Star Game
Source : NBA.com
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ReDS
- 10315
Re: Hommage à Moses Malone
Moses Malone Career Retrospective [3]
Washington Bullets, 1987
Washington Bullets, 1987
Washington Bullets, 1987
Washington Bullets, 1988
1988 All-Star Game
1988 All-Star Game
Washington Bullets, 1988
Source : NBA.com
Washington Bullets, 1987
Washington Bullets, 1987
Washington Bullets, 1987
Washington Bullets, 1988
1988 All-Star Game
1988 All-Star Game
Washington Bullets, 1988
Source : NBA.com
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Sam D.
- 33274
Re: Hommage à Moses Malone
Géniales ces photos
On distingue d'ailleurs bien son shoot atypique, hyper haut et la tête rentrée
On distingue d'ailleurs bien son shoot atypique, hyper haut et la tête rentrée
Joel Embiid : "Whatever happens happens. If something happens, something happens."
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ReDS
- 10315
Re: Hommage à Moses Malone
Moses Malone Career Retrospective [4]
Atlanta Hawks, 1989
Atlanta Hawks, 1989
Atlanta Hawks, 1990
Atlanta Hawks, 1991
Source : NBA.com
Atlanta Hawks, 1989
Atlanta Hawks, 1989
Atlanta Hawks, 1990
Atlanta Hawks, 1991
Source : NBA.com
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ReDS
- 10315
Re: Hommage à Moses Malone
Moses Malone Career Retrospective [5]
Milwaukee Bucks, 1992
Milwaukee Bucks, 1993
Philadelphia 76ers, 1994
San Antonio Spurs, 1995
Rockets jersey retirement, 1998
Return to Philly, 2001
Source : NBA.com
Milwaukee Bucks, 1992
Milwaukee Bucks, 1993
Philadelphia 76ers, 1994
San Antonio Spurs, 1995
Rockets jersey retirement, 1998
Return to Philly, 2001
Source : NBA.com
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Sam D.
- 33274
Re: Hommage à Moses Malone
Magnifique discours de Barkley hier, lors de l'enterrement de Moses.
Joel Embiid : "Whatever happens happens. If something happens, something happens."
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Flopatey
- 10544
Re: Hommage à Moses Malone
L’émouvant adieu de Charles Barkley à Moses Malone
Via BasketUSA
C’est samedi, à Houston, qu’ont eu lieu les funérailles de Moses Malone, décédé le 13 septembre dernier à 60 ans. La famille et les amis de Moses Malone étaient réunis dans l’immense église de Lakewood, et c’est Charles Barkley qui a prononcé l’éloge funèbre.
« Je l’appelais papa. A partir de 1985, je ne l’ai plus jamais appelé Moses. A chaque fois que je le voyais, je l’appelais papa. Quand je suis arrivé aux Sixers en 1984, il y avait une tripotée d’incroyables grands frères dans l’équipe. Je les regardais comme des grands frères. Mais il y avait un gars, et je n’ai jamais su pourquoi, qui m’a pris sous son aile. C’était Moses, et il me traitait comme son fils. »
« Je lui ai dit : « Moses, j’ai vraiment du mal en NBA. Que dois-je faire. Donne-moi des conseils ». Il m’a répondu : « Eh bien, mon gamin, tu es gros et fainéant.’ ‘Comme tu es gros, tu ne peux pas te donner à fond, et donc tu es fainéant’. »
« Voilà comment était Moses. Il aidait tout le monde. C’était un homme merveilleux. C’était tout lui. Il vous faisait rire. Il me faisait rire. Et il aimait tout le monde. C’est un honneur pour moi de prononcer cet éloge funèbre. »
“A chaque fois que je le voyais, je l’appelais ‘papa’ et je lui disais que je l’aimais. Je le prenais dans mes bras, et je respectais et j’appréciais ce qu’il avait fait pour moi. Je suis tellement triste à l’idée que je ne dirai plus jamais « papa » ou « Big Mo ». Ça me fait mal. Je n’ai jamais entendu quelqu’un dire du mal de Moses. J’ai eu la chance de le connaître, et tous ceux qui le connaissaient sont devenus des meilleures personnes. »
« Quand sa famille m’a demandé de prendre la parole aujourd’hui, cela signifiait beaucoup pour moi. Ça voulait dire que mon ‘papa’ était fier de moi. Ça voulait dire que Moses leur avait dit qu’il était fier de moi. C’est une journée triste, mais c’est ce qui la rend agréable. J’ai eu la chance de le connaître, et aujourd’hui le monde est plus triste sans lui. »
vidéo dans l'article
Un superbe discours de Barkley en effet, très émouvant.
Via BasketUSA
C’est samedi, à Houston, qu’ont eu lieu les funérailles de Moses Malone, décédé le 13 septembre dernier à 60 ans. La famille et les amis de Moses Malone étaient réunis dans l’immense église de Lakewood, et c’est Charles Barkley qui a prononcé l’éloge funèbre.
« Je l’appelais papa. A partir de 1985, je ne l’ai plus jamais appelé Moses. A chaque fois que je le voyais, je l’appelais papa. Quand je suis arrivé aux Sixers en 1984, il y avait une tripotée d’incroyables grands frères dans l’équipe. Je les regardais comme des grands frères. Mais il y avait un gars, et je n’ai jamais su pourquoi, qui m’a pris sous son aile. C’était Moses, et il me traitait comme son fils. »
« Je lui ai dit : « Moses, j’ai vraiment du mal en NBA. Que dois-je faire. Donne-moi des conseils ». Il m’a répondu : « Eh bien, mon gamin, tu es gros et fainéant.’ ‘Comme tu es gros, tu ne peux pas te donner à fond, et donc tu es fainéant’. »
« Voilà comment était Moses. Il aidait tout le monde. C’était un homme merveilleux. C’était tout lui. Il vous faisait rire. Il me faisait rire. Et il aimait tout le monde. C’est un honneur pour moi de prononcer cet éloge funèbre. »
“A chaque fois que je le voyais, je l’appelais ‘papa’ et je lui disais que je l’aimais. Je le prenais dans mes bras, et je respectais et j’appréciais ce qu’il avait fait pour moi. Je suis tellement triste à l’idée que je ne dirai plus jamais « papa » ou « Big Mo ». Ça me fait mal. Je n’ai jamais entendu quelqu’un dire du mal de Moses. J’ai eu la chance de le connaître, et tous ceux qui le connaissaient sont devenus des meilleures personnes. »
« Quand sa famille m’a demandé de prendre la parole aujourd’hui, cela signifiait beaucoup pour moi. Ça voulait dire que mon ‘papa’ était fier de moi. Ça voulait dire que Moses leur avait dit qu’il était fier de moi. C’est une journée triste, mais c’est ce qui la rend agréable. J’ai eu la chance de le connaître, et aujourd’hui le monde est plus triste sans lui. »
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Un superbe discours de Barkley en effet, très émouvant.