-La localisation di joueur partant du principe que toutes les localisations n'étendent pas les defenses de la même manière.
- le nombre de tentatives d'un joueur sur un spot donné partant du principe que plus le joueur tire plus il est susceptible de tirer.
- le taux de réussite, un bon tireur préoccupant logiquement plus qu'un mauvais.
Et c'est là que bât blesse car du coup dans son modèle, un joueur qui tire beaucoup mais mal de loin aura une gravité équivalente à un joueur qui tire peu mais bien de près ce qui dans la réalité est probablement faux ou non systématique. Il y a donc des précautions d'usage à la lecture des graphiques. Néanmoins, c'est intéressant à étudier.
https://fansided.com/2019/07/22/nylon-c ... ssion=true
Ps: sur les graphiques, les plus fortes gravités sont négatives.
Since the dawn of the modern 3-point era, NBA teams have been on a quest to improve their outside shooting and that evolution has brought the phrase “gravity” into the basketball lexicon. It gets thrown about every once in a while on broadcasts and in articles, but it’s not well defined, if at all. The definition, for the purposes of this article, is “how a specific player bends the defense with their field goal attempts”.
Given that it is a combination of three values, an extremely high-usage and low-efficiency player far from the basket can create more gravity than a medium-usage high-efficiency player close to the basket. Also, given the roster construction and offense of each team, either could be “better”. In general, think more or less, not good or bad.