[24" BASKET LEAGUE] Hall of Fame
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kcnarf
- 2838
Re: [24" BASKET LEAGUE] Hall of Fame
Finalement, la liste des nominés pour cette saison sera :
Jerry Stackhouse
John Stockton
Michael Jordan
Shaquille O'Neal
Ray Allen
Chris Webber
Allen Iverson
Terrell Brandon
Doug Christie
Jalen Rose
Jerry Stackhouse
John Stockton
Michael Jordan
Shaquille O'Neal
Ray Allen
Chris Webber
Allen Iverson
Terrell Brandon
Doug Christie
Jalen Rose
DLGM7 : T.Rozier /B.Hield /P.George/M.Kleber/N.Jokic
banc : D.White/D.Hunter/M.Gasol/A.Holiday/D.Avdija/T.Maledon/I.Bonga
coach : M.Malone
banc : D.White/D.Hunter/M.Gasol/A.Holiday/D.Avdija/T.Maledon/I.Bonga
coach : M.Malone
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SylvesterTemple
- 17706
Re: [24" BASKET LEAGUE] Hall of Fame
Beurk MJ et cie
Obviously Allen, Webber, et O'Neal en ce qui me concerne.
Obviously Allen, Webber, et O'Neal en ce qui me concerne.
Giannis Antetokounmpo : "My goal is to win in Milwaukee, bring a Championship to the city... I would never leave for LA." (02/07/2018)
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kcnarf
- 2838
Re: [24" BASKET LEAGUE] Hall of Fame
Ca s'annonce serré cette année...
DLGM7 : T.Rozier /B.Hield /P.George/M.Kleber/N.Jokic
banc : D.White/D.Hunter/M.Gasol/A.Holiday/D.Avdija/T.Maledon/I.Bonga
coach : M.Malone
banc : D.White/D.Hunter/M.Gasol/A.Holiday/D.Avdija/T.Maledon/I.Bonga
coach : M.Malone
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SylvesterTemple
- 17706
Re: [24" BASKET LEAGUE] Hall of Fame
Ca tourne à la débandade en effet.
11 votants par contre, tout peut encore changer !
11 votants par contre, tout peut encore changer !
Giannis Antetokounmpo : "My goal is to win in Milwaukee, bring a Championship to the city... I would never leave for LA." (02/07/2018)
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Alexis
- 4907
Re: [24" BASKET LEAGUE] Hall of Fame
Ray Allen, Mr 0 titre 0 Mvp, devant un vrai Mvp, quel scandale !
GM des Spurs (99 - 13) : https://www.basketusa.com/forum/viewtop ... =33&t=2467
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SylvesterTemple
- 17706
Re: [24" BASKET LEAGUE] Hall of Fame
Sorry mais MJ dans notre ligue post 96 c'est juste un vioc qui a choppé un MVP sans que personne ne sache ni comment ni pourquoi
Giannis Antetokounmpo : "My goal is to win in Milwaukee, bring a Championship to the city... I would never leave for LA." (02/07/2018)
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Alexis
- 4907
Re: [24" BASKET LEAGUE] Hall of Fame
GM des Spurs (99 - 13) : https://www.basketusa.com/forum/viewtop ... =33&t=2467
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SylvesterTemple
- 17706
Re: [24" BASKET LEAGUE] Hall of Fame
Ray Allen > MJ
Pire, JR Smith > MJ
Pire, JR Smith > MJ
Giannis Antetokounmpo : "My goal is to win in Milwaukee, bring a Championship to the city... I would never leave for LA." (02/07/2018)
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Alexis
- 4907
Re: [24" BASKET LEAGUE] Hall of Fame
Rayray, c'est scoreur dans le désert son principal accomplissement.
MJ a un Mvp et est allé en Finals il me semble, no ? Et jr Smith ira lui aussi en Finals, il va utiliser ce qu'il a appris pour sublimer sa prochaine franchise. Du coup, rayray sera 3e de ce trio !
MJ a un Mvp et est allé en Finals il me semble, no ? Et jr Smith ira lui aussi en Finals, il va utiliser ce qu'il a appris pour sublimer sa prochaine franchise. Du coup, rayray sera 3e de ce trio !
GM des Spurs (99 - 13) : https://www.basketusa.com/forum/viewtop ... =33&t=2467
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SylvesterTemple
- 17706
Re: [24" BASKET LEAGUE] Hall of Fame
KekeDeluxe has been banned undefinitly.
Giannis Antetokounmpo : "My goal is to win in Milwaukee, bring a Championship to the city... I would never leave for LA." (02/07/2018)
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kcnarf
- 2838
Re: [24" BASKET LEAGUE] Hall of Fame
Sans grande surprise, les 3 heureux élus sont :
Shaquille O'Neal
Ray Allen
Chris Webber
Shaquille O'Neal
Ray Allen
Chris Webber
DLGM7 : T.Rozier /B.Hield /P.George/M.Kleber/N.Jokic
banc : D.White/D.Hunter/M.Gasol/A.Holiday/D.Avdija/T.Maledon/I.Bonga
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coach : M.Malone
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SylvesterTemple
- 17706
Re: [24" BASKET LEAGUE] Hall of Fame
Honte à ceux qui ont douté de mon RayRay !
Kncarf, je te laisse gèrer comme tu veux évidemment mais je te mets le portrait d'UDS en spoiler en guise d'aide :
Mise à jour du coup :
Il faudra regarder, entre autres, s'ils jouent toujours ou non :
Billups, Tinsley (retraité de cette année), Bibby, Stoudemire, Ginobili, Jones, McGrady, Pierce, et Carter.
Vu qu'ils font partie du top des tops d'UDS (qui commence à dater certes).
Vraiment dommage qu'on n'ait jamais eu les intérieurs
Kncarf, je te laisse gèrer comme tu veux évidemment mais je te mets le portrait d'UDS en spoiler en guise d'aide :
Mise à jour du coup :
SylvesterTemple wrote:Part. 1 https://www.basketusa.com/forum/viewtop ... 75#p950761 : Tim Hardaway, Rod Strickland, Steve Francis, Andre Miller, Jamaal Tinsley, Chancey Billups, Sam Cassell, Gary Payton.
Part. 2 https://www.basketusa.com/forum/viewtop ... 75#p950909 : John Stockton, Terrell Brandon, Damon Stoudemire, Jason Terry, Steve Nash, Anfernee Hardaway, Allen Iverson, Mike Bibby.
Part. 3 https://www.basketusa.com/forum/viewtop ... 75#p951045 : Dwyane Wade, Jamal Crawford, Erick Strickland, Richard Hamilton, Reggie Miller, Brent Barry, Allan Houston, Doug Christie.
Part. 4 https://www.basketusa.com/forum/viewtop ... 75#p951239 : Michael Redd, Michael Jordan, Manu Ginobili, Kerry Kittles, Anthony Parker, Eddie Jones, Ray Allen, Kobe Bryant.
Part. 5 https://www.basketusa.com/forum/viewtop ... 00#p951725 : Josh Howard, Glenn Robinson, Metta World Peace, Tim Thomas, Jalen Rose, Richard Jefferson, Steve Smith, Andrei Kirilenko.
Part. 6 https://www.basketusa.com/forum/viewtop ... 71#p954271 : Tracy McGrady, Lamond Murray, LeBron James, Michael Finley, Jerry Stackhouse, Grant Hill, Paul Pierce, Vince Carter.
Part. 7 ???
Part. 8 ???
Part. 9 ???
Part. 10 ???
N'apparaissent pas dans les publis d'UDS : Shawn Kemp, Alonzo Mourning, Karl Malone, Doneyll Marshall, Shaquille O'Neal, et Chris Webber
En vert : les Hall Of Famers intronisés.
En bleu : les recalés.
Il faudra regarder, entre autres, s'ils jouent toujours ou non :
Billups, Tinsley (retraité de cette année), Bibby, Stoudemire, Ginobili, Jones, McGrady, Pierce, et Carter.
Vu qu'ils font partie du top des tops d'UDS (qui commence à dater certes).
Vraiment dommage qu'on n'ait jamais eu les intérieurs
Giannis Antetokounmpo : "My goal is to win in Milwaukee, bring a Championship to the city... I would never leave for LA." (02/07/2018)
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kcnarf
- 2838
Re: [24" BASKET LEAGUE] Hall of Fame
Pas très sûr des retraites de l'été dernier.
Pour cette saison, je pensais proposer aux votes :
Allen Iverson
Jerry Stackhouse
Alonzo Mourning
Marcus Camby
Damon Stoudamire
John Stockton
Eddie Jones
Zydrunas Illgauskas
Kerry Kittles
Michael Jordan
Merci de me dire si j'ai oublié quelqu'un ou mis un joueur pas encore retraité.
Pour cette saison, je pensais proposer aux votes :
Allen Iverson
Jerry Stackhouse
Alonzo Mourning
Marcus Camby
Damon Stoudamire
John Stockton
Eddie Jones
Zydrunas Illgauskas
Kerry Kittles
Michael Jordan
Merci de me dire si j'ai oublié quelqu'un ou mis un joueur pas encore retraité.
DLGM7 : T.Rozier /B.Hield /P.George/M.Kleber/N.Jokic
banc : D.White/D.Hunter/M.Gasol/A.Holiday/D.Avdija/T.Maledon/I.Bonga
coach : M.Malone
banc : D.White/D.Hunter/M.Gasol/A.Holiday/D.Avdija/T.Maledon/I.Bonga
coach : M.Malone
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kcnarf
- 2838
Re: [24" BASKET LEAGUE] Hall of Fame
Lorsque la première saison de la nouvelle ligue professionnelle de basket, kcnarf hérite d'une équipe qui vient de réaliser LE transfert de l'été, en arrachant Shaquille O'Neal à Orlando. En quittant la Floride, l'objectif de Shaq est clair : il veut gagner des titres. Cette première saison sera marquée par de nombreuses blessures, Shaq ne disputant que 48 rencontres de saison régulière. Malgré ces pépins, les Lakers atteignent la barre des 60W et réalisent de bons PO malgré l'absence d'Eddie Jones, avant de tomber face aux favoris, le Jazz de Malone et Stockton.
La saison suivante sera enfin celle de la consécration, 73/9 en saison régulière, 22/9,6 pour le Shaq en 28 minutes, il se fait subtiliser le titre de MVP par Grant Hill mais ne laisse aucune chance aux adversaires en Playoffs, 3 sweeps en 4 séries, seuls les Nuggets de Xarphios ont su opposer une petite résistance. 26,6 pts/11,1 rbds/2,2 blks/60%. Shaq est alors le meilleur joueur du monde, indiscutablement, même sans MVP.
La saison suivante sera celle de la désillusion. La saison régulière est monstrueuse : 77-5. MAis la mésentente entre les cadres de l'équipe et le jeune Kobe Bryant, mécontent de son rôle trop limité à son goût, repoussé sur le banc en PO, finira par faire exploser l'équipe. Déjà à la peine en finale de conference Ouest face aux Bucks, les Lakers, ultrafavoris, s'inclinent 4-2 face à Miami.
La saison suivante, Kcnarf tranche dans le vif, en échangeant Kobe Bryant avec la jeune star de Golden State, Vince Carter. L'équipe atteint encore la barre des 70 victoires en SR sans forcer, avant de retrouver son titre, seuls les Blazers de O'Neal (Jermaine) ont su les faire douter (4-3).
Avec une équipe assez peu remaniée (Divac à la place de Sabonis, Sprewell en renfort), les Lakers récidivent l'année suivante, Shaq se fait encore subtiliser le titre de MVP par Grant Hill, mais conduit son équipe vers une troisième sacre, et rafle au passage son troisième titre de PO MVP.
Alors que la ligue se demande si la domination Shaquillonesque va durer encore longtemps, Kcnarf, inquiet de la mise en place du hard cap, commet l'erreur de se séparer de Donyell Marshall, le complément idéal de Shaq dans la raquette. Ni Turkoglu, ni Magloire ne parviendront à justifier cette boulette. Ni Garnett, ni Laettner, ni Brian Grant ne parviendront à combler le vide laissé par Marshall. Avec 58W, les Lakers finissent premiers à l'Ouest, mais s'inclineront en finale de conference, face aux Nuggets de Webber, Pierce, et ... Donnyell Marshall.
Quelque chose s'est cassé à LA. Eddie Jones est vendu, Yao Ming arrive, on salive d'une association Shaq/Yao qui ne fonctionnera jamais. On peut toujours faire de la NBA-fiction, imaginer que les Lakers aient drafté Amare ou Manu plutôt que Yao. Dans notre réalité, Shaq, qui semblait si enthousiaste à l'idée de jouer PF, ne parviendra jamais à cohabiter avec le géant chinois, dont la carrière semble s'être ainsi brisée dès le départ. Envoyé à New York contre pas grand chose (Jason Kidd et Brad Miller), Shaq s'en va former une paire plus complémentaire, et s'incline en finale face aux Nuggets, et au Finals MVP Donyell Marshall.
Ce n'est que partie remise. Le duo Duncan-Shaq est inarrêtable, et Shaq empoche deux nouvelle sbagues, dans son nouveau rôle de lieutenant et mentor de Tim Duncan, tout en continuant à s'inviter au ASG et dans les All-NBA teams.
Les saisons suivantes marquent l'amorce du déclin, pour les Knicks qui ne parviennent plus à passer le 1er tour, comme pour Shaq, qui voit son apport statistique se réduire peu à peu. Il rejoint finalement les Pistons, qu'il ne parvient pas à emmener en PO, avant de terminer sa carrière aux Lakers. Si son temps de jeu est limité, il joue le rôle de mentor auprès d'Andray Blatche, tout en retrouvant les compères des grandes épopées, Eddie Jones et Donyell Marshall ayant choisi eux aussi de revenir sur les lieux de leurs exploits dans leurs vieux jours
La saison suivante sera enfin celle de la consécration, 73/9 en saison régulière, 22/9,6 pour le Shaq en 28 minutes, il se fait subtiliser le titre de MVP par Grant Hill mais ne laisse aucune chance aux adversaires en Playoffs, 3 sweeps en 4 séries, seuls les Nuggets de Xarphios ont su opposer une petite résistance. 26,6 pts/11,1 rbds/2,2 blks/60%. Shaq est alors le meilleur joueur du monde, indiscutablement, même sans MVP.
La saison suivante sera celle de la désillusion. La saison régulière est monstrueuse : 77-5. MAis la mésentente entre les cadres de l'équipe et le jeune Kobe Bryant, mécontent de son rôle trop limité à son goût, repoussé sur le banc en PO, finira par faire exploser l'équipe. Déjà à la peine en finale de conference Ouest face aux Bucks, les Lakers, ultrafavoris, s'inclinent 4-2 face à Miami.
La saison suivante, Kcnarf tranche dans le vif, en échangeant Kobe Bryant avec la jeune star de Golden State, Vince Carter. L'équipe atteint encore la barre des 70 victoires en SR sans forcer, avant de retrouver son titre, seuls les Blazers de O'Neal (Jermaine) ont su les faire douter (4-3).
Avec une équipe assez peu remaniée (Divac à la place de Sabonis, Sprewell en renfort), les Lakers récidivent l'année suivante, Shaq se fait encore subtiliser le titre de MVP par Grant Hill, mais conduit son équipe vers une troisième sacre, et rafle au passage son troisième titre de PO MVP.
Alors que la ligue se demande si la domination Shaquillonesque va durer encore longtemps, Kcnarf, inquiet de la mise en place du hard cap, commet l'erreur de se séparer de Donyell Marshall, le complément idéal de Shaq dans la raquette. Ni Turkoglu, ni Magloire ne parviendront à justifier cette boulette. Ni Garnett, ni Laettner, ni Brian Grant ne parviendront à combler le vide laissé par Marshall. Avec 58W, les Lakers finissent premiers à l'Ouest, mais s'inclineront en finale de conference, face aux Nuggets de Webber, Pierce, et ... Donnyell Marshall.
Quelque chose s'est cassé à LA. Eddie Jones est vendu, Yao Ming arrive, on salive d'une association Shaq/Yao qui ne fonctionnera jamais. On peut toujours faire de la NBA-fiction, imaginer que les Lakers aient drafté Amare ou Manu plutôt que Yao. Dans notre réalité, Shaq, qui semblait si enthousiaste à l'idée de jouer PF, ne parviendra jamais à cohabiter avec le géant chinois, dont la carrière semble s'être ainsi brisée dès le départ. Envoyé à New York contre pas grand chose (Jason Kidd et Brad Miller), Shaq s'en va former une paire plus complémentaire, et s'incline en finale face aux Nuggets, et au Finals MVP Donyell Marshall.
Ce n'est que partie remise. Le duo Duncan-Shaq est inarrêtable, et Shaq empoche deux nouvelle sbagues, dans son nouveau rôle de lieutenant et mentor de Tim Duncan, tout en continuant à s'inviter au ASG et dans les All-NBA teams.
Les saisons suivantes marquent l'amorce du déclin, pour les Knicks qui ne parviennent plus à passer le 1er tour, comme pour Shaq, qui voit son apport statistique se réduire peu à peu. Il rejoint finalement les Pistons, qu'il ne parvient pas à emmener en PO, avant de terminer sa carrière aux Lakers. Si son temps de jeu est limité, il joue le rôle de mentor auprès d'Andray Blatche, tout en retrouvant les compères des grandes épopées, Eddie Jones et Donyell Marshall ayant choisi eux aussi de revenir sur les lieux de leurs exploits dans leurs vieux jours
Last edited by kcnarf on 21 July 2022, 19:28, edited 1 time in total.
DLGM7 : T.Rozier /B.Hield /P.George/M.Kleber/N.Jokic
banc : D.White/D.Hunter/M.Gasol/A.Holiday/D.Avdija/T.Maledon/I.Bonga
coach : M.Malone
banc : D.White/D.Hunter/M.Gasol/A.Holiday/D.Avdija/T.Maledon/I.Bonga
coach : M.Malone
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kcnarf
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Re: [24" BASKET LEAGUE] Hall of Fame
Fiche Chris Webber en préparation
DLGM7 : T.Rozier /B.Hield /P.George/M.Kleber/N.Jokic
banc : D.White/D.Hunter/M.Gasol/A.Holiday/D.Avdija/T.Maledon/I.Bonga
coach : M.Malone
banc : D.White/D.Hunter/M.Gasol/A.Holiday/D.Avdija/T.Maledon/I.Bonga
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kcnarf
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Re: [24" BASKET LEAGUE] Hall of Fame
Individuellement, il est possiblement l’arrière le plus dominant de la dernière décennie. C’est bien simple, hormis l’année de sa draft, il n’a jamais raté un match des étoiles. Aujourd’hui, il peut être considéré comme le meilleur shooteur de l’histoire de la Ligue rien que ça. Et les nombreuses récompenses et distinctions personnelles sont là pour le légitimer. Outre ses dix invitations au All Star Game, on peut y ajouter six nominations en All first team (en 10 ans, aucun joueur n’en compte autant à l’exception de Tim Duncan qui vient de l’égaliser cette saison), une en All seconde team, une autre en All Third Team. Pour faire plus simple, vous enlevez sa saison rookie et celle qui vient de s’écouler et vous avez un joueur qui a toujours figurer dans les All team de l’année, dont 75% en first. Exceptionnel.
Mais cela ne s’arrête pas ici puisqu’il collecte également deux positions de scoring leader en 2000 et 2006 ainsi qu’un MVP 2004 historique car il fut le premier à le gagner sans accéder aux Play Offs. D’ailleurs, ce fut suite à ce « scandale » que la confédération des GM fut créé afin d’avoir l’opportunité de voter eux même pour les distinctions de fin d’année, au sein d’une sorte de consortium mis en place en parallèle à celui de la Ligue (déjà fragilisée par l’absence de nomination du Shaq pour ce même trophée malgré ses années de domination).
Mais revenons à Ray, pourquoi donc, avec tant d’accomplissement personnel et de domination le joueur ne truste t’il pas ce classement ? Et bien c’est simple, son armoire à trophées individuels est inversement proportionnel au vide que compose ses accomplissements collectifs. Si durant les neuf saisons passées à Milwaukee, le GM Sylvester n’a jamais rechigné à créer une équipe compétitive autour de Ray Allen, les déceptions et espoirs déchus furent bien trop nombreux. Qu’un joueur aussi dominant que Allen ne comptabilise que 52 matchs de PO au cours de ses années dans le Wisconsin « is such a shame » comme on dirait au pays de l’Oncle Sam, d’autant plus quand on sait qu’il n’aura atteint qu’une seule finale de conférence en 1998. La moitié de ses participations en PO se sont soldées par une élimination au premier tour, et malgré un niveau de jeu à la hauteur de son surnom « Jésus », il n’a jamais pu porter réellement son équipe. Pire, il a subit des upsets absolument terribles comme en 1999, où, après une finale de Conférence l’année précédente, Milwaukee subit la loi de San Antonio dès le premier tour avec une série pliée en 4 manches. Ray Allen a donc cette réputation du joueur magnifique, irréprochable, incroyablement dominant en saison régulière, mais qui ne réussit jamais en Play Offs. Nombreux sont les spécialistes à avoir critiqué les choix de son GM des Bucks, pas toujours bien avisé et trop concentré à souhaiter le mettre dans les meilleures positions sans pour autant penser à l’équilibre d’une équipe sur laquelle il tirait parfois trop la corde. Pour preuve, cette année 2004 où Allen finit bien MVP mais à une triste 10e place de conférence. Un bien maigre lot de consolation, qui ravira son GM mais laissera fans et spécialistes dans l’incompréhension la plus totale. D’ailleurs le fil semble alors cassé avec Sylvester, et Allen pense alors à quitter sa franchise de toujours. Ce sera fait quelques mois plus tard puisque Allen est alors transféré contre un nombre record de Tdd dans un deal à 3 envoyant Anthony Parker à Chicago et donc Rayray à Dallas. A noter que le GM des Bucks, pour qui l’amour éprouvé pour Allen n’est plus à démontrer, a tenu particulièrement à ce que son FP puisse intégrer une équipe en position de prétendre au titre final, tout en comprenant que la direction de sa franchise n’était plus en adéquation avec les ambitions de son joueur.
Allen intègre alors une équipe qui sort d’une saison magnifique à 70 victoires en SR et d’une belle finale de Conférence. L’arrivée d’Allen est sensée être le déclic qui manque à Dallas pour aller gagner le titre et Dallas est sensé représenter cette franchise qui peut permettre à Ray Allen de toucher enfin l’ultime trophée. Si la saison n’est pas aussi fabuleuse que la précédente, Dallas continue de truster le haut du classement et fait parti des favoris. Allen continue d’accumuler les sélections au All Star Game et une First Team en fin de saison, mais l’arrivée en PO fait ressortir les vieux démons. Si le premier tour se passe sans trop d’encombres, les Mavericks rencontrent des Sonics portés par un James de gala qui écartent assez facilement Dallas après que Pop ai décidé de placer Allen à la mène de façon incompréhensible, ne faisant absolument pas honneur à son récent titre de GMOY gagné quelques semaines auparavant. Aujourd’hui le meilleur accomplissement collectif d’Allen reste, et de loin, cette superbe finale de conférence en 1998/1999 perdues après 7 matchs d’une exceptionnelle intensité face aux dominants Lakers qui n’auront surement pas connu plus difficile confrontation durant leur assise sur ces années.
Son talent ne souffre d’aucune contestation mais le parcours du joueur divise, considérant cette dichotomie caractérisée entre la réussite et domination individuelle et ses résultats collectifs.
Les années passent, et le prime d’Allen est assurément derrière lui. A 31 ans, il reste néanmoins l’un des meilleurs joueurs à son poste et dans une équipe compétitive qui prétend légitimement à la victoire finale. Autour d’une équipe composée de Shawn Marion, Pau Gasol, Erick Dampier et Luc Ridnour, il fait figure de vétéran dans une équipe pourtant expérimentée et techniquement très forte. La fenêtre est encore ouverte mais se réduit année après année et si le très doué arrière veut montrer qu’il peut aller au bout dans une position de titulaire affirmée, il lui faudra briser le signe indien afin de forcer le destin. Son talent le mérite bien.
Palmarès :
- 10 x All Star Bucks 1997, 1998, 1999, 2000, 2001, 2002, 2003, 2004 / Mavericks 2005, 2006
- 1 x Finale Conférence Bucks 1998
- 6 x All League First Team Bucks 1998, 2000, 2001, 2002, 2004 / Mavericks 2005
- 1 x All League Second Team Bucks 1999
- 2 x Scoring Leader Bucks 2000, 2004
- 1 x All League Third Team Bucks 2003
- 1 x MVP Bucks 2004
Mais cela ne s’arrête pas ici puisqu’il collecte également deux positions de scoring leader en 2000 et 2006 ainsi qu’un MVP 2004 historique car il fut le premier à le gagner sans accéder aux Play Offs. D’ailleurs, ce fut suite à ce « scandale » que la confédération des GM fut créé afin d’avoir l’opportunité de voter eux même pour les distinctions de fin d’année, au sein d’une sorte de consortium mis en place en parallèle à celui de la Ligue (déjà fragilisée par l’absence de nomination du Shaq pour ce même trophée malgré ses années de domination).
Mais revenons à Ray, pourquoi donc, avec tant d’accomplissement personnel et de domination le joueur ne truste t’il pas ce classement ? Et bien c’est simple, son armoire à trophées individuels est inversement proportionnel au vide que compose ses accomplissements collectifs. Si durant les neuf saisons passées à Milwaukee, le GM Sylvester n’a jamais rechigné à créer une équipe compétitive autour de Ray Allen, les déceptions et espoirs déchus furent bien trop nombreux. Qu’un joueur aussi dominant que Allen ne comptabilise que 52 matchs de PO au cours de ses années dans le Wisconsin « is such a shame » comme on dirait au pays de l’Oncle Sam, d’autant plus quand on sait qu’il n’aura atteint qu’une seule finale de conférence en 1998. La moitié de ses participations en PO se sont soldées par une élimination au premier tour, et malgré un niveau de jeu à la hauteur de son surnom « Jésus », il n’a jamais pu porter réellement son équipe. Pire, il a subit des upsets absolument terribles comme en 1999, où, après une finale de Conférence l’année précédente, Milwaukee subit la loi de San Antonio dès le premier tour avec une série pliée en 4 manches. Ray Allen a donc cette réputation du joueur magnifique, irréprochable, incroyablement dominant en saison régulière, mais qui ne réussit jamais en Play Offs. Nombreux sont les spécialistes à avoir critiqué les choix de son GM des Bucks, pas toujours bien avisé et trop concentré à souhaiter le mettre dans les meilleures positions sans pour autant penser à l’équilibre d’une équipe sur laquelle il tirait parfois trop la corde. Pour preuve, cette année 2004 où Allen finit bien MVP mais à une triste 10e place de conférence. Un bien maigre lot de consolation, qui ravira son GM mais laissera fans et spécialistes dans l’incompréhension la plus totale. D’ailleurs le fil semble alors cassé avec Sylvester, et Allen pense alors à quitter sa franchise de toujours. Ce sera fait quelques mois plus tard puisque Allen est alors transféré contre un nombre record de Tdd dans un deal à 3 envoyant Anthony Parker à Chicago et donc Rayray à Dallas. A noter que le GM des Bucks, pour qui l’amour éprouvé pour Allen n’est plus à démontrer, a tenu particulièrement à ce que son FP puisse intégrer une équipe en position de prétendre au titre final, tout en comprenant que la direction de sa franchise n’était plus en adéquation avec les ambitions de son joueur.
Allen intègre alors une équipe qui sort d’une saison magnifique à 70 victoires en SR et d’une belle finale de Conférence. L’arrivée d’Allen est sensée être le déclic qui manque à Dallas pour aller gagner le titre et Dallas est sensé représenter cette franchise qui peut permettre à Ray Allen de toucher enfin l’ultime trophée. Si la saison n’est pas aussi fabuleuse que la précédente, Dallas continue de truster le haut du classement et fait parti des favoris. Allen continue d’accumuler les sélections au All Star Game et une First Team en fin de saison, mais l’arrivée en PO fait ressortir les vieux démons. Si le premier tour se passe sans trop d’encombres, les Mavericks rencontrent des Sonics portés par un James de gala qui écartent assez facilement Dallas après que Pop ai décidé de placer Allen à la mène de façon incompréhensible, ne faisant absolument pas honneur à son récent titre de GMOY gagné quelques semaines auparavant. Aujourd’hui le meilleur accomplissement collectif d’Allen reste, et de loin, cette superbe finale de conférence en 1998/1999 perdues après 7 matchs d’une exceptionnelle intensité face aux dominants Lakers qui n’auront surement pas connu plus difficile confrontation durant leur assise sur ces années.
Son talent ne souffre d’aucune contestation mais le parcours du joueur divise, considérant cette dichotomie caractérisée entre la réussite et domination individuelle et ses résultats collectifs.
Les années passent, et le prime d’Allen est assurément derrière lui. A 31 ans, il reste néanmoins l’un des meilleurs joueurs à son poste et dans une équipe compétitive qui prétend légitimement à la victoire finale. Autour d’une équipe composée de Shawn Marion, Pau Gasol, Erick Dampier et Luc Ridnour, il fait figure de vétéran dans une équipe pourtant expérimentée et techniquement très forte. La fenêtre est encore ouverte mais se réduit année après année et si le très doué arrière veut montrer qu’il peut aller au bout dans une position de titulaire affirmée, il lui faudra briser le signe indien afin de forcer le destin. Son talent le mérite bien.
Palmarès :
- 10 x All Star Bucks 1997, 1998, 1999, 2000, 2001, 2002, 2003, 2004 / Mavericks 2005, 2006
- 1 x Finale Conférence Bucks 1998
- 6 x All League First Team Bucks 1998, 2000, 2001, 2002, 2004 / Mavericks 2005
- 1 x All League Second Team Bucks 1999
- 2 x Scoring Leader Bucks 2000, 2004
- 1 x All League Third Team Bucks 2003
- 1 x MVP Bucks 2004
Last edited by kcnarf on 21 July 2022, 19:36, edited 2 times in total.
DLGM7 : T.Rozier /B.Hield /P.George/M.Kleber/N.Jokic
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coach : M.Malone
banc : D.White/D.Hunter/M.Gasol/A.Holiday/D.Avdija/T.Maledon/I.Bonga
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Re: [24" BASKET LEAGUE] Hall of Fame
Retraités possibles l'an prochain :
Michael Redd
Chauncey Billups
Tim Duncan
Vince Carter
Raef LaFrentz
Paul Pierce
Mike Bibby
Manu Ginobili
Michael Redd
DLGM7 : T.Rozier /B.Hield /P.George/M.Kleber/N.Jokic
banc : D.White/D.Hunter/M.Gasol/A.Holiday/D.Avdija/T.Maledon/I.Bonga
coach : M.Malone
banc : D.White/D.Hunter/M.Gasol/A.Holiday/D.Avdija/T.Maledon/I.Bonga
coach : M.Malone
-
kcnarf
- 2838
Re: [24" BASKET LEAGUE] Hall of Fame
Une dernière chose : Ne faudrait-il pas faire entrer un contributeur cette année ?
A choisir parmi par exemple : Xarphios, Alexis, hgiv13, marmite, gugur ?
A choisir parmi par exemple : Xarphios, Alexis, hgiv13, marmite, gugur ?
DLGM7 : T.Rozier /B.Hield /P.George/M.Kleber/N.Jokic
banc : D.White/D.Hunter/M.Gasol/A.Holiday/D.Avdija/T.Maledon/I.Bonga
coach : M.Malone
banc : D.White/D.Hunter/M.Gasol/A.Holiday/D.Avdija/T.Maledon/I.Bonga
coach : M.Malone
-
KekeDeluxe
- 2688
Re: [24" BASKET LEAGUE] Hall of Fame
Yep, ça peut être Xarphios pour le titre et la création du concours de prono si je dis pas de bêtises (?)
Ou hgiv13 pour son doublé
Ou Alexis pour le titre, la longévité et la régularité sur les publis
Ou hgiv13 pour son doublé
Ou Alexis pour le titre, la longévité et la régularité sur les publis
-
kcnarf
- 2838
Re: [24" BASKET LEAGUE] Hall of Fame
Allen Iverson 2
7%
Jerry Stackhouse 0
Aucun vote
Alonzo Mourning 0
Aucun vote
Marcus Camby 10
33%
Damon Stoudamire 4
13%
Shareef Abdur Rahim 0
Aucun vote
Eddie Jones 11
37%
Zydrunas Illgauskas 0
Aucun vote
Kerry Kittles 2
7%
Glenn Robinson 1
3%
Eddie Jones, Marcus Camby et Damon Stoudamire sont élus.
On va aussi élire un contributeur
Les nominés seront comme annoncé précédemment :
Alexis, Xarphios, hgiv, gugur et marmite.
7%
Jerry Stackhouse 0
Aucun vote
Alonzo Mourning 0
Aucun vote
Marcus Camby 10
33%
Damon Stoudamire 4
13%
Shareef Abdur Rahim 0
Aucun vote
Eddie Jones 11
37%
Zydrunas Illgauskas 0
Aucun vote
Kerry Kittles 2
7%
Glenn Robinson 1
3%
Eddie Jones, Marcus Camby et Damon Stoudamire sont élus.
On va aussi élire un contributeur
Les nominés seront comme annoncé précédemment :
Alexis, Xarphios, hgiv, gugur et marmite.
DLGM7 : T.Rozier /B.Hield /P.George/M.Kleber/N.Jokic
banc : D.White/D.Hunter/M.Gasol/A.Holiday/D.Avdija/T.Maledon/I.Bonga
coach : M.Malone
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coach : M.Malone
-
kcnarf
- 2838
Re: [24" BASKET LEAGUE] Hall of Fame
Alexis rentre au hof en tant que contributeur. On attend son discours.
Alexis 56%
Xarphios 22%
hgiv13 11%
gugur Aucun vote
marmite Aucun vote
fredonaldo 11%
Alexis 56%
Xarphios 22%
hgiv13 11%
gugur Aucun vote
marmite Aucun vote
fredonaldo 11%
Last edited by kcnarf on 07 April 2022, 20:31, edited 1 time in total.
DLGM7 : T.Rozier /B.Hield /P.George/M.Kleber/N.Jokic
banc : D.White/D.Hunter/M.Gasol/A.Holiday/D.Avdija/T.Maledon/I.Bonga
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-
Daiv
- 8535
Re: [24" BASKET LEAGUE] Hall of Fame
Je quote pour qu'il fasse pas genre j'ai pas vu. On attend ton discours de hall of famer mec!
FFL, forum francophone spécialisé dans les Fantasy Leagues (NBA, NFL, NHL,...)
24" Basket League : ORLANDO MAGIC, "what if" Penny Hardaway
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