[24" BASKET LEAGUE] Publications

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RowLegion

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by RowLegion » 29 July 2020, 16:16

Image Matchs à thème Image

On connait désormais le calendrier pour la saison NBA et c'est ainsi que tout au long de l'année, le Bankers Life Fieldhouse proposera des matchs à thème, selon les adversaires, afin de rallier les fans des Pacers dans les rangs de l'enceinte d'Indianapolis. Sur une idée de notre clairvoyant GM en poste. Voici le programme :

KNICKS
Dates : 11/18/07 & 01/08/08
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On pensait la rivalité calmé depuis les playoffs 2003, où les hommes d'Hugo... tout seul... avaient remporté ignominieusement la série sur un score de 3 à 2.
Depuis 2 titres pour la franchise de la Big Apple, 3 saisons de dépression pour les Hoosiers.
Mais il est temps pour les Pacers de relever la tête ! Tant bien même, suite à une manœuvre des plus sournoise, des plus fourbe et dés plus vil, survenu lors de la Free Agency : la signature de Stephen Jackson alias le traître !!! Préférant un contrat de 9 819 264$ (même pas foutu de faire un compte rond... crapule !!) sur 3 ans et les boites de nuit de NY, plutôt que la vie, certes rude, mais calme de la campagne environnante d'Indianapolis avec la proposition d'un contrat montant à 13 500 000$ !!
C'est pourquoi lors de ces rencontres, le management et le staff vous fourniront des accessoires adaptés pour l'occasion, notamment ces magnifiques t-shirt (possibilité de choisir le colorie) et quelques pancartes :

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WIZARDS
Dates : 11/04/07 & 11/25/07

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"Y'a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis", voilà actuellement l’état d’esprit des fans dans l’Indiana. Des railleries, des moqueries et des insultes, c’est ce que susciter l’image du "Commish" Tikette.
Mais sa cote de popularité vient de monter auprès des supporters des Hoosiers suite à son geste de générosité en ne sélectionnant pas le pivot courtiser par les Pacers en la personne de Greg Oden. Préférant sélectionner l’argentin Luis Scola.
C’est pourquoi, lors de ses visites à Indianapolis, des mugs "I Love Commish" vous seront distribué ainsi qu’à la mi-temps un concours de t-shirt mouillé sera organisé pour l’occasion. On sait le Commish friand de ce genre de divertissement. Ne voyez en rien de l’obséquiosité, juste de la sympathie version paysanne et beauf.

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THUNDER :
Dates : 04/12/08

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Le retour du duo des GM’s débiles est de retour, les Laurel et Hardy de la simu, les Eric et Ramzy du trade loufoque, les Terrance et Philippe du deal foireux, ce sont bien eux !
Maloj ancien GM des Raptors, désormais GM du Thunder, ayant passé 2 années sabbatiques à se dorloter la pilule, reprend du service.
Nul doute que certains transfert, deal et sélection de joueur tous plus extravagant les uns que les autres vont faire parler dans les chaumières.
Bonzi Wells et Troy Murphy peuvent en témoigner...
Pendant le match, divers collectionneurs de cartes à collectionner passeront sur les écrans géants pour montrer leurs trouvailles ainsi qu'une fanfare reprenant le thème de pokémon pendant la durée de la mi temps... cela peu être long pour les profanes.

WARRIORS
Dates : 12/23/07

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Tel un inspecteur des impôts contrôlant absolument tout, il serait préférable pour les fans de la franchises des Pacers de venir dans les tribunes avec le strict minimum.
Évitez les montres tape à l’œil, les bijoux, les colliers, les vieux Jersey’s de collection. Pas de champagne dans le carré VIP, pas de show à la mi-temps. Faisons nous les plus pauvres possibles, messieurs dames.
Mais surtout !!! Surtout !!! Ne lui indiquez pas la salle cachée des Picks, il ferait des ravages, telle une maison emportée par une tornade.
Oui, messieurs dames, ce tartufe de V@l, GM des Warriors, est le pire charognard qui soit !! "Cachez ce pick que je ne serais voir", rétorquerait-il. Ou encore : "Il y avait un pick là ? Y’avait un pick !!"

MAVERICKS
Dates : 11/24/07

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Depuis que la ligue ait décidé de recruter des adolescents, c’est la débandade. Et quand bien même, pourquoi recruter un jeune trou du... un jeune prodige du management tout droit sortie de la petite ville de South Park dans le Colorado, Pop. Ne vous y trompez pas, ce petit garçon a l’allure geai et épanoui cache en réalité un tout autre visage, un requin du trade, un fourvoyer du pick. Pas étonnant que Mark Cuban l’avait pisté depuis pas mal de temps, pour sa franchise des Mavericks.
Alors, pour la venue des Mavericks, freestyle !! Insultes, débilités en tout genre, lancé de caca à la mi-temps, obscénité et vulgarité seront les bienvenues !! Une soirée utile après une mauvaise journée de boulot.


Jeux 24" : Confrontations fantaisistes : www.basketusa.com/forum/viewtopic.php?f=37&t=2685

Shoot-on-you

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by Shoot-on-you » 29 July 2020, 19:38

Bilan TC Nets : "Metta chuta, J.R monta, et ca péta ?

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Pivots :

Dan Gadzuric (-16) nous a paru moins un peu moins bondissant sinon la nouvelle recrue devrait bien renforcer ce poste désert au Nets et peut-être obtenir sa première défensive team.

Curtis Borchardt viendra apporter quelques minutes au relai de Gadzuric. De retour dans la ligue, après son passage à Grenada, il s'est montré à son avantage (+6) sur ces TC pas comme Nesterovic. La belle histoire serbe semble prendre fin avec un Nesterovic (-38) retombé dans ses travers sur ce TC.


Ailiers Fort :

Brian Cook (-19) commence toujours la saison tranquille, il n'a pas fait exception lors de ce TC.
lors de ce training camp. Un SAR (-6) heureux chez les Nets continue de rester en forme. Darius Songaila est une fausse bonne idée (-26).


Ailiers Shooteur :

MWP (-21) éprouve le besoin de souffler après une fin de saison en fanfare. Comme l'an passée au même stade, l'adresse n'était pas au rendez-vous. Shane Battier (-12) est à son niveau habituel.

Arf j'ai perdu la suite, je recommence


Arrières :

J.R. a bossé son physique pour impressionner les filles (+11 STR) et ca lui a réussi (+42), McCants (-4) a stagné et Greer (+34) mérite d'avoir sa chance.

Meneurs :

Deron Williams a bien progressé au mid-range (+10) mais il n'a toujours pas le niveau du all-star promis (+27). Damon Jones (-6) a toujours un niveau de jeu excellent pour un remplacant.

Bilan des TC :

C : Cata
PF : Cata
SF : Cata, MWP dernière saison chez les Nets
SG : Super : J.R Pas encore ca ton look pour les filles, continue à bosser mec
PG : Pas mal, que faire de d-will on verra.

Frenoulin Cornufle

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by Frenoulin Cornufle » 30 July 2020, 17:26

FBI : Frenoulin Bureau of Investigation

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Détective Frenoulin Cornufle au rapport !

- Les Wolves sont toujours en recherche d'un gros intérieur, avec disponibles des picks et le contrat expirant de Donyell Marshall.

SylvesterTemple

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by SylvesterTemple » 31 July 2020, 09:21

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En avant la jeunesse !

Pour cette nouvelle saison 2007/2008, le starting five de Milwaukee sera composé de :
Jarrett Jack - Marco Belinelli - Jeff Green - Thaddeus Young - Marc Gasol.

Soit 21.2 ans de moyenne d'âge pour le 5 majeur. Jack, avec ses 23 ans et ses 2 saisons NBA dans les jambes ferait presque figure de vétéran s'il n'y avait pas le rookie NBA mais expérimenté Marc Gasol (22 ans) dans le cinq et, surtout, Glenn Robinson (34 ans) dans la bench unit.
Plus jeune joueur de l'effectif avec à peine 19 bougies soufflées, Thaddeus Young intègre donc le starting five sans pression pour sa première saison NBA puisqu'il y sera accompagné de trois autres rookies (Gasol, Green, et Belinelli).
Parlant précocité, il faut aussi rappeler que, sur les dix NBAers n'ayant pas encore fêté leurs vingt printemps, deux joueront sous les couleurs de Milwaukee l'année prochaine, et pas qu'un peu : Thaddeus Young donc, mais aussi Andrew Bynum.
Bynum, qui, comme Jarrett Jack, entame sa troisième saison NBA, n'a encore que 19 ans. Il faut dire qu'il a été le plus jeune drafté de l'Histoire de la NBA puisqu'il n’avait encore que 17 ans à l'époque. Après deux saisons pleines (179 matchs en deux ans) et sans aucun match manqué, Bynum est encore un diamant à polir et Milwaukee lui laissera le temps de continuer à se développer au relais de Gasol depuis le banc à raison d'une vingtaine de minutes par rencontre au maximum, sa moyenne en carrière. Véritable brute physique, il ne lui manque certainement qu'un regain de confiance pour pouvoir aller de l'avant. A Milwaukee, nous comptons bien lui en donner autant que possible.
Gasol aura donc Bynum en rotation et Young, son coéquipier de raquette, aura Johnson. Soit un autre très jeune joueur puisque, malgré 2 saisons NBA au compteur, le jeune Amir Johnson n'a encore que 20 bougies sur son gâteau d'anniversaire. Comme Bynum, il sort de deux premières saisons complètes et sans blessure en NBA. Il n'a peut-être encore jamais joué les Playoffs, mais il a pour lui d'avoir été titulaire pendant les 3/4 de cette expérience entre Boston et Milwaukee, simplement remisé sur le banc dans le Massachusetts avec le repositionnement de Carmelo Anthony l'an passé comme PF.
Sur l'aile, on retrouvera évidemment un autre rookie, Jeff Green, choisi en 6ème position de la dernière draft, et qui semble être l'archétype de l'homme à tout faire, véritable liant d'un collectif, si toutefois il se développe comme attendu. Capable de prendre le lead du scoring cette saison si les planètes s'alignent, Green aura en plus la chance d'être secondé par Glenn Robinson, ancien gros scoreur et aujourd'hui vétéran de luxe dispensant ses conseils à foison dans le vestiaire.
Pour compléter le cinq de départ, le duo Marco Belinelli - Jarrett Jack. Le premier nommé, rookie lui aussi, a semble-t-il pris l'ascendant sur son coéquipier espagnol, un autre rookie, Rudy Fernandez, pourtant sélectionné plus haut dans la draft. Ceci afin d'installer ce dernier dans un rôle de joker en sortie de banc sur les postes 2 et 3, capable de mettre le feu au scoring tout en le faisant affronter des joueurs moins costauds, lui qui atteint à peine les 86kgs sur la balance pour son 1m98. Au poste de meneur, on pourra compter sur l'hyperactif Rodney Stuckey, arrière de formation mais pour qui le staff imagine un avenir à la Iverson sur les postes 1 et 2 en sortie de banc, au relais de Jarrett Jack.

La présaison arrive à grands pas et, enfin, Milwaukee pourra voir sa jeunes escouade à l'oeuvre. Il nous tarde !


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Le nouveau cinq majeur de Milwaukee (jerseys non-contractuels).
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Le nouveau cinq remplaçant de Milwaukee (jerseys non-contractuels).
Giannis Antetokounmpo : "My goal is to win in Milwaukee, bring a Championship to the city... I would never leave for LA." (02/07/2018)

Woj_24

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by Woj_24 » 02 August 2020, 11:13

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Marco Belinelli ou Rudy Fernandez comme SG titulaire à Milwaukee ? Il se murmure que le GM et le coach ne sont pas décidés et pourraient en trader un des deux si une bonne offre se présente...
Insider de la 24SecondsBasketLeague, je rapporte vos indiscrétions pour servir vos intérêts dans l'anonymat le plus total. Contact en MP.

Lumi

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by Lumi » 03 August 2020, 13:57

MILE HIGH NEWS
 
L'été fut calme dans le Colorado. Outre l'arrivée de Chris Bosh en échange de Mike Conley et le pick 08 des Pacers, les Nuggets ont signé pour une année Adrian Griffin (déjà passé par Denver il y a quelques saisons) afin d'assurer une rotation à l'arrière en cas de blessure. C'est donc sensiblement le même effectif que la saison passé qui s'est présenté aux camps d'entrainement.
 
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Les gros bosseurs
 
Chris Bosh (+58) : Son transfert d'un contender vers une jeune équipe en développement ne semble pas le démoraliser, bien au contraire ! Il est sur-motivé à l'idée d'être la pièce centrale de ces Nuggets, et a passé l'été à travailler tout les aspects de son jeu (+6 INS, +13 ORB +10 STR, +9 STA).

Cal Bowdler (+27) : Pivot d'expérience qui a roulé sa bosse au quatre coins du pays, Cal continue d'améliorer sa technique et d'entretenir son physique. Il continuera cette année encore à sécuriser la raquette avec son sens du contre au timing parfait.

Andrew Bogut (+25) : Malgré des performances en deçà des attentes du front office, Bogut continue de se développer, et d'apprendre de ses coéquipiers. Avec Rondo dans l'équipe depuis une saison, les mains carrés de l'australien sont devenus plus délicates (+7 HND), et plus précises au rebonds grâce aux précieux conseils du vétéran Bowdler (+10 ORB). Titulaire l'an dernier avant de glisser sur le banc à la fin de la saison, il devrait toutefois retrouver sa place dans le cinq cette année.
 
Les bosseurs mais pas trop
 
Rudy Gay (+15) : Après une saison rookie aussi bien réussi, on aurait pu s'attendre à une forte progression. Malgré tout, Rudy reste une star en devenir, et pourra s'épanouir cette saison avec moins de pression en devant la deuxième option offensive après Bosh.

JJ Barea (+15) : PG durant son cursus universitaire, Barea s'est vu attribué un rôle de combo guard pour sa première année dans la grande ligue. C'est donc naturellement qu'il a focalisé son travail estival sur son physique (+16) plutôt que sa technique (-1) afin de mieux rivaliser avec ses adversaires SG. Le staff souhaite le voir devenir le leader offensif de la second unit.

Dominic McGuire (+14) : Drafté en fin de second tour, et destiné à être coupé dans la foulée, il a réussi a convaincre le staff de le conserver. Avec son travail cette été, le front office songerai à l'envoyer dans le camp de développement intensif pour le récompenser.

Andrea Bargnani (+8) : Doublure de Villanueva l'an passé, l'arrivée de Bosh devrait l’empêcher de voir le parquet cette saison. Il sera néanmoins précieux en cas de blessures.

Monta Ellis (+6) : Petite déception, lui qui était un pari lors de sa draft et qui n'avait cessé de fortement progresser (+34 en moyenne). Il lui reste encore 2 saisons afin de prouver qu'il mérite sa place de titulaire dans une équipe ambitieuse.
 
Les vacanciers
 
Charlie Villanueva (-1) : Blessé alors qu'il réalisait une excellente saison, le travail acharné de Villanueva cet été lui a permis de retrouver, ou presque, son niveau antérieur à sa blessure. L'arrivée de Bosh à son poste va toutefois changer son rôle, et des rumeurs circulent sur une potentiel départ de Villanueva, pour ne pas voir son talent gâché.

Rajon Rondo (-9) : Passer son été à jouer au puissance 4 sur la plage n'est pas un moyen de s'améliorer en temps qu'athlète professionnel. Il reste malgré tout un excellent meneur de jeu à potentiel et devrait s'épanouir à organiser le jeu pour Chris Bosh et Rudy Gay.

Al Thornton (-25) : Drafté en début de second tour, le front office envisageait de l'envoyer dans le camp de développement intensif pour en faire une rotation solide derrière Rudy Gay. Trop confiant, Al a préféré passer son été sur les plages entre les Martini et les bikini plutôt qu'à la salle. Cela va lui coûter la place dans le camp et dans la rotation.

Damon Stoudamire (-32) : Arrivée dans le Colorado par hasard et avec une carrière déjà bien remplie, il ne devrait voir le parquet seulement en cas de blessures. Le front office lui d'ors et déjà annoncé que son option pour la saison prochaine sera décliné.
 
La rotation probable pour le début de saison
 
Rajon Rondo - JJ Barea
Monta Ellis - JJ Barea
Rudy Gay - Dominic McGuire
Chris Bosh - Charlie Villanueva
Andrew Bogut - Cal Bowdler

marmite

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by marmite » 07 August 2020, 14:34

GMOY

10-11 :
1) SylvesterTemple 2) KJ7 3) Alexis
09-10 :
1) Marmite 2) RowLegion 3) Lumi
08-09 :
1) LA_Bonne 2) SylvesterTemple 3) KekeDeluxe
07-08 :
1) Val 2) Fredonaldo 3) Daiv / Marmite
06-07 :
1) Fredonaldo 2) Val 3) Rhea
05-06 :
1)Noiretblanc 2) Pop 3) Daiv
04-05 :
1) Dumarsetçarepart 2) Marmite 3) V@l
03-04 :
1) Val 2) SylvesterTemple 3) hgiv / Alexis
02-03 :
1) Hgiv 2) Alexis 3) SylvesterTemple
01-02 :
1) Shoot-on-you 2) Xarphios 3) Kekedeluxe
Last edited by marmite on 10 May 2021, 09:07, edited 2 times in total.

Alexis

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by Alexis » 07 August 2020, 22:49

LES ANNONCES D'AVANT-SAISON

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On y est, on y est ! La terrible saison NBA 2007-08 s'avance à grands pas, même si pour l'instant un flou administratif ne permet pas de connaître la date exacte de la reprise officielle. Néanmoins cela est imminent, et plusieurs franchises vont démarrer le couteau entre les dents et avec des objectifs clairs, définis et affichés). QUINZE franchises sur 28, QUINZE annonces pour la saison 07-08, rankées par degré de difficulté. Sans plus tarder, voici ce qui vous attend pour la saison à venir.

EASTERN CONFERENCE : 5 franchises
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- NEW JERSEY NETS : "La East conf c'est ma chose, cette année c'est top 4"
Couillu, la prise des risque est là côté NJ. L'équipe amenée par Metta World Peace, D-Will & le fantasque J.R Smith a réussi à attirer cet été l'intérieur sérieux Dan Gadzuric et mise sur la continuité d'un groupe habitué à jouer ensemble pour réussir son coup. Un remake de 2000-01 à venir ?


- DETROIT PISTONS : "Tony Allen va dominer la league en defense, et lead les Pistons en playoffs"
All-NBA Defensive Team pour Tony Allen, Detroit qui accroche les Playoffs. Il est vrai que renforcé de T-Mac les Pistons ont de quoi tirer leur épingle du jeu, mais la Free Agency cauchemardesque nécessitera peut-être des ajustements durant la saison pour choper le spot qualificatif. Quand à Tony, il a les atouts pour énerver l'attaquant d'en face. De là à grimper en all-defensive ? (Annonce recalée car limite à 2 : T-Mac All-Star)

- MILWAUKEE BUCKS : "Jeff va dominer dès le début : top 20 scoreur, devant Marc Gasol !"
Certes, il aura de l'espace pour scorer, même si le roster est doublé voire triplé sur chaque poste. Néanmoins, il ne semble pas encore avoir une facilité folle pour aller au cercle, se créer son tir, shooter comme son prédecesseur au poste Kyle Korver : la marche est-elle trop haute ?

- ORLANDO MAGIC : "Ahahahaha ces bouseux de Cleveland ??? Derrière mon fion !! PROUT !!
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Que voilà une annonce croustillante, tant on sait la relation saine et positive entre les GM de ces 2 franchises. A Orlando on annonce, Cleveland et sa raquette verra le popotin de Paul Pierce, Gilbert Arenas & Lamar Odom une fois la saison terminée. Costaud !

Et la palme de l'annonce WTF est décernée à...
- INDIANA PACERS : "Le pick Pacers 08 sera top 5 de draft !"

Eh oui, on parie contre sa propre équipe aux Pacers :mrgreen: La confiance n'est peut-être pas au top dans leurs troupes, la faute à une FA compliquée notamment, mais le trio Mo Williams - Nocioni - Lafrentz a du basket plein les mains. Esseulés peut-être, mais dans la East Conf, allez savoir...


WESTERN CONFERENCE : 10 franchises


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To be continued.

-

Nota Bene : les prévisions sont réelles, les propos sont romancés.

Crockets

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by Crockets » 08 August 2020, 11:50

Présaison Mardi 11 Août. Deadline pour les rotations à 20h. Je simulerai un mois complet sans blessures.

Alexis

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by Alexis » 09 August 2020, 23:00

Alexis wrote:
07 August 2020, 22:49
LES ANNONCES D'AVANT-SAISON

On y est, on y est ! La terrible saison NBA 2007-08 s'avance à grands pas, même si pour l'instant un flou administratif ne permet pas de connaître la date exacte de la reprise officielle. Néanmoins cela est imminent, et plusieurs franchises vont démarrer le couteau entre les dents et avec des objectifs clairs, définis et affichés). QUINZE franchises sur 28, QUINZE annonces pour la saison 07-08, rankées par degré de difficulté. Sans plus tarder, voici ce qui vous attend pour la saison à venir.

EASTERN CONFERENCE : 5 franchises


- NEW JERSEY NETS : "La East conf c'est ma chose, cette année c'est top 4"
Couillu, la prise des risque est là côté NJ. L'équipe amenée par Metta World Peace, D-Will & le fantasque J.R Smith a réussi à attirer cet été l'intérieur sérieux Dan Gadzuric et mise sur la continuité d'un groupe habitué à jouer ensemble pour réussir son coup. Un remake de 2000-01 à venir ?


- DETROIT PISTONS : "Tony Allen va dominer la league en defense, et lead les Pistons en playoffs"
All-NBA Defensive Team pour Tony Allen, Detroit qui accroche les Playoffs. Il est vrai que renforcé de T-Mac les Pistons ont de quoi tirer leur épingle du jeu, mais la Free Agency cauchemardesque nécessitera peut-être des ajustements durant la saison pour choper le spot qualificatif. Quand à Tony, il a les atouts pour énerver l'attaquant d'en face. De là à grimper en all-defensive ? (Annonce recalée car limite à 2 : T-Mac All-Star)

- MILWAUKEE BUCKS : "Jeff va dominer dès le début : top 20 scoreur, devant Marc Gasol !"
Certes, il aura de l'espace pour scorer, même si le roster est doublé voire triplé sur chaque poste. Néanmoins, il ne semble pas encore avoir une facilité folle pour aller au cercle, se créer son tir, shooter comme son prédecesseur au poste Kyle Korver : la marche est-elle trop haute ?

- ORLANDO MAGIC : "Ahahahaha ces bouseux de Cleveland ??? Derrière mon fion !! PROUT !!

Que voilà une annonce croustillante, tant on sait la relation saine et positive entre les GM de ces 2 franchises. A Orlando on annonce, Cleveland et sa raquette verra le popotin de Paul Pierce, Gilbert Arenas & Lamar Odom une fois la saison terminée. Costaud !

Et la palme de l'annonce WTF est décernée à...
- INDIANA PACERS : "Le pick Pacers 08 sera top 5 de draft !"

Eh oui, on parie contre sa propre équipe aux Pacers :mrgreen: La confiance n'est peut-être pas au top dans leurs troupes, la faute à une FA compliquée notamment, mais le trio Mo Williams - Nocioni - Lafrentz a du basket plein les mains. Esseulés peut-être, mais dans la East Conf, allez savoir...


WESTERN CONFERENCE : 10 franchises



To be continued.

-

Nota Bene : les prévisions sont réelles, les propos sont romancés.
LES ANNONCES D'AVANT-SAISON
Suite et fin : Western Conference

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Depuis les annonces de 5 franchises de la conférence Est pour la saison qui démarre, nous avons appris les dates de reprise NBA : Mardi 11 Aout, toutes les franchises seront sur le pont pour un tour de chauffe et les matchs d'avant-saison. Il est ainsi temps de boucler la fin des annonces, et vous allez le voir... certains n'ont pas froid aux yeux, ni aux fesses, ni à une quelconque partie de leurs corps ! Let's go, on a essayé de trier ça du plus osé au plus locked.


WESTERN CONFERENCE : 10 franchises


- OKLAHOMA CITY : "Pour notre 1ère saison NBA dans cette conférence que vous appelez "jungle" :lol: ? 5 équipes dans le rétro, minimum ! Et on parle que de notre conférence."
A moitié fou, à un tiers bourré ou à un sixième devin ? Ce qui est sûr c'est que le F.O du Thunder ne manque pas d'ambition, n'a pas peur de les afficher ni d'être à contre-courant, au contraire. Au pire 9ème, au mieux en playoffs, l'équipe amenée par Josh Howard & Kyle Korver va avoir fort à faire pour la première saison NBA de la franchise, mais les jeux sont ouverts. Il va falloir doubler Blazers, Kings, Suns, Nuggets et Wolves pour atteindre l'objectif. Et n'oublions pas que les GMs de Houston & Cleveland ont misé chacun une testicule dans l'histoire. Ca vaut pas un petit cri d'encouragement pour OKC tout ça ?



- UTAH JAZZ : "Lebron derrière moi, le Jazz dans la cinquantaine !"
Eh oui, la franchise d'Utah voit grand et dans une conférence Ouest toujours plus dense, atteindre les 50 W ne sera pas aisé. Mais la bande à Harrington, Brandon Roy, Michael Redd & Raymond Felton ont de sérieux atouts pour y parvenir. De là à finir la saison devant l'équipe de Lebron ? Pas impossible au vu de l'intersaison pas complètement réussie à Seattle, mais ils n'ont pas les faveurs des pronos. Bonne chance !



- DALLAS MAVERICKS : "Moquez-vous, mais Ridnour sera all-star et les Mavs locked top6, c'est annoncé"
Comment un joueur sortant d'une saison à 12pts et 6passes peut à ce point faire des émules à Dallas ? Le FO des Mavs parie probablement sur l'espace libéré par le départ de Ray Allen dans le backcourt, et sur l'endurance de marathonien de son meneur. Pari non impossible mais qui a fait quelques remous dans le milieu NBA. Malgré le départ de sa star, la franchise se voit top 6 dans une conférence Ouest très dense. Attention aux Rockets, Nuggets, Wolves qui poussent fort dans la division pour grapiller des places !



- SAN ANTONIO SPURS : "J'vous roule dessus en SR, j'vous roule dessus en PO !"
1st bilan NBA en SR, champion en fin de saison. On manque rarement d'assurance et de confiance dans la franchise texane, mais cette année elles sont à leur maximum. Le roster est talentueux mais se sortir de l'enfer de l'ouest pour atteindre cette double ambition sera très compliqué, et certains manques (jeunesse, cohésion) peuvent être létaux à la franchise. Gare aux blessures !



- MINNESOTA TIMBERWOLVES : "Dépucelage pour la franchise : cette année, c'est PO assuré !"
Renforcé par Kevin Martin mais délaissé par Chris Kaman, l'équipe de Granger et Nelson a du pain sur la planche dans une division et une conférence folle (on l'avait déjà dit je crois ? Pas grave, ça valait le coup !). Le banc semble également très timoré et la franchise qui sort d'une saison en position de 23e/26e ne part pas avec les faveurs des pronostics. Des rumeurs de deal au 15.12 pourraient venir donner les moyens aux annonces de la franchise ?



- DENVER NUGGETS : "Rajon Rondo règnera sur le royaume des passeurs."
Top 5 du classement des passeurs pour sa première campagne NBA, le jeune sophomore de 21ans a d'indéniables atouts pour rafler le Steve Nash Trophy : 7 passes l'an passé en tout juste 29minutes à 40% AST%, il a l'endurance d'un chameau, un nouveau partenaire élite sur le terrain pour cueillir ses offrandes (Chris Bosh) et une équipe qui bataillera sur la majorité de ses matchs, lui permettant d'engranger un maximum de minutes. Candidat idéal, mais encore jeune et la ligue n'est pas dépeuplée de bons passeurs.



- HOUSTON ROCKETS : "Nous serons à 4 victoires au maximum du Jazz."
Rien d'irréalisable dans cette annonce, qui est intervenue avant les trainings camps d'une franchise que beaucoup estimaient trop jeune pour accéder aux PO dans ce côté là de la ligue. Nul doute que les playoffs sont l'objectif, et suivre le train du Utah Jazz n'est pas impensable. Il ne faudra pas perdre de temps malgré tout !



- SEATTLE SUPERSONICS : "Lebron MVP, Raja Bell All-star."
Encore une fois un pari assez prudent, mais qui n'est pas tout cuit. Avec une intersaison pas franchement réussie, voir Lebron et Bell stater plus que jamais est une évidence. Malgré tout, Lebron James ne joue que 29' de temps de jeu depuis l'arrivée du nouveau staff : cela devrait changer, et la physionomie des matchs de Seattle, habitués à survoler les débats, devrait également favoriser une montée de ses minutes. Le principal obstacle à écarter pour Lebron et Raja vers la voie tracée par le FO sera le même : une concurrence féroce et rude, prête à combattre. Cela serait le premier MVP pour Lebron et la première nomination au match des étoiles pour Raja Bell : un juste retour des choses ?



- PORTLAND TRAILBLAZERS : "3 pivots équivalents dans le top de la draft ? Mon Joakim va tous les pulvériser !
1st rookie team pour Joakim Noah, telle est l'annonce du FO des Blazers. La concurrence, si l'on écarte fort logiquement Greg Oden, Thiago Splitter, Spencer Hawes et consorts, se nomme principalement Al Horford et Marc Gasol. L'intérieur des frelons arrive rookie dans une team qui joue la gagne, sera peut être décalé en PF et ne devrait pas gêner le duo franco-espagnol qui nous attend. Deux franchises assez pauvres en fort talent : avantage Marc Gasol, un peu plus prêt pour scorer, plus endurant également, mais Joakim Noah peut profiter de son avantage au rebond pour prendre le dessus. A vos marques, prêts...



- SACRAMENTO KINGS : "C'est qui ces noobs qui débarquent en terrain conquis ? OKC derrière SAC, for life !"
Et avec une équipe assez complète amenée par Lamarcus Aldridge, Chris Duhon, Mike Pietrus et une palanquée de role players ou de jeunes sympathiques, on comprend pourquoi Sacramento annonce cela. Ils ont les faveurs des pronostics, et une côte à 1.05 qui gagne ça rapporte plus qu'une côte à 15 qui foire. Malin le Kéké !


Et les annonces plus générales ?
- Du côté de Detroit, on voit Orlando hors des PO dans la conférence Est, ainsi qu'une franchise parmi les 3 qui suivent : Mavericks, Warriors, Rockets. Les deux prévisions sont réalisables mais possèdent de belles côtes. Detroistradamus en action ?



- Enfin, 2 sons de cloches non opposés mais qui concernent la franchise de Golden State, autrice de beaucoup de mouvements depuis le nouvel échec au premier tour des Playoffs : il se murmure que le FO du Jazz, son bourreau récent, mise enfin sur une présence au second tour de GSW, quand le FO des Mavericks ne croit pas franchement en une saison brillante de leur nouveau meneur à tout faire : Mike Conley, 8pts, 4 passes, 53TS, grand max. A lui de le faire mentir !


Nota Bene : les prévisions sont réelles, les propos sont romancés.

On pourra dire ce qu'on veut, mais même au jeu des annonces, la conférence ouest est plus présente. @-) ::d

Récap des annonces :
- NJ : Top 4 East Conf
- Pistons : Tony Allen all-defensive team, Pistons en PO (t-mac all-star également)
- Bucks : Jeff Green top 20 scoring (devant M.Gasol)
- Magic : Magic > Cleveland
- Pacers : 1st08 Pacers bottom 5

- OKC : au pire 9e de conférence
- Utah : Utah > Seattle, 50W en fin de saison
- Mavericks : Ridnour All-Star, Mavs top6 West conf
- Spurs : 1st SR, champion NBA
- Timberwolves : Playoff time !
- Nuggets : Rondo meilleur passeur NBA
- Rockets : Rockets + 4 wins >= Jazz
- Supersonics : Lebron MVP, Bell All-star
- Trailblazers : Joakim Noah 1st-rookie team
- Kings : SAC > OKC

Hors champ mais tout de même :
- Pistons : Magic hors des PO, et soit Warriors soit Mavericks soit Rockets hors des PO
- Mavericks : Conley cette SR, c'est max 8pts 4passes 53TS
- Jazz : Warriors en demi de conf NBA au minimum
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PopJH13

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by PopJH13 » 11 August 2020, 09:57

Dallas NBA News
NBA 2007-2008 Power Ranking by PopJH13, deuxième édition

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1 - San Antonio Spurs : Une fois n'est pas coutume, l'équipe texane est en tête de notre preview. Une intersaison mouvementée qui verra PP34, Francisco Garcia ainsi que Perkins s'en aller, pour les arrivées de Varejao ainsi que des rookies Wright, Hawes et Watson. Alexis aura à cœur de faire oublier sa contre performance de l'an dernier avec une saison de haute volée.

2 - Charlotte Hornets : Les frelons réalisent un bon au classement par rapport à l'an dernier, quoi de plus logique pour une équipe qui a enregistrée les progressions de Chris Paul, l'arrivée de Francisco Garcia ainsi que l'arrivée de Al Horford en échange de Kevin Martin. On attend avec impatience l'année 2 du pick & roll Chris Paul/Stoudemire.

3 - Boston Celtics : Équipe un peu difficile à classer, entre un 5 majeur (surtout 4 en fait) assez impressionnant des deux côtés du terrain, et un banc moins bon que celui de Washington. Du côté de la rédaction on a pris le parti d'une saison confirmation des espoirs celtes avec Melo de retour de sa longue blessure et Jamal Crossover de plus en plus dominant.

4 - Bulls : Le finaliste malheureux de l'an passé est la troisième équipe de l'est dans notre pronostic. Toujours mené par le meilleur joueur ainsi que le meilleur PG de la ligue, ça fait déjà deux arguments costauds. Ajoutez à ça un duo Strickland/Parker sur les postes 2/3 et une cohésion toujours au top, et vous obtenez 55W sans blessures.

5 - Lakers : Les Californiens sortent d'une intersaison parfaite avec de toutes nouvelles ambitions, les arrivées de Marcus Camby, ainsi que Leandro Barbosa et les prolongations de Hugues, Foster, Johnson et Ford n'y sont pas étrangers. La deuxième place de l'ouest semble accessible au vu de cet effectif.

6 - Seattle : Le champion en titre selon 3e de sa conférence et 6e de la ligue ? Les pertes de Lafrantz Gazduric Pavlovic expliquent cette chute.. Raja Bell vieillit, mais les arrivées de Closs et Richardson stoppent l'hémorragie côté Sonics, malgré cela, la présence de LeBron James dans l'effectif devrait assurer une place confortable dans cet ouest extrêmement homogène.

7 - Sixers : L'équipe de Philadelphie sort de deux belles saisons conclues par une finale et une finale de conférence, les joueurs majeurs que sont Kobe Bryant Richard Jefferson et Jerome James ont étés conservés, mais Allen Iverson et Miller vieillissent sur le backcourt et la perte d'une rotation plus que correcte en la personne de Brad Miller est préjudiciable.

8 - Warriors : Une des équipes la plus compliquée à classer de la ligue, le départ de Mike Bibby, Gilbert Arenas et Chris Bosh en est une des principales raisons. Mike Conley arrive pour remplacer le trou béant à la mène. David West semble être promis à un poste de titulaire dans cette équipe à côté de Dwight Howard, suffisant pour être top 5 à l'ouest ? On prend le pari que oui, affaire à suivre.

9 - Jazz : Le malheureux finaliste de la conférence ouest repart avec un cinq majeur qui comporte la plupart des mêmes hommes forts, en dehors de Erick Dampier qui vient renforcer la raquette en lieu et place de Jelani McCoy. Sur le banc, plus de mouvements avec l'arrivée de Alston en provenance de NY et de Stepania au relais de Dampier. Les progressions du duo Felton/Roy seront déterminantes dans la quête de l'avantage du terrain, le GM ayant déclaré qu'il visait les 50 victoires cette saison.

10 - Cavaliers : Après une saison surprise où la franchise de l'Ohio se qualifie en playoffs avant d'être balayée par les Sixers. Emporté par son élan, le GM a accueilli les arrivées Tim Duncan et Rip Hamilton et les départs de Sefolosha, Green ainsi que l'historique Steve Nash. La raquette extrêmement dominante des Cavs avec un Tyson Chandler conservé pourrait les mener vers des sommets à l'est, malgré la faiblesse de leurs postes extérieurs, notamment à la mène, où le vieillissant Nick Van Exel aura fort à faire pour emmener cette équipe aux sommets.

11 - Rockets : Le pire bilan de l'ouest l'an dernier pourrait vite retrouver une place de choix dans leur conférence, grâce notamment à l'arrivée de Kevin Durant qui présente un potentiel terrifiant, les postes extérieurs sont très bien pourvus avec Foye, Nash et le jeune Calderon, le poste de pivot est très bon aussi avec Kaman et Perkins, tout deux arrivés depuis la Free Agency. Le poste faible est par contre celui d'ailier fort, PJ Tucker et Novak étant pressenti pour starter à cette position, un profil défensif unidimensionnel ou shooteur unidimensionnel.

12 - Nets : La franchise du New Jersey sort d'une échelle saison où elle a déjoué tout les pronostics en finissant à une convaincante 5e place et 49 victoires. Elle se retrouve avec le même groupe dans les grandes lignes, renforcé de l'expérience du triple champion Dan Gazduric. La concurrence s'est néanmoins renforcée et c'est à cause de cela que NJ fera, à mon sens, une moins bonne saison que l'an dernier.

13 - Mavericks : Quelle désillusion que cette Free Agency pour Dallas... Malgré les arrivées de Jason Williams ainsi que Austin Croshere, Ray Allen fera le choix de s'en aller vers la Californie et ChokeTeam. Qu'à cela ne tienne, le GM des Mavs est confiant, notamment grâce à un trade au 15/12 qui verrait arriver Vujavic selon un insider de la ligue. En attendant ledit transfert, c'est House qui devrait assurer la position de SG.

14 - Pélicans : New Orleans aura vécu une intersaison plutôt calme, l'un des seuls mouvements sera de faire venir Kenyon Martin, pour semble-t-il, jouer pivot. Projet discutable lorsque l'on voit son échec dans ce même registre à Détroit. Les progressions de Iguodala ainsi que Parker rende une belle saison plausible en Louisiane. Avec un pivot de métier cette équipe pourrait devenir un excellent poil à gratter dans l'ouest.

15 - Magic : Après la Free Agency ratée de l'an dernier, celle ci est une franche réussite avec la signature de Paul Pierce et la prolongation de Lopez, Ricky Davis, et de la star Howard qui sera transféré dans la foulée. Cette équipe arrive donc avec un effectif complet malgré des failles à l'intérieur. Menée par une ligne extérieure Lopez Davis Pierce, la franchise floridienne peut donc poser des problèmes à la plupart des équipes de la ligue.

16 - Wolves : Après une saison très décevante dans le Minnesota, les Wolves ont fait le choix de trader leur pick pour récupérer le SG des Hornets, Kevin Martin qui devrait avoir les clés de l'attaque à Sota. Si le cinq majeur est de haute facture, le banc reste à désirer même s'il se murmure en coulisses qu'un trade serait envisageable pour le GM des Wolves dans le but de récupérer du banc.

17 - Nuggets : Les Nuggets ont marqués cette intersaison par un move extrêmement bien senti, celui de l'arrivée de Chris Bosh en échange du pick 2 de l'équipe, qui deviendra Mike Conley et du pick 2008 des Pacers. L'éclosion des jeunes et ce nouveau FP feront assurément des Nuggets une équipe sur laquelle il faudra compter, encore un peu tendre pour les playoffs néanmoins.

18 - Suns : L'équipe de Phoenix sort d'un premier tour de playoffs, et a une équipe très jeune. Une fois cela dit, comment ne pas les mettre en playoffs ? Tout simplement parce que la concurrence s'est renforcée, aucun FP n'est présente dans cet effectif et Lowry ainsi que Millsap, les deux stars de l'équipe sont encore clairement tendres. Assurément un bel avenir pour la franchise de l'Arizona en NBA !

19 - Pistons : Cela commençait bien, un trade de Barbosa pour ramener Tracy McGrady, puis quelle catastrophe a été cette Free Agency pour Détroit... Les pertes de Turkoglu, Kenyon Martin et surtout Camby et Rip Hamilton sont dures à avaler pour la franchise du Michigan, pour remplacer ce dernier, la solution s'appelle Tony Allen, annoncé All Defensive par son GM. Shaquille O'Neal est l'unique satisfaction de cette FA, mais les playoffs devraient être accessibles pour cette équipe grâce à leur collectif.

20 - Heat : Été contrasté que celui du Heat, d'un côté l'arrivée de Mike Bibby dans une équipe qui cherche désespérément un meneur depuis maintes et maintes années est un salut inespéré. De l'autre, l'enfant de Miami, Dwayne Wade s'en va vers NY, qui alors pour jouer arrière dans cette équipe ? Caron Butler ou Dunleavy ? Quoiqu'il en soit, en l'état l'équipe est trop mal construite pour ambitionner autre chose qu'une sortie au premier tour de playoffs au mieux.

21 - Thunder : Toute nouvelle équipe en NBA, la franchise d'Oklahoma aura fait couler beaucoup d'encre cet été, tout d'abord avec un trade surprise de Josh Howard contre 2 des ses picks, jugés excellents, puis en recrutant Kyle Korver en envoyant son rookie Jeff Green. Alors réussite ou échec complet ? L'opinion générale, et la mienne, penche vers le deuxième cas, notamment à cause d'un meneur pas au niveau et d'une raquette vide.

22 - Pacers : Sans leur choix de draft, les Pacers se devaient d'être compétitif pour l'année à venir, c'est chose faite avec un premier deal extrêmement bien senti, qui ramène Lafrantz et un pick contre Jefferson et Closs. La draft d'Indiana ramène Sessions et surtout le pivot Greg Oden. La perte de Stephen Jackson est une petite déception pour le FO, mais l'arrivée de Mo Williams compense amplement le départ du nouveau Knicks.

23 - Raptors : Ventre mou, quand tu nous tiens... Un effectif avec quelques belle pièces, mais un manque criant sur le poste de pivot et celui d'ailier, l'axe Hinrich Murphy est néanmoins prometteur, pas assez pour atteindre les playoffs, mais pour avoir un pick pas si bas finalement. Une des questions de cet effectif sera de voir si Ariza peut s'imposer comme un vrai titulaire dans une équipe avec de l'ambition.

24 - Kings : Les Californiens, forts d'un sophomore ayant réalisé une saison rookie phénoménale, ne devraient ne pas être tout au fond de leur conférence à l'issue de cette saison. Pour accompagner LMA, Brezec dans la raquette en Duhon ou Wilson Chandler ont un potentiel évident. Un banc correct en dehors de ça, en résumé équipe très tendre mais avec un potentiel indéniable.

25 - Knicks : Une des franchises les plus dominantes des dix dernières années, dans le sillage de la draft de Duncan et de l'arrivée de O'Neal reconstruit enfin, départ de Duncan à Cleveland contre des picks et des jeunes. La Free Agency verra arriver Stephen Jackson et Jermaine O'Neal en prime, aucune garantie qu'ils terminent la saison dans la grosse pomme en revanche. Le gros coup de cette même free agency reste Wade, qui s'en va de Miami pour tenter de devenir le FP de cette équipe de NY, à nouveau sans meneur.

26 - Blazers : Portland dans les bas fonds de l'ouest, ça risque de continuer une année encore, malgré la draft de Joakim Noah, prospect extrêmement intéressant et des arrivées de Gomes et Peterson, l'équipe semble extrêmement faible à l'extérieur, encore plus après le départ de Mo Williams vers les Pacers, qui verra arriver le SG Redick qui devra essayer de se faire une place dans la rotation en concurrence avec Lou Will, ainsi que CJ Miles.

27 - Bucks : Intersaison réussie pour les Bucks avec la draft de nombre de prospects intéressants, le problème reste néanmoins le même à Milwaukee, 23, c'est l'âge du membre du cinq majeur le plus âgé de cette équipe, Jarret Jack, l'inexpérience des Bucks ne pourra pas les mener plus haut que les profondeurs de l'est, malgré la draft du meilleur joueur après KD de cette promotion de rookies, et les arrières Bellineli et Fernandez qui auront à cœur de se montrer pour leur première année.

28 - Wizards : L'autre équipe d'expansion est un chantier sans nom, la raquette Scola/Brad Miller n'est déjà pas très rassurante, mais la ligne extérieure Best Mobley Murray... La pire équipe de la ligue sans trop de soucis à priori. Avant l'arrivée d'un franchise player à la prochaine draft, l'année va être longue dans la capitale.

Sativa

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by Sativa » 11 August 2020, 16:50

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1/ Philadelphia 76ers (+3)

Tous les ans la rédaction n’a pas trop de mal à trouver son numéro 1… Cette année ce fut compliqué, il y a trop d’équipes au top niveau cette saison. On place les 76ers en premier. Il y aura sûrement monitoring des minutes encore cette saison mais la qualité de l’effectif est plus qu’indéniable.


2/ Charlotte Hornets (+1)

Charlotte sort d’une belle saison à 56 victoires. Après une élimination en demi de conférence au Game 7 contre les Sixers, le groupe s’est renforcé avec les arrivés de Garcia et Horford. Le duo Paul-Stoudemire est encore très jeune, tout simplement effrayant de se dire que l’équipe pourrait être au top encore 10 ans.


3/ Los Angeles Lakers (+7)

La rédaction a toujours pris des risques sur ses surprises et ses déceptions, voici la 1ère de cette année. Les Lakers premier de l’Ouest ? On y croit totalement. La seule interrogation réside sur le poste 4 de l’équipe mais sinon le reste est tout bonnement effrayant de qualité et de profondeur. Avec la venue de Foster en cours de saison, Camby et Barbosa cet été, les Lakers peuvent frapper très très fort cette saison.


4/ Chicago Bulls (+2)

Les Bulls sortent d’une Finals NBA où ils ont emmenés les Supersonics jusqu’au match décisif. Toujours porté par leur one-two punch Terry-Brand, les Bulls n’ont pas un effectif très profond, il est vieillissant mais le plan de jeu est en place et les joueurs le respectent à la lettre. Tant que Brand sera toujours aussi fort, les Bulls seront en haut de leur conférence.


5/ San Antonio Spurs (-4)

On avait un sacré dilemme avec les Spurs. Le duo Gino-Dirk est trop fort, Gordon est un crack en sortie de banc mais le trade pour Varejao nous laisse perplexe sur sa nécessité, le départ de Paul Pierce à la FA est un couac mine de rien. On est vraiment sceptique globalement, les Spurs resteront une forteresse de l’Ouest mais la domination risque d’être plus difficile que les années précédentes.


6/ Golden State Warriors (-1)

Les Warriors ont laissés partir Bibby à la FA, ils ont tradés Bosh aux Nuggets contre un pick qui donnera Mike Conley et ils ont récupérés Ray Allen avec leur cap cet été. Une intersaison plutôt classique pour Val en tout somme. L’effectif est gros mix de vétérans et de jeunes joueurs, Ostertag et Bogans apportent des options intéressantes en sortie de banc. Golden State sera une bonne équipe cette année encore.


7/ Boston Celtics (-)

Boston repart cette année avec tous ses joueurs sur 2 pieds, pas sûr que ça tienne toute l’année mais bon on veut bien y croire. Soyons clairs, il n’y a aucun banc dans cette équipe mais le 5 est beaucoup trop fort. Jamal Crawford et Carmelo Anthony offensivement c’est vraiment effrayant. Il faudra juste éviter les blessures.


8/ Seattle Supersonics (-6)

Seattle a réalisé une très mauvaise intersaison, soyons clairs. Perdu LaFrentz, Gadzuric, Pavlovic, ça fais quand même beaucoup de joueurs en moins. Au final toute l’équipe va reposer sur les épaules de LeBron James qui va devoir porter ce roster en saison réuglière. Raja Bell reste un excellent lieutenant, Prince un bon défenseur extérieur et J-Rich un bon boost offensif. Les playoffs seront là mais attention aux blessures.


9/ Miami Heat (+6)

Encore une grosse cote de la rédaction avec le Heat que l’on place en 5ème place de l’Est. Le recrutement de Mike Bibby donne enfin à l’équipe un vrai meneur de jeu compétent et expérimenté. Tous les postes sont bien doublés globalement, l’effectif manque peut-être d’un gros franchise player défini pour faire la différence mais on sent bien une force collective cette année avec un gros (dans tous les sens du terme) Al Jefferson dans la raquette.


10/ Utah Jazz (+3)

Utah sort d’un parcours de playoffs surprise où ils éliminent consécutivement 3ème et 2ème seed pour arriver en Finale de l’Ouest l’an passé. Est-ce que ça annonce une meilleure SR que l’an passé ? Pas forcément vu que la conférence est très dense mais Utah sera clairement une équipe très chiante à jouer cette saison encore. La division Pacifique risque d’être passionnante.


11/ Cleveland Cavaliers (+12)

Qualif surprise des Cavs l’an passé en playoffs porté par un duo Nash-Chandler. Le GM voyant l’ancien MVP Tim Duncan sur le marché s’est fait un gros kiff. La raquette Duncan-Chandler est assurément la meilleure de la NBA et une des plus effrayantes que cette ligue ait pu voir. Est-ce que ça va marcher ? Difficile à dire. Le reste de l’effectif laisse à désirer, le poste de meneur est laissé à l’abandon, il n’y a pas de banc. Au premier gros pépin physique c’est catastrophe assurée.


12/ Houston Rockets (+13)

Kevin Durant dans la besace, tout de suite l’équipe fait moins rigoler. Recrutement XXL cet été avec les venues de Kaman et Perkins au poste de pivot, Turkoglu en 3/4 et Steve Nash en back-up meneur. Les postes sont bien doublés, tout va dépendre de la capacité de Durant à pouvoir porter offensivement cette équipe.


13/ New Orleans Pelicans (+1)

Boozer pivot a été un échec annoncé par la rédaction, ça n’a malheureusement pas loupé. La franchise va changer de fusil d’épaule, on parle de Kenyon Martin au poste de pivot cette année. Meilleur résultat ? A voir. En tout cas le duo Iguodala-Johnson sur les ailes va faire des dégâts cette année, TP est un excellent meneur complémentaire à ce duo. Les Pelicans ont une division relevé, on les voit en playoffs cette année malgré tout, trop de talent pour ne pas y être.


14/ Phoenix Suns (+2)

Belle campagne de SR l’an passé pour les Suns qui ont accrochés les playoffs avec un bilan légèrement négatif. Globalement on prends les mêmes et on repart, le duo Lowry-Millsap grandit, toujours encadré par les vétérans que sont Stojakovic et Rasual Butler. Les playoffs sont retrouvables cette année encore.


15/ Minnesota Timberwolves (+2)

Minnesota fait l’acquisition de Kevin Martin cet été contre leur choix de draft qui donnera Al Horford. L’équipe vient de trouver son leader offensif, Martin devrait claquer de belles pointes offensives cette saison. Le trio qu’il forme avec Jameer Nelson et Danny Granger est de très bonne facture, le problème étant que le reste de l’effectif est beaucoup moins fort, notamment inside où le départ de Kaman oblige les Wolves à mettre Magloire titulaire. Division compliquée mais Minny peut tirer son épingle du jeu.


16/ New Jersey Nets (+6)

Les Nets ont sortis une saison très surprenante avec 49 victoires et une qualification au 2nd tour des playoffs. Cette équipe n’est vraiment pas simple à classer, l’effectif n’a pas spécialement changé par rapport à l’an passé, Gadzuric est un excellent ajout au poste de pivot mais tout va dépendre de leur capacité à battre les équipes de leur division, notamment le Magic.


17/ Orlando Magic (-5)

On venait de parler d’eux, les voici. Le Magic va se battre pour son ticket de playoffs, notamment avec les Nets. 36 wins seulement l’an passé mais un gros remaniement d’effectif avec le départ de Josh Howard et les arrivées de Gilbert Arenas et Paul Pierce. Le 5 est solide, il y a un 6th man de qualité, le Magic a les pièces pour aller en playoffs. Néanmoins on sait qu’en cas de mauvais départ le GM est capable d’exploser son roster et tanker bien comme il faut même sans son pick.


18/ Denver Nuggets (+2)

Les Nuggets commencent doucement mais sûrement à remonter la pente. Cet été ils ont fait venir Chris Bosh contre un top choix de draft, une très belle opération, les Nuggets viennent de trouver leur franchise player. Le duo avec Rudy Gay risque d’être très fort, Rondo est un très bon meneur passeur/défensif. Le reste est un peu trop brut encore à notre goût, notamment Ellis à l’arrière et Bogut dans la raquette. A voir, ça risque de pas finir très très loin des playoffs.


19/ Dallas Mavericks (-11)

Dallas a perdu Ray Allen cet été et devra donc désormais compter à priori sur le scoring de Pau Gasol pour les porter offensivement. Ce dernier devrait monter pas mal son scoring et retrouver ses pointes de sophomore vers 22ppg, le P&R avec Ridnour sera très costaud. On est un peu plus sceptique sur le reste de l’effectif, Marion semble cramé notamment. Division très relevée, ça risque d’être compliqué de se hisser en playoffs mais ça reste jouable.


20/ Toronto Raptors (-11)

Une grande déception de l’an passé, Toronto n’a gagné que 34 matchs et a raté les playoffs. Le roster n’est pas mauvais du tout, il manque un vrai pivot mais sur les autres postes il y a beaucoup de qualité. Le problème c’est que la direction de la franchise est un peu floue, Toronto possède encore tous ses 1st et le virage du tanking nous semble très très proche. Le début de saison va clairement conditionner la direction de la franchise pour la suite.


21/ Indiana Pacers (-3)

Indiana a fait une intersaison plutôt intéressante. Ne possédant pas leur pick cette saison, ils ont décidés de recruter. LaFrentz arrive dans l’Indiana tout comme Mo Williams à la mène. Le trio est complété par Nocioni qui est toujours présent et Oden fraîchement drafté. Le problème c’est que c’est tout ce qu’il y a dans ce roster, pas de SG compétant, ça manque d’une grosse star offensive. Compliqué de les voir en playoffs mais ils se battront probablement pour y être.


22/ Sacramento Kings (+2)

Les Kings avancent progressivement dans leur reconstruction, après la venue de LMA l’an passé, ils ont récupérés Wilson Chandler à la draft cet été. Brezec est un bon pivot de métier, Duhon un solide meneur de jeu, il y a des back-up solides sur les extérieurs. Moins à l’intérieur malheureusement. Ils sont bas dans le PR mais le ceiling est très haut si ça clique bien, ils pourraient titiller la 8ème place de PO au jeu des divisions.


23/ Oklahoma City Thunder (NEW)

OKC est une nouvelle franchise et ils ont pris le pari de ne pas tanker, cédant leurs picks 2008 et 2010 dès leur entrée dans la ligue. Le roster est articulé autour de Josh Howard en FP et Kyle Korver en lieutenant. Le problème c’est que le reste est assez vide. Pas de bon meneur et des gros manques inside. Vu la division et le conférence on ne voit pas comment ça peut se hisser en playoffs.


24/ Détroit Pistons (-5)

Détroit a vécu une très mauvaise intersaison, une habitude pour le GM qui voit son équipe décliner continuellement depuis 3 ans. L’an passé ils ont été en playoffs avec 39 victoires, cette saison on les voit hors PO tout simplement. Camby et Hamilton sont partis, Détroit a fait venir McGrady et Shaq pour essayer de compenser les pertes. Le 5 majeur n’est pas si mauvais, Allen est un bon joueur de devoir en 2, Billups reste un super meneur de jeu, McGrady va scorer à fond de balle, Evans gobe des rebonds par milliers… Mais la division est meilleure que l’an passé, la conférence se renforce un peu, le banc est vide, le roster n’a que 10 joueurs sous contrat. Pour nous, ça ne passe pas.


25/ New York Knicks (-15)

Les Knicks sont partis en reconstruction totale, Duncan a été vendu contre des picks et le jeune Sefolosha. La FA a vu les arrivées de Jermaine O’Neal, Stephen Jackson et Dwyane Wade mais ça ne devrait pas changer la face de la franchise. O’Neal et Jackson seront certainement revendus en cours de saison pour des assets, les Knicks vont gentillement tanker cette année.


26/ Portland Trail Blazers (-5)

Les Blazers ont reset leur reconstruction avec le vente de Mo Williams contre le pick Pacers 2009. Joakim Noah vient de rejoindre la franchise, Dorell Wright et Louis Williams sont des points de développement intéressants, le reste est oubliable.


27/ Milwaukee Bucks (-1)

Les Bucks viennent de faire une razzia niveau jeunes cet été. Ils ont draftés Marc Gasol et Jeff Green notamment mais il y a aussi les venues de Fernandez, Belinelli, Thadd Young et Stuckey. On verra comment ce mix de jeunes va évoluer cette saison.


28/ Washington Wizards (NEW)

C’est l’autre nouvelle franchise de la ligue, les Wizards ont bien décidés de tanker eux contrairement au Thunder. Luis Scola a été drafté cette saison, à son âge avancé de 27 ans c’est difficile de le voir faire toutes ses années rookies aux Wizards, il risque d’être vendu à un moment, peut-être même dès cette saison. Direction 1st pick pour Washington.

Woj_24

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by Woj_24 » 12 August 2020, 07:40

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Danny Granger souhaiterait quitter le Minnesota, voyant d'un mauvais œil l'arrivée de Kevin Martin comme nouveau leader offensif. Cela expliquerait sa présaison en mode pilote automatique qui a fortement déplu au GM des Wolves. Avec deux saisons encore sous contrat rookie, les choses pourraient aller très vite puisqu'on sait que l'équipe avait eu des contacts pour un top PF de l'Est.
Insider de la 24SecondsBasketLeague, je rapporte vos indiscrétions pour servir vos intérêts dans l'anonymat le plus total. Contact en MP.

Maloj

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by Maloj » 12 August 2020, 09:38

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NEW : Le CONCOURS PRONOS NBA 19-20 ... https://www.basketusa.com/forum/viewtop ... =33&t=2811

Lumi

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by Lumi » 12 August 2020, 11:25

AUTOPRONO - OCTOBRE/NOVEMBRE
 
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https://sites.google.com/view/auto-prono-24-sec/accueil

Fini les vacances, les choses sérieuses reprennent ! Aucun changement de fonctionnement à déclarer. Vous pouvez toujours prendre de l'avance en votant pour les futurs mois via le site (onglet "Votes").

Pour ce premier mois de compétitions les matchs d'octobre et novembre sont à inclure dans votre pronostic !

Lien direct pour le mois d'octobre/novembre ici.

Deadline le vendredi 14 août, 18h ! Bonne chance ! 8-}
Règles
Rappel de la règle : parier sur le nombre de victoires de son équipe seulement sur le mois à venir : 3points si vous tombez juste, 1point si vous êtes à 1win près, 0 si vous êtes plus loin.
L'enjeu : Un boost de 60points à donner à votre second tour de l'année si vous finissez 1er. 45pts si vous finissez 2nd, 30pts si vous finissez 3e.

Pour départager les participants:
1 - plus grand nombre de points cumulés
2 - plus grand nombre de participation
3 - plus grand nombre de pronos "tout pile"
4 - tirage au sort

Comment pronostiquer : Il vous suffit de vous rendre sur le site, onglet "Votes", ou de cliquer sur le lien que je fournirai dans la publi mensuelle, de faire défiler et d'aller pronostiquer le nombre de victoires de VOTRE équipe pour le mois en question, puis de cliquer sur envoyer au bas du formulaire. Pas de panique si le formulaire disparaît lorsque vous cliquez sur envoyer. Il suffit de scroller en haut de la page pour voir que votre vote a bien été pris en compte.

Tout vote reçu après la deadline, même d'une minute, sera effacé et donc considéré comme nul.
NB : le re-vote est accepté tant que la deadline est respectée (je garderai le vote le plus récent). Si par erreur vous vous êtes trompé de franchise ou pour tout problème/suggestions en lien avec ce jeu, contactez moi par MP ici ou sur discord (j'y suis beaucoup plus réactif).

Frenoulin Cornufle

Rookie
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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by Frenoulin Cornufle » 14 August 2020, 11:49

FBI : Frenoulin Bureau of Investigation

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Détective Frenoulin Cornufle au rapport !

- Jason Terry serait sur le départ.
- Les Wolves cherchent toujours un PF/SF avec Marshall et assets.

Alexis

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by Alexis » 14 August 2020, 13:39

Spurs sell...

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Charlie Bell. SG de petite taille pouvant dépanner à la mène, ce 3&D de 28ans qui ne cesse de progresser a un contrat cheap mais est barré à San Antonio par C.J Watson, en qui la franchise croit pour le futur, et un nouvel arrivant.

Ainsi, le guard issu de Michigan State est mis sur le trading block de la franchise, afin de trouver un PF équivalent (ou un asset qui permettra à la franchise de mettre la main sur un PF honnête pour finir la saison).

Qui veut son 3&D de poche pour 2 années ?

Crockets

Mouche-à-merde
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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by Crockets » 14 August 2020, 15:57

Normalement le début de la saison est prévu pour ce soir, mais comme je suis un gros sac, j'ai fais aucune annonce/MAJ du calendrier etc ... donc si je vois qu'il manque trop de rotation (notamment pour ceux qui ont rien envoyé pour la présaison) je décalerai la simu a demain soir.

marmite

Celtics
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17043

Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by marmite » 14 August 2020, 16:15

COY :

10-11 :
1) LaryGolade 2) dumarsetçarepart 3) Alexis
09-10 :
1) kcnarf 2) Alexis 3) marmite / v@l
08-09 :
1) Fredonaldo 2) jujug 3) Lumi
07-08 :
1) jujug 2) Fredonaldo 3) Daiv
06-07 :
1) Shoot-on-you 2) 2words 3) MikeCorleone
05-06 :
1) Alexis 2) Fredonaldo 3) Daiv
04-05 :
1) Marmite 2) Un détroit soleil 3) Alexis
03-04 :
1)Un détroit soleil 2) 2Words 3) Galdosh / V@l / Hgiv
02-03 :
1) KekeDeluxe 2) Marmite 3) Xarphios
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Crockets

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by Crockets » 14 August 2020, 22:06

Aperçu de la Cohésion et du Talent


Cohésion Great et Talent Great


Cohésion Great et Talent Poor


Cohésion Good et Talent Great

Boston Celtics
Los Angeles Lakers
Seattle Supersonics

Cohésion Good et Talent Good

Charlotte Hornets
Cleveland Cavaliers
New Orleans Pelicans

Cohésion Good et Talent Average

Chicago Bulls
Phoenix Suns

Cohésion Good et Talent Poor

New Jersey Nets
Orlando Magic

Cohésion Average et Talent Great

Golden State Warriors
Philadelphia Sixers

Cohésion Average et Talent Good


Cohésion Average et Talent Average


Cohésion Average et Talent Poor

Dallas Mavericks
Detroit Pistons
Indiana Pacers
Sacramento Kings
Toronto Raptors

Cohésion Average et Talent Bad

New York Knicks
Portland Trailblazers

Cohésion Poor et Talent Good

Houston Rockets
Miami Heat
San Antonio Spurs
Utah Jazz

Cohésion Poor et Talent Average

Denver Nuggets
Minnesota Timberwolves

Cohésion Poor et Talent Poor


Cohésion Poor et Talent Bad

Milwaukee Bucks

Cohésion Bad et Talent Average

Oklahoma City Thunder

Cohésion Bad et Talent Poor


Cohésion Bad et Talent Bad

Washington Wizards

L'aperçu de la saison dernière si vous voulez comparer.
Cohésion Great et Talent Great



Cohésion Great et Talent Poor



Cohésion Good et Talent Great

Boston Celtics
Los Angeles Lakers
Philadelphia Sixers

Cohésion Good et Talent Good

Charlotte Hornets
Chicago Bulls
Golden State Warriors
San Antonio Spurs

Cohésion Good et Talent Average

New York Knicks

Cohésion Good et Talent Poor

Cleveland Cavaliers

Cohésion Average et Talent Great

Seattle Supersonics

Cohésion Average et Talent Good

Dallas Mavericks
New Orleans Pelicans
Toronto Raptors

Cohésion Average et Talent Average

Detroit Pistons
Minnesota Timberwolves
Orlando Magic
Utah Jazz

Cohésion Average et Talent Poor

Indiana Pacers
Miami Heat

Cohésion Average et Talent Bad

Milwaukee Bucks
Portland Trailblazers
Sacramento Kings

Cohésion Poor et Talent Good


Cohésion Poor et Talent Poor

Houston Rockets
New Jersey Nets
Phoenix Suns

Cohésion Poor et Talent Bad


Cohésion Bad et Talent Average


Cohésion Bad et Talent Poor

Denver Nuggets

Cohésion Bad et Talent Bad

Un détroit soleil

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by Un détroit soleil » 15 August 2020, 13:53

Les Papys font de la résistance


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Un film ou un match de basket ?

Un recrutement XXL mais pas dans le bon sens du terme : une FA ratée
Revenons au 20 Juillet: Richard Hamilton, Marcus Camby, Hedo Turkoglu, Kenyon Martin, Ben Wallace. 5 joueurs majeurs de l’effectif se retrouvent FA en fin de saison, entre fin de contrat et team option non levée.
Le but est simple, profiter de la formidable FA de cette année pour signer un gros joueur avant de profiter des Bird Rights pour signer les joueurs pré cités au dessus du Salary Cap. Nous savons de source sure que le GM des Pistons aurait envoyé une offre à Lebron James, Chris Bosh et Paul Pierce. Fin de non recevoir pour la franchise du Michigan qui voit les 2 premiers resigner dans leurs équipes respectives tandis que le dernier choisira le soleil de Floride coté Orlando plutôt que le climat doux et tempéré de Détroit.
Pendant ce temps, Marcus Camby ne se prive pas de signer un an aux Lakers pour quasiment 20M de dollars, Richard Hamilton n’a pas de temps à perdre et s’en va chez le voisin de l’Ohio pour soutenir Tim Duncan tandis que Hedo Turkoglu panique et signe pour 15M sur 3 ans aux Rockets alors que le GM prévoyait de lui offrir un bien meilleur contrat. Sans trop de regret au vu de sa saison, Kenyon Martin est recruté par les Pelicans également. 4 beaux doigts d’honneur au GM qui commence à avoir l’habitude des refus certes mais pas forcément d’un tel désaveu et d’abandons aussi terribles.
Les jours suivants ne sont pas beaucoup plus doux pour Détroit qui commence à se souvenir des moments de FA les plus sombres de sa récente histoire où ils signaient en grande pompe un John Stockton de 38 ans après un nombre incalculable d’échecs et complétaient l’effectif avec Corey Maggette, Brevin Knight et Ron Mercer.
Le GM se met en 4, fait brûler des cierges, envoie des incentives à ses collègues de profession et entame un pèlerinage à Lourdes suivi d’une marche jusqu’à Saint Jacques de Compostelle en une semaine tout juste (oui, il était habité). Il aura bien fallu tout ça pour obtenir la signature d’un Shaquille O Neal de 35 ans (qui vendra bien des maillots à minima) et Keith Van Horn par la suite, auteur d’une belle seconde partie de saison chez les Kings. Une augmentation du budget cantine et un renforcement des arceaux est de mise forcément mais l’excitation qu’amène un joueur tel que le Big Cactus reste significative. Un moindre mal me direz vous, mais le plus grand mal était déjà fait précédemment.

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A Détroit, on hésite entre monter une équipe de basket ou un musée…

Comme le bon vin …
29 ans … C’est la moyenne d’âge du roster complet à Détroit, ainsi que de son 5 majeur. En expérience, Shaq est issu de la draft 1992, Hill de la draft 1994, Ben Wallace de la draft 1996 tandis que Billups, McGrady et Van Horn sont de la draft 1997. On a rarement vu roster plus expérimenté. D’ailleurs le GM n’a jamais caché privilégier les joueurs d’expérience plutôt que les rookies qu’il intègre progressivement et avec parcimonie, Tony Allen pouvant le confirmer. Dion Glover, recruté en fin de FA pour assurer le rôle de backup au poste arrière est d’ailleurs âgé de 29 ans, de même que Melvin Ely au poste de pivot. Finalement, seul les deux « Jason » au poste d’ailier fort, Smith pour l’un et Maxiell pour l’autre, représentent un pari sur la jeunesse. Les axes de progressions sont là, entre ces 2 jeunes joueurs et les 2 titulaires besogneux que sont Allen et Evans. Cependant il faudra également mettre l’accent sur le maintient à haut niveau des vétérans de l’équipe où Billups devra de nouveau prouver qu’il fait parti des meilleurs meneurs de la Ligue, Shaq pourra également faire parler son basket dans le jeu demi terrain des Pistons qui lui permettront de s’économiser tout en jouant de son avantage physique, Ben Wallace sera mis en concurrence au poste de backup et devra montrer qu’il en a encore à donner et Van Horn devra convaincre, en sortie de banc, et justifier que son retour à haut niveau l’année dernière n’était pas une simple chimère.
Comme dit dans le titre, les Pistons devront suivre le sens du bon vin, qui avec le temps se bonifie même dans les plus sombres caves (de là à faire un parallèle avec la ville de Détroit...). Espérons fortement que le GM n’ai pas acheté de la piquette lors du dernier marché estival.

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Sponsor officiel des Pistons cette saison

Bienvenue à la maison Champion
Un dernier paragraphe et non pas des moindres sur la dernière acquisition des Pistons. Ce ne fut pas chose aisée, considérant que le joueur avait d’abord été resigné par les Spurs avant d’être finalement libéré. UDS ne s’est pas privé pour lui téléphoner immédiatement et lui proposer un contrat pour la saison. Grant Hill, l’un des meilleurs joueurs de l’histoire de la franchise et seul (double) MVP des Pistons, est de retour au bercail. Alors certes, le joueur phénoménal qu’il a été n’est plus. A maintenant 35 ans, il lui est difficile de produire autant qu’il l’a fait auparavant. Depuis son départ de Détroit il aura vu ses minutes fondre comme neige au soleil. Si la saison à Portland fut de belle facture malgré la saison collective peu reluisante des Blazers, il a ensuite accumulé 24, 17, puis 12 minutes de temps de jeu en moyenne lors des 3 saisons suivantes du coté de Milwaukee, Phoenix, Orlando, San Antonio et enfin Houston.
Servant de joueur réserviste et utilisé comme monnaie d’échange pour des trades, le joueur n’a jamais retrouvé la confiance qu’on lui prêtait à Détroit. Dans le Michigan il retrouve donc sa grande franchise, celle avec laquelle il a connu ses plus belles années et son meilleur basket. Oui le GM ne lui a garanti aucunement de temps de jeu, et Hill devra composer avec la concurrence de McGrady et Van Horn avant tout. Néanmoins il connaît le jeu si spécifique des Pistons, les fantaisies de son GM et bien que déclinant physiquement, il garde toute sa science du jeu et son basket IQ.
Une petite renaissance dans son jardin de toujours ne serait pas de trop pour une équipe des Pistons en proie à de grosses interrogations. A défaut il pourra toujours supporter le coach afin d’apporter son expérience (si il n’en manquait pas à Détroit). De toute façon, Grant Hill a les clés de la ville ainsi que celle du cœur des fans, ce qui lui garantira toujours une place dans l’organisation. Un juste retour aux sources pour cet immense joueur, et cela, indépendamment de ce que sera sa saison à venir.

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Guess who’s back motherf***** ?

Woj_24

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by Woj_24 » 17 August 2020, 10:14

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Passés proches d'un accord avec les Raptors (Murphy) puis avec les Mavericks (Gasol), les Wolves semblent finalement partis pour essayer de recoller les morceaux avec Granger, considérant qu'il y a plus à gagner ainsi. Les discussions seront probablement rouvertes à la trade deadline.
Après plusieurs rumeurs qui ont fuité dans la presse mais peu d'avancées, nous avons la confirmation que de grandes choses se trament en coulisses du côté des Bulls.
Côté Warriors, un très gros transfert serait dans les tuyaux pour le 15 décembre et devrait faire beaucoup parler.
Insider de la 24SecondsBasketLeague, je rapporte vos indiscrétions pour servir vos intérêts dans l'anonymat le plus total. Contact en MP.

Un détroit soleil

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by Un détroit soleil » 17 August 2020, 20:26

CLASSEMENT ALL TIME, 10 ANS DE SIMU 24s, POUR LA POSTERITE (6/10)


Historique on vous dit !!! 10 ans de simu déjà, 10 années qui ont vu le Jazz, les Lakers, le Heat, les Nuggets, les Knicks et les Spurs remporter un titre (ou plusieurs). 10 années qui ont également vu de superbes équipes marquer la ligue, des coaches affirmer leur style et des GM soutenir leur vision à court, moyen ou long terme. Certains ont été débarqués, d’autres ont pris une retraite (parfois temporaire) bien méritée tandis que certains continuent de jouir d’une confiance absolue malgré des échecs retentissants et aucun titre (la majorité en fin de compte)
Mais finalement, on ne parle jamais plus que de ce qui fait l’essentiel de cette ligue: les joueurs !!
Le basketball en impose 5 sur le parquet par équipe, 5 avec des caractéristiques techniques bien précises et des responsabilités définies. Comment les classer, leur rendre hommage et justice ? Comment définir la position du rôle player multiple champion face à celui qui collectionne les récompenses individuelles et qui aura marché sur ses adversaires sans pour autant obtenir le titre suprême ? *
C’est la tache extrêmement difficile que nous nous avons accepté de réaliser, non sans crainte, mais également avec beaucoup d’excitation et de passion.
Si votre joueur n’est pas à la place qu’il mérite selon vous, tant mieux, cela donnera lieu à des débats (et non ébats !!). Soyez certains en tout cas que nous avons tout fait pour n’oublier personne, que chacun puisse être cité, que chaque équipe marquante soit alors référencée dans cet article. Car les joueurs représentent la Ligue oui, mais ils représentent surtout leur équipe, leur franchise et leurs fans.
Pour les 10 ans, c’est donc … et non pas 10, pas 12 mais 16 équipes all-time. Ne nous demandez pas le rapport il n’y en a aucun si ce n’est la passion qui nous fait vibrer. Oui on est comme ca nous, on est fou. On est fou de NBA. On est fou de vous tout simplement.
16 équipes pour 10 articles, 2 articles pour chaque poste, publication après publication. 10 articles pour les 10 ans.
Aujourd’hui les ailiers c'est le sujet, 2eme partie !!

* Les stats sont arrêtées à la date du 20/04/2007, juste avant le début des PO

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8e place:
TRACY MCGRADY (36.7 minutes / 20.3 points / 6.9 rebonds / 3.5 passes / 1.1 steals / 0.5 blocks)
Dans le genre joueur qui choke régulièrement en Post season (quand il arrive à se qualifier) on continue ici avec un sacré client. Agé seulement de 28 ans, McGrady fait office de dinosaure en terme d’expérience NBA. Drafté à seulement 18 ans à la draft 1997 (sans être donc passé par la case universitaire) le gamin surdoué n’a pas tardé à montrer qu’il avait toute sa place dans la grande Ligue. Du talent, il en a plein les mains, plein les pieds aussi, vu l’altitude à laquelle il peut monter, mais un talent qui pêche quelque peu arrivé en PO. Catalogué de joueur de talent incapable de faire gagner son équipe, le cas McGrady est particulier et nécessite d’être éclairé. Drafté par les Vancouver Grizzlies, il impose dès sa première saison avec 18.6 points, 6.7 rebonds et 3.4 passes ce qui lui permet d’être All Star rookie, remporte le trophée de ROY (devant Duncan excusez du peu) et est élu dans la All League Third Team. La direction lui donne sa confiance totale et deux ans plus tard, il déménage avec sa franchise du coté de Las Vegas. Malgré un duo détonnant avec Kerry Kittles (qui connaitra plus de succès par la suite) il reste 5 ans dans la franchise et fait office de véritable iron man de son équipe. La production est également conséquente mais l’équipe souffre d’un certain déséquilibre et peine à passer le cap. Malgré deux qualifications en PO en 1998 et 2000 pour deux sorties au premier tour, on se dit que c’est le chemin de l’apprentissage et que rien ne fut donné, pas même à sa majesté faut il le rappeler. Pourtant en 2001, les Aces bien qu’armés autour du trio Kittles/Tmac/Big Z loupent les PO à la 9e place, malgré une belle saison à 45 victoires. Victimes de la concurrence féroce de l’ouest, le GM est en souffrance au cours de la saison suivante et choisi finalement de se séparer de son joueur vedette en février, récupérant en échange Richard Jefferson, moins talentueux mais plus jeune et surtout plus complet, apportant alors un gage en défense que Wallace peine à trouver collectivement. Direction donc Atlanta pour former un nouveau trio avec le surprenant Jerome James et le très excitant Arenas. Les victoires sont là, toujours dans le même range, 48 victoires cette année, mais on est à l’Est et du coup, la place en Play Off est assurée très rapidement. Premier tour à nouveau et nouvelle élimination. L’année suivante, rebelote, McGrady subit une nouvelle sortie prématurée, alors que l’équipe s’est renforcée en faisant venir l’excellent Antoine Walker des Suns. Les excuses de la jeunesse, du manque de supporting cast et de la concurrence de l’ouest ultra féroce semblent bien loin et les doutes le concernant grossissent au fil de ses échecs. En Janvier 2005, McGrady est de nouveau transféré, au Heat de Miami pour former un duo détonnant aux cotés de Dwayne Wade. Butler, Turkoglu et un pick sont envoyés en compensation mais l’échec est total. Dav’z se perds tactiquement et McGrady se cherche sur le parquet. Blessé, 49 matchs au total dans la saison et on remballe, avec une pauvre saison à tout juste 32 victoires. Il ne restera pas longtemps en Floride, débarqué du coté des Lakers, quitte à rester au soleil. Les Lakers offrent le jeune pivot Yao Ming (déjà très moyen et qui confirmera son statut de flop) et Morris Peterson pour récupérer Tmac accompagné de TJ Ford. Dav’z est en roue libre et accumule les choix désastreux tandis que Kcnarf réalise un véritable tour de force, lequel ne se verra pas forcément immédiatement. Les statistiques de Tmac sont en chute libre, et bien que réuni avec son cousin Vince Carter, McGrady produit sa plus basse ligne statistique. 15 points et des pourcentages très moyens (dans la lignée de sa saison floridienne), les voix s’élèvent et on commence à penser que le crépuscule de McGrady approche, de façon très prématurée mais pas surprenante si on regarde dans le rétroviseur. Sa côte est au plus bas, tant bien que Kcnarf choisit donc de le garder malgré les (faibles) propositions. Une discussion dans les bureaux, mise au point faite et replacement tactique pour positionner Tmac en ailier fort afin de profiter de sa vitesse et panoplie offensive. Quel nez fin le GM des Lakers aura eu, Pas avare en coup tactique et mobilisation collective, Kcnarf aide son joueur à retrouver de sa superbe. 23 points, 6 rebonds habituels et 2.7 passes mais surtout une justesse de jeu et de tir retrouvée, voir même transcendée.
Coté collectif on continue sur le même rythme, deux années aux Lakers et deux éliminations au premier tour, la cote est à 1.05 (pour une sortie au first round) sur les sites de paris sportifs dorénavant c’est dire. Alors qu'il est définitivement relancé, les Pistons flairent le coup et proposent un swap contre Barbosa, capable de jouer titulaire à l’arrière ou en sortie de banc. On économise du salaire et on récupère un joueur de devoir coté Lakers, cela plait à Kcnarf qui accepte. Les Pistons compensent alors le départ récent de Redd de la meilleure des façons. La franchise du Michigan a besoin de se relancer, autant que McGrady. Cependant le joueur qui accumule aujourd’hui 6 éliminations au premier tour des Play Off est à la croisée des chemins et le temps presse. Arrivé pour faire passer un cap d’une équipe qui bloque depuis 3 ans sur le premier tour et un GM qui génère près de 5 éliminations à ce stade de la compétition (en 9 saisons), on se marre d’avance à l’idée de cette association. De quoi écrire la plus grande farce de la décennie peut être, surtout que la franchise des Pistons n’est pas vraiment armée pour faire trembler une conférence qui s’est renforcée, et pose plus de questions qu’elle n’apporte de réponses malgré la venue du Shaq et la permanence de Billups, son partenaire de draft. Vaincre ou mourir ensemble et pour l’éternité.
Palmarès :
- 6 x All Star Grizzlies 1997, 1998 / Aces 2000 / Hawks 2003 / Lakers 2005, 2006
- 2 x All League Third Team Aces 1997, 2003
- 2 x All League Second Team Aces 1998 / Lakers 2006


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7e place :
LAMOND MURRAY (30 .4 minutes / 15.4 points / 6 rebonds / 2.2 passes / 1.3 steals / 0.5 blocks)
Qui aurait pu croire que Lamond Murray ferait une telle carrière ? Certes 7e choix de la draft 1994, drafté par les Clippers à cette époque, il est attendu mais pose question. Alternant entre le poste de SF et de PF, il est l’un de ces joueurs hybride capable de représenter de gros problèmes à une défense comme de proposer de fortes inconnues à son entraineur. Poste 4 petit mais taille intéressante au poste 3, défense correcte sans être exceptionnel, manque de puissance mais très rapide, ce qui est d’autant plus exacerbé si il est positionné ailier fort, excellent au shoot et notamment longue distance (plus de 39% en carrière), ce sont finalement ses qualités qui priment et en font un joueur essentiel à chaque collectif dans lequel il aura pu évoluer. Et il y en a beaucoup. D’abord drafté via les Los Angeles Clippers, il s’en va à Phoenix deux ans après, il y reste un an puis s’en va découvrir la conférence Est à Orlando. Pas bien longtemps puisqu’il retrouve sa première franchise les Clippers 6 mois plus tard. La seconde chance dure un an et demi avant un retour du coté... d’Orlando. A croire qu’ils le font exprés. De 6 mois on passe à un an de permanence avant d’être tradé aux Rockets. Toujours pour un an, toujours pour finir par un nouveau transfert du coté des Nets. On est en juin 2001 et Murray a déjà été échangé 6 fois en 5 ans. Il trouve toujours sa place dans le collectif, tantôt à 12, tantôt à 11, tantôt à 14 points de moyenne. A Houston il réalise sa meilleure saison avec quasiment 20 points de moyenne et 7 rebonds par match, ce qui lui offre une première convocation au match des étoiles ainsi qu’une nomination à la All Defensive Second Team. Les Nets ne s’y trompent pas et flairent le bon coup en le récupérant contre James Posey et le 1st Nets O3. Les Nets sont les grands gagnants de ce trade, autant que les Rockets sont perdants en échangeant Jayson Williams et Lamond Murray contre James Posey et Kenyon Martin et en swapant leur pick contre celui des Nets.
A New Jersey, Lamond Murray trouve une équipe à sa mesure où le collectif est de prime. Il continue de rayonner en posant une ligne de stats similaire à la saison précédente, mais en jouant un peu moins de minutes et à des pourcentages plus élevés. Mais surtout il gagne. Les Nets cartonnent la conférence Est, et fait figure de raz de marée surprise en se hissant jusqu’en finale autour d’un Billups taille patron, et de role players de luxe ++ tels que Shandon Anderson, Jim Jackson (blessé), Rashard Lewis et d’un Corliss Williamson qui s’amuse à perforer les défenses depuis le banc. 6 joueurs au dessus des 10 points et un Murray qui mène la troupe au scoring, il n’en fallait pas moins pour le voir remporter une seconde étoile. Si les saisons suivantes sont tout aussi satisfaisantes, le joueur hissant sa moyenne de points à 21.2 en 2003, le parcours en PO n’est plus aussi concluant. Les Nets sont attendus et subissent une sortie au deuxième tour en 2002 puis au premier tour l’année suivante. Cela n’empêchera aucunement Murray de glaner sa convocation au All Star Game chaque année, et se verra même récompensé d’une nomination à la All League Second Team pour la saison 2003/2004. Si il n’est pas aussi reconnu que les grosses stars de la Ligue, si les fans ne se pressent pas en boutique pour floquer leur maillot à son nom, le joueur toujours discret répond bien présent sur le parquet, étant d’une régularité exemplaire. En 2004, à déjà 31 ans, le joueur est alors recruté par Cleveland en échange du lourd contrat d’Antonio McDyess mais également du jeune rookie JR Smith et du pick 07 des Cavaliers (lequel sera échangé aux Bucks quelques années plus tard dans le trade pour Metta World Peace). Pas trop mal pour un vieux. Cleveland est habitué cependant… Murray continue de faire bien les choses en statant un très joli 18 points & 6 rebonds sur ses années dans l’Ohio. Les récompenses individuelles ne sont plus là, de même que le joueur connaît bien une nouvelle qualification en PO stoppée dès le premier tour. Transféré à New York en 2006 la chute est plus substantielle mais on continue de le trouver à l’affiche du 5 majeur. Le joueur demeure indispensable malgré les questions sur son jeu, sa taille, son âge … Rien n’y fait, il doit bien être présent sur le parquet, comme depuis le début de son parcours dans la Ligue.
Au final, le joueur cumulera plus de 1000 matchs en carrière pour presque 900 matchs en tant que starter. Pour un joueur qui posait quelques questions, il aura vite répondu à la problématique. Véritable couteau suisse au poste d’ailier, joueur idéal au sein de tout collectif, capable de se muer en leader offensif ou en véritable lieutenant voir en rôle player de devoir, il est probablement l’un des joueurs les plus sous estimés et un professionnel que tout entraineur ou GM souhaiterait avoir dans son vestiaire.
Palmarès :
- 4 x All Star Rockets 2000 / Nets 2001, 2002, 2003
- 1 x All Defensive Second Team Rockets 2000
- 1 x Finale NBA Nets 2001
- 1 x All League Second Team Nets 2003


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6e place :
LEBRON JAMES (29.8 minutes / 18.9 points / 5.4 rebonds / 5.3 passes / 1.5 steals / 0.4 blocks)
L’élu ! A peine prince qu’il est déjà considéré comme un Roi. Un joueur véritablement appelé à dominer le monde du basket et qui répond de façon impressionnante aux attentes. Annoncé depuis ses 15 ans, il aura influé sur la ligue avant même son arrivée puisque nombreuses équipes auront rivalisé d’ingéniosité pour être dans le haut de la draft et obtenir le premier pick. Certains plans étaient même calculés sur deux voir trois ans. Extraordinaire à ce niveau. Magic, Sixers, Hornets, Blazers … Les franchises ne rêvent que de lui. Pourtant à l’heure de la lottery, c’est le Jazz qui gagne le premier choix. Mais les mormons, 3e pire bilan de la Ligue ont jugé bons l’année précédente de trader leur pick en échange… d’Eric Snow. Un des échanges les plus incompréhensibles (déjà au moment du trade) et les plus retentissants de l’histoire de la Ligue. Résultat c’est les Supersonics, 2e de la Conférence Ouest et 53 victoires au compteur qui ont le privilège de choisir en premier. On parle bien de Wade, Bosh et surtout Carmelo Anthony avec qui James est mis en concurrence … mais pas de farce, les Sonics n’ont pas besoin de plus de 30 secondes pour déclarer à tout l’état du Washington (et non pas la ville) que Seattle fera office de Jérusalem du basket pour les prochaines années. Le messie est en route et la ville du nord-ouest des USA devient donc le centre du monde du basket.
Lebron James semble avoir été créé par Dieu pour jouer ce sport. 2m03, puissant, rapide, musculeux, son jeu ne souffre d’aucune faiblesse. Capable de jouer à chaque poste, il dispose d’une véritable palette offensive, pouvant tenir le ballon, distribuer de superbes passes, fort au rebond, ayant un IQ basket élite, pas maladroit au shoot, et surtout inarrêtable quand il est lancé, la variété de son jeu semble sans limite. Seul petit péché, son adresse au lancer franc bien qu’il tourne à un honnête 74% en carrière. On a terminé ? Absolument pas puisque ce serait lui faire injure que de ne pas parler de sa défense, digne des meilleurs spécialistes de la ligue.
Ses statistiques, bien que dans de hauts standards, n’ont rien de révolutionnaire pour autant, Lebron évoluant à un niveau proche du fameux 20-5-5. Cependant, sa justesse de jeu, son pourcentage de réussite et sa capacité à dominer autant à son âge font trembler de plaisir les fans et trembler de peur ses adversaires. A tout juste 22 ans, il cumule 48 matchs de PO en 3 participations de PO dont une finale NBA dès sa saison rookie. Un rookie aussi fort en finale dès sa première saison ? Les rapprochements avec Magic Johnson sont légions, entre profil ultra polyvalent, sens du jeu, capacité à scorer comme faire jouer les autres. Encore non titré, cette défaite contre les Knicks de Shaquille O Neal et Tim Duncan reste une blessure ouverte dans son parcours. Le monstre grossit chaque année (pas le Shaq, Lebron James … encore que), et son plafond semble sans fin, absolument immesurable. Comme si on plongeait dans l’océan pour la première fois, à tenter d’en mesurer les limites et déchiffrer les mystères. Cependant, l’analyse poussée du profil nous oblige à signaler ses deux grosses blessures lors des 3 dernières saisons (malgré qu’il soit préservé) ce qui l’aura surement peu aidé à trouver son rythme en PO. Un niveau déjà digne des meilleurs joueurs de la Ligue et un parcours plus épais que des carrières entières, le King est un talent générationel unique. Si bien d'ailleurs qu'une gamme de sneakers, aux couleurs de la franchise, sera faite en son honneur dès la fin de sa saison rookie. Nul doute qu'à moins de sa propre décision, le joueur pourrait être amené à faire toute sa carrière à Seattle, et supplanter donc l'ancien modèle de la franchise, un certain Gary Payton.
La finale NBA lui a donné le « goût du sang » et il est en chasse depuis. Cela ne pouvait durer bien longtemps puisque le King a réussi à mener son équipe au titre (un succès que nous ne comptabiliserons pas dans ce classement, mais qui lui permettrait d’intégrer aisément le top 3) alors qu’il arrivait en fin de contrat rookie. Ce n’est pas comme si c’était véritablement nécessaire mais quoi de mieux pour légitimer son contrat maximum par un titre. Tout semble écrit pour « the Choosen One » de toute façon. La ligne d’arrivée du commun des mortels (les autres joueurs) pourrait être son simple commencement, et il pousse déjà devant au classement, n’ayant de cesse que lorsqu’il sera tout en haut. L’adage « sky is the limit » n’a jamais aussi été aussi bien personnifié.
Palmarès :
- 3 x All Star Sonics 2003, 2005, 2006
- 1 x Finale NBA Sonics 2003
- 1 x Finale Conférence Sonics 2005
- 1 x All League Second Team Sonics 2005

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5e place :
MICHAEL FINLEY (32.8 minutes / 18.4 points / 5 rebonds / 3.5 passes / 0.9 steals / 0.2 blocks)
Joueur des plus polyvalents, capable de jouer arrière comme ailier, et qui a même connu un succès au poste 1 (lequel aura bousillé le bon sens tactique d’un certain Dav’z à Miami), Michael Finley est une formidable machine offensive, capable d’artiller à toute distance au niveau des tous meilleurs de la ligue, un handle et un sens de la passe de très haut niveau pour un ailier, et une défense plus qu’acceptable. A partir du moment où vous ne craquez pas pour le placer dans la raquette, Finley vous apportera toujours un apport de all star. De 2000/2001 à 2004/2005, Finley propose pendant 5 saisons un équivalent de 22-5-4 à d’excellents pourcentages, à 48/43/79 sur 16 à 17 shoots par match. Question régularité et assurance de propreté on fait difficilement mieux. All Star à 4 reprises, sélectionné 3 fois dans les All League Teams de fin de saison dont deux fois dans la Seconde, il fait parti du gotha des joueurs à son poste (si tant est qu’il en ai véritablement un) des dix dernières années.
Drafté par Phoenix, il s’impose rapidement comme l’un des meilleurs joueurs à son poste et progresse au même rythme que son équipe. Sous Jujug, il connaît la post season chaque année, d’abord deux premiers tours avant d’aller au second round puis en 1999 de connaître sa première (et unique) finale de conférence contre les Lakers futurs champions. Signé au maximum en début d’année, Finley confirme donc. Pourtant, Jujug craque et s’en sépare, ou s’en débarrasse au choix , en échange de Gheorge Muresan et Bruce Bowen. Le projet est évident, il faut ajouter de la défense et de la dureté à cette équipe tout en donnant les clés du camion au duo détonnant Nash-Walker.
Pas de problème pour Finley qui garde le coté plage et soleil, mais du coté de la Floride. A Miami il est replacé meneur de jeu à la surprise générale, et contre toute attente, est étonnamment excellent au point d’être élu dans la All League Second Team. Profitant de sa science du jeu et de son avantage physique (6-7) au poste, il éclate ses opposants et donne du fil à retordre en défense avec un tel gabarit à affronter. Malgré l’énorme succès de ce repositionnement, Finley subit la décision de reconstruction de Dav’z suite à son élimination prématurée contre des Pistons portés par un Grant Hill monstrueux en 28 points, 9 rebonds et 8 passes sur la série. Il repart alors dans la conférence Ouest, pour être le fer de lance d’une équipe des Kings qui a définitivement décidé de ne plus jouer les bas fonds de la ligue. Habitué d’être bazardé finalement, Finley est échangé avec le très offensif ailier fort Jamison contre Wesley Person et un 1st round de la draft 2001. Une blague comme on dit dans le jargon. Pourtant, malgré les très belles équipes des Kings sur ses 4 saisons, tantôt avec Jamison et Marbury, tantôt avec Brent Barry, tantôt avec Chris Webber, jamais Finley ne passera le premier tour des Play Offs malgré les qualifications en post season et des saisons positives dont la plus belle en 2002 avec 51 victoires. Oui certes, 51 manches remportées mais une 5e place au classement. Car le problème est ici, l’ouest est autrement plus dangereux et compétitif et chaque match est un véritable défi. En Play Offs il n’y aucun match facile et les Kings subissent leur manque d’expérience ou parfois l’adversité abrupte de leur opposant. Si il connaît une nouvelle belle saison en 2005 suite à son transfert au Magic, celle ci est tronquée par des blessures. Il franchit bien le cap du premier tour avec Orlando mais les années commencent alors à peser sur son jeu. Transféré d’abord au Jazz puis ensuite aux Sonics dans un rôle de joueur de banc expérimenté, le but est d’aider James a gagner sa bague. Essentiellement utilisé au poste d’ailier, il permet à Lebron James et Tayshaun Prince de souffler et trouve alors un rôle parfait pour lui. Les Sonics sont armés plus que jamais pour aller chercher cette bague en cette fin d’année 2006, ayant fini sur le toit de la conférence Ouest. Ce titre viendrait donc ponctuer le formidable parcours d’un joueur exemplaire, synonyme même de polyvalence alliée à la régularité d’un véritable champion. Si il fallait donner une récompense pour le MVP (Most Versatile Player) of the Year, nul doute que Finley aurait été dans la discussion chaque année et qu’il en aurait raflé quelques uns. En attendant il semble que du coté des Sonics, on tient également une excellente référence en la matière et probablement que Finley sera à même de pouvoir lui distiller quelques conseils sur le sujet. Ca pourrait aider à gagner quelques titres éventuellement … (et on sait tous aujourd’hui que le premier a donc bel et bien été acquis, bravo champion)
Palmarès :
- 4 x All Star Suns 1996, 1997 / Heat 2000 / Kings 2002
- 2 x All League Second Team Suns 1997 / Heat 2000
- 1 x Finale Conférence Suns 1999
- 1 x All League Third Team Kings 2002

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4e place :
JERRY STACKHOUSE (32.4 minutes / 18.2 points / 4.1 rebonds / 3.4 passes / 0.9 steals / 0.4 blocks)
Jerry Stackhouse c’est 8 franchises différentes mais un seul et unique amour : le Heat.
Jerry Stackhouse c’est 12 saisons NBA (bientôt 13) mais une carrière à succès de seulement 6 ans, qui s’arrête finalement lorsqu’il est transféré chez les Pelicans.
Scoreur patenté, au shooting parfois douteux certes (44.3% en carrière) mais capable de pilonner une défense tout au long du match, le joueur ne doute pas. Avec 14 shoots en moyenne par match en carrière, cela semble évident, et ce n’est pas ses nombreux partenaires All Star qui vont l’empêcher de prendre son dû.
Un joueur qui divise donc, mais que le GM Dav ‘z aura complètement su utiliser le long de sa carrière. Au final les joueurs auront défiler aux Heat, mais lui sera resté, et aura accumulé distinctions collectives et récompenses individuelles. Hardaway, Van Excel, Barkley, Mourning, Kemp, Kenny Anderson, Finley, Jamison … On est pas face à des joueurs de devoir, les garçons sont affamés et ont besoin d’être alimentés … Pourtant il n’est pas question que Jerry laisse sa part du gâteau bien au contraire.
A la lecture de son passage à Miami, si il a probablement été plus critiqué que tous les coéquipiers cités plus haut, il aura donc maintenu sa permanence, que ce soit à l’arrière ou à l’aile et n’aura jamais failli une saison. Si on se penche d’un peu plus près sur ses statistiques, on constate alors un TS des plus honorable (55.4%), un PPS de haut niveau (1.32 en carrière) et un PER digne du All Star qu’il aura été. Attaquant à la panoplie variée, que ce soit sur de l’inside, du Jump Shot ou du tir longue distance, le joueur sait faire. Il n’hésite pas non plus a rentrer dans la raquette pour travailler les défenses sur ses grosses accélérations pour gratter du lancer franc. Défensivement c’est bien plus poussif mais ses capacités physiques lui auront permis de ne pas faire mauvaise figure pour autant, particulièrement en PO.
Finalement le Stack cumule alors 3 sélections All Star, deux nominations dans la All League Third Team et 63 matchs de PO en 5 participations dont 3 énormes parcours comprenant un titre en 1998 face aux ultimes Lakers donnés ultra favoris.
Le constat s’impose de lui même. Individuellement, collectivement et face à l’adversité, le joueur aura réussi avec succès. La suite ? Bien plus difficile et bien moins glorieuse. Déjà il ne connaitra plus les joies des PO ni de distinction collective, lui qui accumulera les permanences dans des équipes en reconstruction (Pelicans) ou en plein tanking dès 2004 (Nets, Bucks, Timberwolves). Certes l’année dernière il est récupéré par les Sixers pour compléter un vestiaire en mission mais il ne foulera pas le parquet de la post season. Grassement payé suite à sa resignature après le titre de 1998/1999, le joueur sera au fil des années considéré toujours plus comme un contrat boulet, trop cher payé pour l’apport unidimensionnel qu’il apporte mais aussi trop gourmand dans le jeu pour permettre l’explosion d’un jeune joueur à ses cotés. Une carrière complètement scindée en deux à l’image de l’athlète qu’il était, un joueur qui divise complètement, mais qui ne se cache pas. Avec lui on sait ce qu’on gagne mais aussi ce que l’on peut perdre.
Dans ce classement des ailiers, ils sont finalement bien peu à pouvoir se vanter de cumuler récompenses individuelles et résultats collectifs tout en assumant un statut et en associant les statistiques qui vont avec. Comme dans le jeu, il sera entré dans la mêlée et aura poussé tout le monde pour imposer sa présence : « Voilà, je suis là et je ne bougerais pas !! »… Et c’est une sacrée qualité quand on va au bout.
Palmarès:
- 1 x Finale NBA Heat 1996
- 3 x All Star Heat 1997, 1999, 2000
- 2 x All League Third Team Heat 1997, 2000
- 1 x Titre Champion Heat 1998
- 1 x Finale de Conférence Heat 1999

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3e place :
GRANT HILL (32.6 minutes / 18.4 points / 6.6 rebonds / 4.1 passes / 1.2 steals / 0.4 blocks)
On aime les séries décidemment. Et après les joueurs capables qui choke en PO (Kirilenko puis McGrady), on enchaine un duo de joueurs aux carrières complètement scindées en deux. Après Jerry Stackhouse, parlons donc de Grant Hill. Si on trouve des similitudes dans la trame de carrière, ni les accomplissements collectifs (pour Jerry) ni le rayonnement individuel (pour Grant) ni même leur style de jeu ne sont similaires.
Le parcours de Grant Hill est l’un des plus gros drame de l’histoire de la Ligue. Mais nous reviendrons dessus plus tard.
Dans un premier temps, il est important de signifier combien ce joueur pose question sur sa place au classement. N’ayant jamais dépassé le second tour des PO malgré es régulières taille XXL, le joueur est resté exemplaire et toujours au plus haut niveau dans une équipe tantôt combative tantôt moribonde. Amener l’équipe de Détroit à des bilans positifs chaque année pendant 5 ans, dont deux saisons au dessus des 50 victoires et trois saisons au second tours des Play Offs cela tient d’un véritable tour de force. Ame, leader offensif et joueur le plus talentueux de l’équipe, les comparaison avec Michael Jordan sont légions, rappelant l’époque d’un MJ au sommet de son art mais devant composer avec des partenaires de jeu parfois limités et donc pas toujours des mieux entouré. Néanmoins c’est un joueur collectif, qui ne cherche pas forcément a écraser son opposant. Laissant le jeu venir à lui, il est facile, probablement beaucoup trop, et bien évidemment trop esseulé dans une équipe de Détroit composée d’un Rasheed Wallace qui choisit trop ses matchs et un Big Ben certes extraordinaire défenseur mais trop limité offensivement pour le relayer.
Alors au delà de son jeu, qu’est ce qui pousse la rédaction à place le joueur sur le podium all time ? Tout simplement le fait qu’il est l’unique joueur avec Elton Brand à cumuler autant de récompenses individuelles. « Mr Nice Guy », c’est deux titres de MVP, un titre de MIP, une first Team et une position de leader au scoring sur la seule année 1997. Blessé au moment du All star Game, il produit quand même 27 points 8 rebonds et 4 passes à 54% cette année. En 1998, UDS prend le rôle de GM de Détroit et centre évidemment tout son projet autour du récent MVP. Sa première action consiste à poser un contrat maximum de 7 ans sur la table pour axer tout le futur sur les épaules de ce joueur générationnel. Les 3 années qui suivent installent définitivement Grant Hill parmi les tous meilleurs joueurs de la Ligue. Plus de 50 victoires de moyenne sur la saison, élu chaque année au ASG, First Team a chacune des fins de saison, le plafond du joueur semble d’une profondeur infinie. D’ailleurs en 2000, le joueur réalise possiblement l’une des meilleures saisons all time : 28 points, 9 rebonds, 6 passes et 1.7 steals de moyenne par match à 52% au shoot. On continue ? 37 matchs à 30 points ou plus, 32 matchs à au moins 10 rebonds (pointe à 19), 15 matchs à 40 d’évaluation minimum. Les PO sont tout aussi impressionnants : 31 points 7.5 rebonds, 6.5 passes. Certes il a 4 pertes de balle par match mais cela reste relativement acceptable vu le nombre de minutes jouées et son USG rate. Mais qui peut bien arrêter le joueur ? La question ne va pas tarder à trouver une réponse. Les blessures ! Alors que UDS semble décider à faire passer un cap à son équipe en amenant Richard Hamilton dans la franchise, le joueur se blesse en pré-saison. Rupture des tendons d’Achille et saison blanche actée pour 2001. Le choc est terrible, et peu d’équipes ont connu un tel coup dur, particulièrement quand on parle d’un MVP en titre. Trop confiant sur les capacités physiques phénoménales de son joueur, la gestion du temps de jeu de la part du GM des Pistons peut poser question. Revenu en 2002, Il jouera tout juste 36 matchs, les blessures continuant à miner le joueur. Devant faire face à la régularisation du Hard Cap et devant les changements salariaux actés par la ligue, le joueur est cédé à contre cœur aux Blazers. Déchirement pour UDS qui n’aura finalement jamais pu construire son équipe, ayant été stoppé par la blessure de Grant Hill alors en pleine confirmation de son immense talent et revenu à son titre de MVP. Hill retrouve bien des sensations chez Portland (équipe dans laquelle il était finalement destiné à jouer) mais c’est au sein d’une franchise sans grande ambition. La suite de sa carrière est plus difficile. Milwaukee, Phoenix, Orlando, San Antonio et Houston… il connaît différentes franchises mais la stabilité et la confiance sont définitivement perdues. Si le joueur continue de prendre plaisir à chaque minute passée sur le parquet, les années s’additionnent et à 35 ans, le regard dans le rétroviseur ne peut que laisser d’énormes regrets. Possiblement l’un des destins de carrière les plus tragiques de l’histoire de la Ligue. Entre sa malchance récurrente et son sourire éternel, sur et en dehors du parquet, la dramaturgie de son histoire est d’autant plus exacerbée par cette dichotomie si caractéristique de son parcours et du joueur qu’il a été.
Palmarès :
- 1 x Scoring Leader Pistons 1997
- 1 x MIP Pistons 1997
- 2 x MVP Pistons 1997, 2000
- 4 x All League First Team Pistons 1997, 1998, 1999, 2000
- 3 x All Star Pistons 1998, 1999, 2000

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2e place :
PAUL PIERCE (33.8 minutes / 21.3 points / 6.2 rebonds / 3.6 passes / 1.4 steals / 0.4 blocks)
On est en 2002. Les Nuggets viennent de gagner un nouveau titre et Paul Pierce en est le principal instigateur. 2001/2002, c’est probablement la saison la plus complète réalisée par un joueur. All Star, All League First Team, MVP et donc vainqueur d’un back to back. Aucun joueur n’a réussi à cumuler autant de distinctions individuelles et collectives cumulées. Mais comment en arrive t’on ainsi ? Flashback : Le jeune Paulo est drafté en seconde position par les Hawks et Tikette, il est choisi derrière Vince Carter mais devant Dirk Nowitzki. Un top 3 de draft devenu légendaire aujourd’hui. Cependant, c’est bien lui qui décroche le titre de ROY en fin de saison avec près de 20 points 6.5 rebonds et quasiment 3 passes. Suffisant pour être appelé au ASG dès sa première saison donc. Suffisant également pour déjà être élu dans la All League Third Team de fin de saison mais également dans la All Defensive Second Team.
Malgré de tels accomplissement sur sa première année, et une progression constante lors de son année sophomore, le board d’Atlanta cède devant l’offre de Denver qui casse son PEL pour s’offrir le joueur en échange de 3 firsts picks avec lesquels ils récupèreront entre autre Richard Jefferson. Quelle belle intuition de Xarphios, alors GM des Nuggets qui récupère l’un des ailiers les plus talentueux et prometteur de la Ligue.
Et Pierce ne va pas décevoir. 6 saisons passées dans les Rocheuses, et près de 22 points, 6 rebonds et pas loin de 4 passes de moyenne par match à plus de 50% au shoot. Au cous de ses années en haute altitude, il enchaine également les grosses saisons et des PO d’excellent niveau. Deux saisons à se préparer, et ensuite un back to back historique suivi de deux campagnes post season pour 57 matchs joués. De 2001 à 2004 le joueur est complètement incontournable, AS évident (6 sélections au total), élu deux fois dans la All League Second Team et une fois dans la All League First Team. Le tour de force est d’autant plus fort qu’il doit partager la gonfle avec de sacrés copains de jeu comme Chris Webber, Anthony Parker ou Donyell Marshall. Meilleur attaque de la Ligue très régulièrement aux cotés des Bulls, l’alchimie est digne d’un formule magique trouvée dans un vieux grimoire. Malgré le changement de GM au milieu du back to back, Lumi a la bonne idée de garder la colonne vertébrale de l’équipe, suivant alors la volonté des joueurs de continuer avec le même groupe. Pourtant en 2002, les Nuggets bien qu’avec 61 victoires finissent 4e de la conférence, ce qui ne les empêchera pas de glaner un second titre après notamment une belle bataille au second tour des PO face à des Bucks ultra renforcés et auteurs d’une saison à 64 victoires.
Et aucun des jeunes joueurs talentueux qu’on lui met en opposition (Prince, MWP, Wallace, Butler) ne pourront être en mesure de le limiter ni même de lui poser de véritables problèmes en défense. Le joueur est ultra décisif, même si le titre de MVP des Finales est remporté par l’excellent Donyell Marshall.
Cependant à l’intersaison 2005, l’équipe est vieillissante et ne cesse de régresser. Elle sort d’une sortie au premier tour des PO et à donc besoin de se renouveller. Le GM Lumi est attendu pour cela notamment. Après plusieurs négociations, les Pistons et les Rockets se détachent pour la signature de « The Truth ». Cette dernière est finalement remportée par Houston, les Pistons se tournant finalement vers Michael Redd. Le joueur arrive dans une équipe complètement bancale et peine à trouver sa place après tant d’années dans une franchise des Nuggets aussi équilibrée et au vécu collectif aussi établi. Pour ne rien arranger, le joueur se blesse quasiment la moitié de la saison et doit finalement revenir en catastrophe, de façon quasiment prématurée pour permettre à des Rockets moribonds de se qualifier en PO sur la dernière ligne droite, avec seulement 31 victoires pour 51 défaites, faisant de cette équipe l'une des plus faibles franchises à se qualifier en post season (Portland faisant l'exploit de se qualifier à 30 wins, mais de façon relativement imprévue contrairement aux Rockets ce qui signifie la relative faiblesse de l'ouest au delà de la 6e place cette année). Cependant c’est bien suffisant pour participer à la fête et les Rockets font même trembler les Supersonics de Lebron James qui doivent alors composer entre cascade de blessures et inexpérience (du GM Mike notamment) et s'en tireront finalement en 7 matchs.
Si les Rockets questionnent par leur schyzophrénie, Pierce lui rassure sur son niveau de jeu. Si bien qu’il est échangé à Boston la saison suivante. Un intérim de 6 mois dans une équipe à la lutte pour les PO pour rejoindre les Spurs champions en titre, en chasse pour le back to back. Une équipe où il retrouve son partenaire de draft Dirk Nowitzki, et laquelle est la plus à même de lui rappeler l’alchimie qu’il a pu connaître dans le Colorado.
Si les récompenses individuelles ne sont plus de mise depuis son départ des Nuggets malgré des statistiques toujours élites, le joueur garde une position de top ailier de la Ligue et donc capable d’influer au sein d’une franchise visant le titre. Qu’on se le dise bien, le joueur a encore de quoi offrir de belles batailles et continue de salir la feuille de match malgré les années qui passent. A seulement 30 ans, on peut penser que son basket IQ et ses formidables capacités techniques et physiques pourront lui permettre d’évoluer encore a très haut niveau. Des récompenses individuelles il en a glané suffisamment à ne plus quoi savoir en faire. En revanche pour le titre, il reste des plus affamés et cherchera jusqu’au bout à prendre et prendre encore de la bague. Et y’a pas plus grande vérité pour les plus grands compétiteurs de cette Ligue.
Palmarès :
- 6 x All Star Hawks 1998 / Nuggets 1999, 2001, 2002, 2003, 2004
- 2 x All League Third Team Hawks 1998 / Nuggets 1999
- 1 x All Defensive Second Team Hawks1998
- 2 x All League Second Team Nuggets 2001, 2004
- 2 x Titre Champion Nuggets 2001, 2002
- 1 x All League First Team Nuggets 2002
- 1 x MVP Nuggets 2002

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1ere place :
VINCE CARTER (33.5 minutes / 24.3 points / 5.7 rebonds / 3.9 passes / 1.2 steals / 0.6 blocks)
Si le classement peut poser débat sur la majorité des places, en particulier de la 6e à la 3e place, les deux premières semblent ne souffrir d’aucune contestation.
Néanmoins le débat existe entre Pierce et Carter, de par leur similitudes en termes de statistiques et palmarès, accentué notamment par une rivalité datant de leur draft, puisque les deux joueurs ont été sélectionné au deux premières positions de la draft. Et c’est bien Vince Carter qui fut appelé en premier par les Golden State Warriors. Joueur polyvalent capable aussi bien de jouer à l’arrière, ce qui d’ailleurs pourrait placer Pierce en première position sans débat possible de ce classement pour certains, Vince est le prototype du joueur « ultra kiffant » a voir jouer. Dunkeur phénoménal, extraordinaire attaquant, leader capable, capable de créer pour les autres ou de se faire son propre shoot, redoutable derrière l’arc, la technique est donc couplée à un physique d’androïde pour le plus grand plaisir de ses fans et de la planète basket.
Sa première saison laisse déjà présager de son énorme niveau, et malgré les défaites le joueur est longtemps à la lutte avec Pierce (déjà) pour le titre de ROY. Et lui aussi connaitra destin similaire (les joueurs étant liés tout au long de leur carrière) puisqu’il est également échangé un an et demi après sa venue aux Warriors contre un autre jeune au mains d’or, un certain Kobe Bryant. Tout juste 18 mois dans la Ligue et il représente déjà l’un des plus gros blockbusters de la décennie. Toujours en Californie, mais déménagé du coté de Los Angeles chez les Lakers, il rejoint une « dream team » terrifiante composée de Shaquille O Neal, Donyell Marshall et Eddie Jones notamment. La pression est donc énorme mais lui n’en a cure. Il souhaite juste jouer au basket et dans une équipe aussi facile que les Lakers, cela deviendra des plus aisés. Loin d’être le leader offensif de son équipe, ayant à partager la balle avec de gros consommateurs dirons nous, le joueur s’amuse sans forcer les choses, colle près de 20 points par match en moyenne lors de ses 3 premières saisons et en profite également pour remporter un back to back (oui lui aussi) lors de ses deux premières années. On fait difficilement meilleur fit. Après une saison rookie en All Star (oui lui aussi, encore) suivie d’une seconde saison ponctuée d’un premier titre et d’une nouvelle étoile, le joueur marque quelque peu le pas, devant alors composer avec les énormes égos du vestiaire angelino. Il ne reste qu’un jeunot et doit donc gagner le respect de la troupe, tout en faisant attention à ne pas froisser les lions du roster. Une qualité que son compère d’échange Kobe Bryant n’aura par exemple pas su faire ce qui le privera probablement de plus de titres et d’une idylle aux Lakers que Carter ne se privera pas d’embrasser.
En 2001, les Lakers sont stoppés par les Nuggets (devinez qui voilà) en finale de Conférence. Après avoir marché sur l’eau (et la ligue) pendant des années, le coup sur la tête est difficile pour le board de la franchise qui entame une serie de grandes manœuvres peu inspirées qui voient tour à tour Marshall, Eddie Jones puis Shaquille O Neal quitter l’équipe. Au fur et à mesure des départs et des arrivées peu concluantes, Vince Carter devient petit à petit « Air California », surnom qui n’oublie pas donc son premier passage dans la baie. Le joueur est toujours plus responsabilisé et augmente significativement sa production. 26 points d’abord en 2002 puis près de 30 points sur les saisons 2003 et 2004, tout en ajoutant 6 à 7 rebonds et 5 passes par match. Le joueur se pose comme l’un des meilleurs de la Ligue individuellement, alternant les postes d'ailier et d'arrière avec brio suivant les besoins du coach. En 2003 il enchaine alors le ASG, le titre de meilleur marqueur de la Ligue et finalement sa première élection à la All League First Team de fin de saison. Des étoiles, il en cumulera 7, All Star Game qu’il n’a plus raté depuis maintenant 5 saisons. Des first teams il en cumulera 4, nomination qu’il valide depuis 4 saisons. Le joueur ne souffre donc d’aucune contestation, son jeu est proche de la perfection, son caractère est idéal, sa production des plus sérieuses et sa polyvalence précieuse. Néanmoins, depuis la fin de cette armada, Carter souffre de 5 saisons de bonne facture ponctuée par 4 éliminations au premier tour (et une non participation) en post season. Car si "Vinsanity" a pu gagner deux titres de champion, cela n’a pas été dans un rôle de leader d’équipe comme Pierce a pu l’être avec les Nuggets. Pire, nombreuses critiques se sont abattus sur lui concernant son leadership et sa capacité à pouvoir mener une équipe loin dans les PO. A 30 ans dorénavant, le temps file et si le le joueur individuellement semble être le meilleur de sa génération sur les postes arrières, si son sens collectif n’est plus à prouver, sa capacité à être un mâle alpha qui fait gagner son équipe demeure une question en suspens. Si l’on regarde le palmarès, le nombre de matchs joués en PO, sa domination individuelle sur ses matchs (élu HDM près d’un match sur 3, 6e plus gros total de la ligue) et ses statistiques, il paraît évident que sa place est méritée. Pour autant il y a des choses qui ne peuvent se lire via de simples chiffres et Carter a encore à prouver. Peut il réaliser cet énorme défi et montrer que tels certains joueurs de la Ligue il peut porter une franchise sur son dos et l’amener en haut de la plus grande compétition basket ? Ne serait ce une finale de Conférence à minima…
A lui de répondre à cette question. Après tout, l’un de ses surnoms n’est il pas « Half man-Half Amazing » ?
Palmarès :
- 7 x All Star Warriors 1998 / Lakers 1999, 2002, 2003, 2004, 2005, 2006
- 1 x All League Second Team Warriors 1998
- 2 x Titre Champion Lakers 1999, 2000
- 1 x Finale Conférence Lakers 2000
- 1 x Scoring Leader Lakers 2003
- 4 x All League First Team Lakers 2003, 2004, 2005, 2006

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ALL TEAMS OF THE DECADE

1st: Mike Bibby - Kobe Bryant - Vince Carter - ? - ?
2nd: Allen Iverson - Ray Allen - Paul Pierce - ? - ?
3rd: Anfernee Hardaway - Eddie Jones - Grant Hill - ? - ?
4th: Steve Nash - Anthony Parker - Jerry Stackhouse - ? - ?
5th: Jason Terry - Kerry Kittles - Michael Finley - ? - ?
6th: Damon Stoudamire - Manu Ginobili - Lebron James - ? - ?
7th: Terrell Brandon - Michael Jordan - Lamond Murray - ? - ?
8th: John Stockton - Michael Redd - Tracy McGrady - ? - ?
9th: Gary Payton - Doug Christie - Andrei Kirilenko - ? - ?
10th: Sam Cassel - Allan Houston - Steve Smith - ? - ?
11th: Chauncey Billups - Brent Barry - Richard Jefferson - ? - ?
12th: Jamaal Tinsley - Reggie Miller - Jalen Rose - ? - ?
13th: Andre Miller - Richard Hamilton - Tim Thomas - ? - ?
14th: Steve Francis - Erick Strickland - Metta World Peace - ? - ?
15th: Rod Strickland - Jamal Crawford - Glenn Robinson - ? - ?
16th: Tim Hardaway - Dwyane Wade - Josh Howard - ? - ?

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Woj_24

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by Woj_24 » 18 August 2020, 12:18

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Avec plusieurs gros transferts dans les tuyaux du côté de la Conférence Ouest, il se murmure que les Wolves seraient prêts à écouter les offres pour l'intégralité de leur roster.
Insider de la 24SecondsBasketLeague, je rapporte vos indiscrétions pour servir vos intérêts dans l'anonymat le plus total. Contact en MP.

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