[24" BASKET LEAGUE] Publications

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Crockets

Mouche-à-merde
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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by Crockets » 17 June 2020, 09:38

Dernière vague de la SR.


Comme je sais que ça titille pas mal de monde, voici quelques précisions poir cette vague :

- Interdiction de bencher volontairement des titulaires qui pourraient normalement jouer.
- Je tolère que le temps de jeu des titulaires soit diminués, mais il ne doit pas être inférieur a 24 minutes.


Ces règles s'appliquent aux grosses teams qui voudraient un peu trop économiser meurs joueurs et aux équipes plus faibles voir nulles qui voudraient faire un dernier rushbien dégueulassepour gratter des places à la lottery.

V@l

All Star
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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by V@l » 17 June 2020, 09:54

Z aux Warriors pour la fin de saison.


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Encore du renfort, toujours du renfort, c 'est l'immense (par la taille) Ilgauskas qui debarque dans la baie.

Lumi

Rookie
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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by Lumi » 17 June 2020, 11:48

AUTOPRONO - AVRIL
 
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https://sites.google.com/view/auto-prono-24-sec/accueil

Classement mois
3pts : Detroit
1pt : Milwaukee, Houston, Portland, Sacramento, Utah

Classement général
8pts : Phoenix
7pts : Milwaukee, Indiana, Portland
6pts : Detroit, Denver
5pts : Dallas, Houston
4pts : Charlotte, New Jersey, Toronto, New Orleans, San Antonio
3pts : Sacramento, Utah
2pts : Los Angeles
1pt : Philadelphia

Lien direct pour le mois d'avril ici

Deadline le vendredi 19 juin, 18h ! Bonne chance ! 8-}
Règles
Rappel de la règle : parier sur le nombre de victoires de son équipe seulement sur le mois à venir : 3points si vous tombez juste, 1point si vous êtes à 1win près, 0 si vous êtes plus loin.
L'enjeu : Un boost de 60points à donner à votre second tour de l'année si vous finissez 1er. 45pts si vous finissez 2nd, 30pts si vous finissez 3e.

Pour départager les participants:
1 - plus grand nombre de points cumulés
2 - plus grand nombre de participation
3 - plus grand nombre de pronos "tout pile"
4 - tirage au sort

Comment pronostiquer : Il vous suffit de vous rendre sur le site, onglet "Votes", ou de cliquer sur le lien que je fournirai dans la publi mensuelle, de faire défiler et d'aller pronostiquer le nombre de victoires de VOTRE équipe pour le mois en question, puis de cliquer sur envoyer au bas du formulaire. Pas de panique si le formulaire disparaît lorsque vous cliquez sur envoyer. Il suffit de scroller en haut de la page pour voir que votre vote a bien été pris en compte.

Tout vote reçu après la deadline, même d'une minute, sera effacé et donc considéré comme nul.
NB : le re-vote est accepté tant que la deadline est respectée (je garderai le vote le plus récent). Si par erreur vous vous êtes trompé de franchise ou pour tout problème/suggestions en lien avec ce jeu, contactez moi par MP ici ou sur discord (j'y suis beaucoup plus réactif).

Un détroit soleil

Pistons
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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by Un détroit soleil » 18 June 2020, 15:51

CLASSEMENT ALL TIME, 10 ANS DE SIMU 24s, POUR LA POSTERITE (1/10)


Historique on vous dit !!! 10 ans de simu déjà, 10 années qui ont vu le Jazz, les Lakers, le Heat, les Nuggets, les Knicks et les Spurs remporter un titre (ou plusieurs). 10 années qui ont également vu de superbes équipes marquer la ligue, des coaches affirmer leur style et des GM soutenir leur vision à court, moyen ou long terme. Certains ont été débarqués, d’autres ont pris une retraite (parfois temporaire) bien méritée tandis que certains continuent de jouir d’une confiance absolue malgré des échecs retentissants et aucun titre (la majorité en fin de compte)
Mais finalement, on ne parle jamais plus que de ce qui fait l’essentiel de cette ligue: les joueurs !!
Le basketball en impose 5 sur le parquet par équipe, 5 avec des caractéristiques techniques bien précises et des responsabilités définies. Comment les classer, leur rendre hommage et justice ? Comment définir la position du rôle player multiple champion face à celui qui collectionne les récompenses individuelles et qui aura marché sur ses adversaires sans pour autant obtenir le titre suprême ? *
C’est la tache extrêmement difficile que nous nous avons accepté de réaliser, non sans crainte, mais également avec beaucoup d’excitation et de passion.
Si votre joueur n’est pas à la place qu’il mérite selon vous, tant mieux, cela donnera lieu à des débats (et non ébats !!). Soyez certains en tout cas que nous avons tout fait pour n’oublier personne, que chacun puisse être cité, que chaque équipe marquante soit alors référencée dans cet article. Car les joueurs représentent la Ligue oui, mais ils représentent surtout leur équipe, leur franchise et leurs fans.
Pour les 10 ans, c’est donc … et non pas 10, pas 12 mais 16 équipes all-time. Ne nous demandez pas le rapport il n’y en a aucun si ce n’est la passion qui nous fait vibrer. Oui on est comme ca nous, on est fou. On est fou de NBA. On est fou de vous tout simplement.
16 équipes pour 10 articles, 2 articles pour chaque poste, publication après publication. 10 articles pour les 10 ans.
Aujourd’hui les meneurs à l’honneur !!

* Les stats sont arrêtées à la date du 20/04/2007, juste avant le début des PO



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16e place :
TIM HARDAWAY (29.7 min / 14 points / 2.9 rebonds / 6.5 passes / 1.4 steals)
Run TMC ? Il n’en sera pas vraiment question ici. Timothy arrive en 1996 à Miami après de superbes années à Golden State. A 30 ans passés, Dav’z espère pouvoir profiter de ses dernières années à haut niveau. Pauvre Hardaway… Si sa première saison en Floride est d’excellente facture avec 16 points et 6 passes de moyenne, il échoue en finale NBA face aux Jazz de Stockton. Crève cœur, d’autant plus que la seconde saison est beaucoup moins convaincante. Dav’z monte une équipe pour le titre, il choisit de donner plus de place à d’autres joueurs comme Stackhouse ou Kemp et transfère alors son meneur. Kenny Anderson débarqué en début de saison, le Heat sera bien champion quelques mois plus tard avant de rapatrier Timmy à l’aube de l’année suivante, sans jamais plus atteindre les finales NBA malgré un beau parcours en 1999. Pour autant, Hardaway demeure un sacré joueur qui aura souffert d’un peu de malchance. Pas de quoi rougir cependant avec une All League third team méritée en 1996/1997 et quelques beaux parcours en Play Offs. Avec le Heat toujours…
Palmarès :
- 1 x All League Third Team Heat 1996
- 1 x Finale NBA Heat 1996
- 1 x Finale Conférence Heat 1999

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15e place :
ROD STRICKLAND (30.5 min / 13.1 points / 3.7 rebonds / 6.8 passes / 1.5 steals)
Le genre de joueur assez excitant, excellent manieur de ballon, gros scoreur, belle vision du jeu, bonne défense avec pour petit défaut un shoot longue-distance perfectible. Mais pour le reste … Portland a profité de ses meilleures années, les Nets lui ont donné une continuité dans les performances individuelles malgré une réussite collective médiocre avant que les Pistons lui offrent une seconde jeunesse afin qu’il puisse montrer son talent en Play Offs. Finalement les Lakers lui donneront finalement l’opportunité de concrétiser sa carrière par un titre, dans un rôle en sortie de banc non anecdotique pour autant. Rod, c’est un joueur excellent mais à qui il manque ce petit truc en plus probablement, que ce soit en termes techniques mais aussi dans son parcours. Une bien belle carrière pourtant récompensée individuellement d’une sélection All Star.
Palmarès :
- 1 x All Star Nets 1997
- 1 x Titre Champion Lakers 2000

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14e place :
STEVE FRANCIS (31.9 min / 17.4 points / 4.6 rebonds / 4.8 passes / 1.4 steals)
Vous voulez la définition d'un pétard ambulant au basket ? Vous avez l'exemple type ici avec Steve Francis. Meneur arrière doté de formidables capacités physiques, capable de péter un tomard en plein traffic ou de crosser son adversaire au point de l'asseoir par la même occasion dans les tribunes, Francis fait une entrée fracassante dans la ligue, à l'image de son jeu. D'abord aux Rockets, où dès son arrivée il s'impose comme titulaire évident dans une équipe en reconstruction au point d'être élu All Star dès sa saison rookie et d'obtenir sa place dans la 3rd team de l'année, excusez du peu. Puis au sein de cette même équipe, séduisante et transformée par les arrivées de Rahim et Murray, rebelote, il glane un second ticket pour le ASG et récolte une 7e place, pas très représentative de la belle saison de Houston. L'année suivante il est alors placée en sortie de banc au cours de la saison et les Rockets continuent de progresser et atteignent alors le second round. Détroit se positionne et le fait venir dans le Michigan, en flairant alors le bon rôle de puncher offensif en sortie de banc. Il score, prend du rebond, fait de la passe et améliore son efficacité dans ce système. Alors résigné pour un contrat dit "friendly", les Sonics veulent en faire leur option majeure en sortie de banc à un poste où le talent manque, et profitent de l'opportunité. Aux Sonics, la franchise lui offre un véritable bond en avant. Il continue sa production mais assure de belles campagnes en PO et un titre de 6MOY en 2004 qu'il ne pouvait continuer à louper. Bon joueur, complet, mais qui n'a pas toujours convaincu du à son jeu individualiste et un IQ basket pas toujours juste, notamment en Play Offs, il demeure cependant un meneur qui compte au cours de cette décennie. Stevie O, c'est l'histoire d'un gars qui a eu tout, très vite et à qui l'adage "sky is the limit" semblait promis, mais qui n'a finalement jamais réellement progressé. Il a eu tout, très vite, tout de suite ... et c'est tout. Pas mal, mais dommage...
Palmarès :
- 2 x All Star Rockets 1999, 2000
- 1 x All League Third Team Rockets 1999
- 1 x Finale NBA Sonics 2003
- 1 x 6MOY Sonics 2004
- 1 x Finale de Conférence Sonics 2005

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13e place :
ANDRE MILLER (27 min / 11.1 points / 3.5 rebonds / 5.9 passes / 1.2 steals)
Andre, ou comment être au bon endroit au bon moment pour gagner le titre tout en étant un simple rôle player qui compte. Drafté par les Spurs, les attentes sont présentes et nombreuses pour le prospect en provenance des Utah Utes (à vous d’essayer de le dire aussi vite que possible à la suite). Il ne décoit pas, mais ne sublime pas non plus le jeu de l’exigeant Alexis qui le transfère aux Nuggets après deux ans, lui qui avait investi tant pour monter jusqu’en 5e position. Bingo, merci à tout le monde, bonjour les Nuggets et deux années pleines ponctuées d’un super back to back en tant que meneur titulaire. Si les stars se nomment Paul Pierce ou Chris Webber, Andre Miller complète parfaitement ce 5 et le fait tourner comme il faut. Un gagnant on vous a dit. 7 saisons, 7 fois en Play Offs et plus d’une centaine de matchs joués en post season (Tracy McWhoooo ?) !!
Vous voulez un cours de comment se fondre dans un collectif plein de stars ? Regardez donc la carrière du monsieur. Une finale NBA l’année dernière avec les Sixers en plus, et le voilà déjà en route pour briguer une autre finale cette année, toujours avec les Sixers. Et comme on a cru comprendre qu’il aimait bien les doublés…
Palmarès :
- 2 x Titre Champion Nuggets 2000, 2001
- 1 x Finale NBA Sixers 2005

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12e place :
JAMAAL TINSLEY (27.3 min / 9.6 points / 3.1 rebonds / 6.2 passes / 1.9 steals)
On reste chez les gagnants intelligents qui savent se fondre dans un collectif. Vous prenez un joueur avec un IQ basket, vous lui donner un shoot correct, un tir longue-distance relativement honnête, une bonne capacité à tenir le ballon et distribuer, une défense féroce et un véritable esprit de compétition, et voilà que vous obtenez Jamaal Tinsley. Drafté par les Kings, il est sensé incarné la relève à la mène en Californie. Après les profils scoreurs de Billups et Marbury, voilà que Keke s’engage sur un tout nouveau profil, plus gestionnaire, plus de défense aussi pour compenser les profils (exclusivement) offensifs de l’équipe. Ca marche plutôt bien pour un rookie. Et déjà les PO pour le jeune Jamaal. 3 matchs d’abord, puis 5 l’année suivante, toujours en post season. Il n’en faut pas plus aux Spurs pour le recruter alors et en faire leur titulaire. Et tout ça en contrat rookie. Une finale de conférence d’abord, puis une finale NBA. Il faut alors le prolonger à prix coutant, les Spurs cassent la tirelire et les spécialistes montent au créneau. Résultat ? Le titre en fin de saison. Tinsley c’est l’histoire d’une progression parfaite, dans le jeu comme dans la compétition. Un défenseur féroce comme on en fait peu récompensé par ailleurs d’une sélection à la All Défensive first Team de 2005. 29 ans, 6 saisons, 6 fois en PO et déjà 65 matchs au compteur. On dit qu’il faut savoir monter dans le bon wagon, c’est carrément la locomotive que Jamaal semble actuellement conduire.
Palmarès:
- 1 x Finale Conférence Spurs 2003
- 1 x Finale NBA Spurs 2004
- 1 x Titre Champion Spurs 2005
- 1 x All Defensive First Team 2005

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11th place :
CHAUNCEY BILLUPS (32.9 min / 15.7 points / 3.1 rebonds / 5.8 passes / 1.2 steals)
Double All Star depuis cette année, Chauncey Billups a connu plusieurs vies. Tout d’abord l’apprentissage chez les Kings au coté d’un certain Dirk. Trop jeunes trop verts trop tendres, ils apprendront la NBA dans les bas fond de la Ligue. Keke craque et libère ses deux joueurs contre multiples tours de draft, et voilà que Chauncey arrive chez les Nets. Le GM a des projets mais cela prendra du temps. Pas de problèmes pour Billups qui ne souhaite que se montrer et qu’on lui fasse confiance. 11e place la première année, 9e place la seconde … et là c’est carement l’explosion. Les Nets cartonnent la Ligue de façon inattendue, proposent un jeu collectif, attrayant, équilibré avec aucune véritable star et finissent sur le toit de la saison régulière avec 62 victoires. Un parcours en PO géré de main de maitre jusqu’à une finale épique perdue en 7 matchs. Les Nuggets impressionnent mais les Nets séduisent avec Billups à la baguette.
Les Pistons lui offrent alors la 3e partie de sa carrière, l’amour le vrai. Fan du joueur, le GM de Détroit se dépouille et après multiples tentatives finit enfin a faire venir le meneur originaire du Colorado à Motor City. Malheureusement, entre malchance, blessures et casting pas toujours au niveau attendu, Billups ne retrouvera jamais un niveau collectif semblable à celui de son apogée aux Nets. Mais il a la confiance de son GM, celui ci lui ayant garantie qu’il travaillerait d’arrache pied pour créer chaque année un groupe compétitif. Il ne faudra pas trop tarder non plus pour le trentenaire.
PS : Fait intéressant, il n’a jamais commencé un match sur le banc depuis le début de sa carrière, SR et PO confondus.
Palmarès :
- 1 x Finale NBA Nets 2001
- 2 x All Star Pistons 2002, 2004

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10th place :
SAM CASSEL (25.4 min / 12.7 points / 2.8 rebonds / 4.9 passes / 1 steals)
Les stats actuelles en carrière de Cassel ne doivent pas faire oublier combien ce joueur fut l’un des meilleurs de la ligue de 1996 à 2001. Joueur ultra complet, nous sommes nombreux à la rédaction à penser que son départ est la raison de la chute vertigineuse des Bucks depuis. Un monstre oublié tout simplement. Capable de tourner en 20 points et plus de 7 passes par match à son plus haut niveau, ils ne sont pas beaucoup à avoir réalisé cette prouesse, et encore moins sur deux années de suite (à Boston). Collectivement, son apogée interviendra avec les Bucks en 1998 et cette finale de Conférence épique mais terrible pour lui avec cette défaite en 7 matchs face aux immenses Lakers de l’époque.
Monstre oublié mais encore aujourd’hui monstre sans titre (et devrait le rester) puisqu’à 37 ans et après un dernier baroud d’honneur aux Sonics en sortie de banc où il aura tenté son possible pour toucher le graal suprême, il est actuellement plus proche du rôle de coach assistant que de celui de joueur d’une équipe des Bucks à la dérive.
Beaucoup d’appelés, peu d’élus, on s’assure ici que son nom résonne pourtant bel et bien dans les travées du temple de la Ligue.
Palmarès :
- 3 x All Star NBA Bucks 1998, 1999 / Celtics 2000
- 2 x Finale Conférence Bucks 1998 / Sonics 2005*
- 1 x All League Second Team Bucks 1999
- 1 x Finale NBA Sonics 2003
* blessé

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9th place :
GARY PAYTON (33.5 min / 16 points / 3.8 rebonds / 5.6 passes / 2 steals)
Attention on commence a rentrer dans des considérations difficiles. Si Billups est un très bon joueur qui est allé jusqu’en finale NBA, Payton semble cultiver l’opposé : un monstre individuel collectionnant les récompenses personnelles mais qui a historiquement bloqué durant les Play Offs. Ses meilleures années ? De 1996 à 2000 où il collectionne les trophés entre sélections all stars et nomination dans diverses all teams. Si son niveau ne souffre d’aucune contestation, posant une vingtaine de points et 5.5 passes de moyenne, accompagnés d’une défense étouffante, les Sonics (Ses sonics !) peinent à percer le plafond en Play Offs. En 1996, une première sortie difficile au premier round face à Dallas avant de lutter héroiquement face à des Lakers déjà très impressionants. Et ensuite c’est déception après déception avec 3 sorties au premier tour sur les années suivantes. Malgré les courtisans et les belles offres, il restera fidèle à sa franchise. Soutenu pleinement par son GM de l'époque qui le payera en conséquence, il est indiscutablement le visage de la franchise jusqu'à son départ. Aucune des saisons suivantes, que ce soit avec le Jazz ou avec les Celtics ne lui permettront de voir meilleure perspective de titre ensuite. Depuis son départ, les Sonics ont retrouvé un nouvel élan portés par un prodige du nom de Lebron James qui a mené son équipe jusqu'en finale NBA. Mieux entouré, ou en étant plus décisif dans les moments les plus critiques, surement que "The Glove" aurait pu se montrer plus en post-season. C’est pour cela qu’on ne peut le voir plus haut.
Palmarès :
- 3 x All Star Sonics 1996, 1997, 1999
- 2 x All Defensive Second Team Sonics 1997, 1999
- 1 x All League First Team Sonics 1997
- 1 x All League Third Team Sonics 1999

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ALL TEAMS OF THE DECADE

1st: ? - ? - ? - ? - ?
2nd: ? - ? - ? - ? - ?
3rd: ? - ? - ? - ? - ?
4th: ? - ? - ? - ? - ?
5th: ? - ? - ? - ? - ?
6th: ? - ? - ? - ? - ?
7th: ? - ? - ? - ? - ?
8th: ? - ? - ? - ? - ?
9th: Gary Payton - ? - ? - ? - ?
10th: Sam Cassel - ? - ? - ? - ?
11th: Chauncey Billups - ? - ? - ? - ?
12th: Jamaal Tinsley - ? - ? - ? - ?
13th: Andre Miller - ? - ? - ? - ?
14th: Steve Francis - ? - ? - ? - ?
15th: Rod Strickland - ? - ? - ? - ?
16th: Tim Hardaway - ? - ? - ? - ?

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Last edited by Un détroit soleil on 22 June 2020, 15:36, edited 11 times in total.

SylvesterTemple

Bucks
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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by SylvesterTemple » 18 June 2020, 15:57

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CARREER HIGH : 49pts pour Kyle Korver !

Malgré un stade plus qu'à moitié vide (30,5% d'affluence), la rencontre entre Nets et Bucks aura créé l'émoi dans le Wisconsin avec un peak d'audience télévisuelle sans précédents cette saison dans tout l'état !

Le responsable ? Un Kyle Korver sensationnel : 49pts en 39min. On fire derrière l'arc avec ses 11 réussites en 16 tentatives (69%), Korver aura marqué de son sceau cette rencontre du 31 Mars 2007 qui l'aura vu exploser son record en carrière aux points marqués. Parmi ces 49pts, seulement 2 lancers francs rentrés (sur 3 tentatives), exceptionnel ! Au global, cela nous amène à une excellente réussite de 18/29 aux tirs (62%).

Ceci en étant défendu par l'un des meilleurs défenseurs de la ligue, l'ancien Buck, All-Defensive First Team l'an passé et nommé All-Star pour la première fois de sa carrière cette saison, Metta World Peace. C'est dire le caractère exceptionnel de cette performance !

En prime, pas un seul ballon perdu, 3 rebonds, et 4 passes décisives.

Après la rencontre, adversaires et coéquipiers n'avaient que des compliments à la bouche.
Jarrett Jack wrote:Tout ce que j'avais à faire, c'était de donner le ballon à Kyle dès que je le voyais. C'était aussi simple que ça !
Keith Bogans wrote:Depuis son arrivée, je passe encore plus de temps au gymnase. Après chaque entrainement, chaque match, on fait des séances de un-contre-un derrière l'arc. Comme vous vous en doutez, je ne gagne que peu souvent !
Glenn Robinson wrote:Étrangement, il me rappelle quelqu'un. Vous savez, un petit gars drafté chez nous en 96 et qui s'est rasé le crâne récemment. Le numéro 34 je crois. SylvesterTemple nous avait prévenu que c'était son digne successeur, il n'a pas menti ! Il nous tarde d'être à l'année prochaine avec un top rookie pour jouer les FP et faciliter la vie de tout le monde !
Metta World Peace wrote:Mec, c'était Ray Allen déguisé en Kyle Korver !
J.R. Smith wrote:C'est comme ça que je veux être plus tard !
Et lui-même se disait béni des Dieux du basket d'avoir eu l'occasion de vivre une telle frénésie.
Kyle Korver wrote:Wow... Je ne sais pas quoi dire messieurs. J'ai vécu une soirée exceptionnelle. J'avais l'impression que je pouvais de n'importe où et que ça rentrerait. Mon chef m'avait fait un nouveau plat à midi, une sorte de Poutine saine. Je pense que je vais en manger plus souvent désormais !

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Giannis Antetokounmpo : "My goal is to win in Milwaukee, bring a Championship to the city... I would never leave for LA." (02/07/2018)

Daiv

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by Daiv » 18 June 2020, 18:17

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Bon, comme le montre la photo ci-dessous, il n'est plus tout à fait aussi fringuant que lors de ses grandes années floridiennes, mais quel plaisir de revoir Penny Hardaway sous les couleurs du Magic, après une aventure californienne qui ne restera pas dans les annales. Passée la première quinzaine de remise en forme où il a très peu foulé le parquet, il semble que le coach compte sur lui dans la rotation, au poste d'aillier back up principalement, même s'il peut toujours apporter sur les postes extérieurs.

Daiv semble toutefois ravi d'avoir pu faire revenir le chouchou de l'Amway Arena : "C'est vraiment parfait d'avoir pu le récupérer, son expérience ne sera pas de trop dans le run qui nous attend pour accrocher les playoffs. Puis nous discuterons cet été. Il a encore 3 bonnes années à donner, je pense que nous devrions trouver un accord qui lui permette de finir sa carrière au club."

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FFL, forum francophone spécialisé dans les Fantasy Leagues (NBA, NFL, NHL,...)
24" Basket League : ORLANDO MAGIC, "what if" Penny Hardaway

Alexis

Franchise Player
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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by Alexis » 19 June 2020, 12:17

Leaders de la NBA 2006-07 : dénouement ce soir


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Si plusieurs récompenses viendront en différé avec la cérémonie organisée par Chèque Vacances (MVP, DPOY, all teams entre autres), dès ce soir nous aurons déjà plusieurs joueurs et franchises qui ajouteront une ligne à leurs palmarès : quel joueur ajoutera le titre de meilleur passeur à son CV ? Quelle franchise glanera son premier titre de division ? Petit tour d'horizon sur différentes batailles qui trouveront leur issue ce soir en NBA.

Meilleur scoreur : Elton Brand
Elton Brand, avec 4 points d'avance sur son dauphin Vince Carter, vivra des soirées tranquilles pour mettre la main sur son tout 1er trophée de meilleur scoreur de la saison. Bravo à lui ! En revanche, il risque fort de se concentrer sur autre chose que le scoring pour ses derniers matchs...

Meilleur passeur : ??
7ème trophée consécutif pour l'inoxydable Steve Nash ? Avec 8,3 assists par game, il possède 0,7/g offrandes d'avance sur son unique et surprenant concurrent T.J Ford, qui va devoir sortir des passes dans tous les sens pour espérer aller décrocher son 1er trophée de meilleur passeur. Son coach lui donnera-t-il un temps de jeu conséquent pour lui permettre de réussir ce qui serait le plus bel exploit individuel de sa carrière ?

Meilleur rebondeur : ??
Avec 11,4rebonds et 0,5rebonds d'avance sur son dauphin Tyson Chandler (déjà meilleur rebondeur en 04-05), Elton Brand est dans une position idéale pour décrocher là aussi ce qui serait son premier titre de meilleur rebondeur NBA et réaliser un énorme doublé, en à peine 32 min de temps de jeu.

Meilleur contreur : ??
Et l'enjeu ne s'arrête pas là pour Elton Brand... Déjà triple meilleur contreur en titre (2004-2006), il est placé pour réaliser un triplé scoreur-rebondeur-contreur qui placerait probablement sa saison comme la performance individuelle la plus impressionnante de l'histoire de la ligue. Il va devoir dans ce secteur ne pas chômer car il est à égalité à 3.3blk avec celui qu'il pourrait rejoindre à 4* meilleur contreur de la ligue (97, 00, 01 et 03) : l'inénarrable Marcus Camby.
Ce duo de superstars traîne 0.2blk par match derrière Jérôme James à 3.5blk, qui s'il tient la cadence attrapera ce titre honorifique pour la première (et dernière à presque 32ans?) fois de sa carrière !

Meilleur voleur (de ballons) : ??
Ici, une bataille fait rage entre au minimum 5 joueurs qui se tiennent entre 2 et 2.1 steals par game : Allen Iverson fait figure d'immense favori avec déjà 6 récompenses de meilleur voleur de la ligue à son actif (97, 98, 00, 01, 05, 06), une énorme longévité (1959 steals en carrière en SR !!) et une grande capacité à être clutch dans le stating. Mais attention, 4 joueurs sont sur le pont pour aller ajouter cette première récompense individuelle à leur palmarès : Trevor Ariza, Jason Williams, Jason Terry et le leader Andreï Kirilenko.

Champions de division : ?? ?? ?? ??
Ne pouvant consulter les archives, les saisons post-2003 étant non encore uploadées, nous attribuerons pour l'instant les titres de divisions aux GMs car seule cette information est accessible.
Ce titre officieux n'est encore officiellement (sic) entre les mains d'aucune franchise pour cette nouvelle campagne. 3 duels sont en cours, et un plan à 3.

A toute grandeur tout honneur, démarrons par les coquins de la division Atlantique : 2 victoires d'avance pour les Sixers sur les Knicks et 3 sur les surprenants Nets. Noiretblanc est donc en position idéale pour aller chercher son second titre de division, mais Hgiv13 (3 titres de division en poche) et Shootonyou (1 titre de division au palmarès) n'ont pas dit leur dernier mot. Nous avons affaire à trois habitués !

Premier duel, entre le leader de conférence Chicago et son dauphin Charlotte. Un duel en haute altitude et 3 petites victoires d'écart au bilan provisoire. 2words, qui comme son franchise player est concerné par cette dernière ligne droite, peut aller chercher non moins que son 6ème titre de division, avec pour seul adversaire le bleu-bite frédonaldo : une première bannière de division pour l'histoire des Hornets ?

Second duel, et là aussi 3 wins d'écart séparent les so sexy Spurs et les très moches Mavericks. 3ème titre de division pour la franchise d'Alexis, ou tout 1er du GM Pop ?

Dernier duel, là encore avec 3 victoires d'écart et là encore au-dessus des 50wins, entre les Supersonics et les Warriors. Malgré des longévités très différentes, Mike peut déjà ajouter un 2ème titre de division en 2 saisons à son palmarès individuel dès ce soir quand ce serait une toute première pour V@l pour sa 10ème année en NBA.



Enfin, et cela ne compte pas en négatif dans le palmarès, mais avec 3.5 Turnovers/match, Allen Iverson finit une fois de plus champion dans cette catégorie, haut la main :)))

Lumi

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by Lumi » 19 June 2020, 21:02

AUTOPRONO - RESULTATS
 
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https://sites.google.com/view/auto-prono-24-sec/accueil

Classement mois
3pts : Milwaukee, Denver, Houston, Sacramento
1pt : Dallas, Los Angeles, Phoenix, Utah

Classement final
1er : Milwaukee (10pts)
2e : Phoenix (9pts)
3e : Denver (9pts)


Houston (8pts)
Indiana, Portland (7pts)
Detroit, Dallas, Sacramento (6pts)
Charlotte, New Jersey, Toronto, New Orleans, San Antonio, Utah (4pts)
Los Angeles (3pts)
Philadelphia (1pt)



Denver et Phoenix ont donc fini à égalité. Ils ont participé autant de fois chacun, réalisé autant de fois un pronostic parfait. Après tirage au sort, c'est donc Phoenix qui remporte la deuxième place !

Félicitations à Sylvester_Temple, jujug, et Lumi (je m'auto-félicite, et ouais), qui reçoivent respectivement un boost de 60pts, 45pts, et 30pts, pour leur second tour ! @-)

Cette saison, vous avez été 19 (+1) à participé au moins une fois, et 10 (+1) à avoir participé tout les mois ! Merci à tous et à la saison prochaine ! 8-}
 
Règles
Rappel de la règle : parier sur le nombre de victoires de son équipe seulement sur le mois à venir : 3points si vous tombez juste, 1point si vous êtes à 1win près, 0 si vous êtes plus loin.
L'enjeu : Un boost de 60points à donner à votre second tour de l'année si vous finissez 1er. 45pts si vous finissez 2nd, 30pts si vous finissez 3e.

Pour départager les participants:
1 - plus grand nombre de points cumulés
2 - plus grand nombre de participation
3 - plus grand nombre de pronos "tout pile"
4 - tirage au sort

Comment pronostiquer : Il vous suffit de vous rendre sur le site, onglet "Votes", ou de cliquer sur le lien que je fournirai dans la publi mensuelle, de faire défiler et d'aller pronostiquer le nombre de victoires de VOTRE équipe pour le mois en question, puis de cliquer sur envoyer au bas du formulaire. Pas de panique si le formulaire disparaît lorsque vous cliquez sur envoyer. Il suffit de scroller en haut de la page pour voir que votre vote a bien été pris en compte.

Tout vote reçu après la deadline, même d'une minute, sera effacé et donc considéré comme nul.
NB : le re-vote est accepté tant que la deadline est respectée (je garderai le vote le plus récent). Si par erreur vous vous êtes trompé de franchise ou pour tout problème/suggestions en lien avec ce jeu, contactez moi par MP ici ou sur discord (j'y suis beaucoup plus réactif).

Alexis

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by Alexis » 19 June 2020, 22:09

Alexis wrote:
19 June 2020, 12:17
Leaders de la NBA 2006-07 : dénouement ce soir


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Si plusieurs récompenses viendront en différé avec la cérémonie organisée par Chèque Vacances (MVP, DPOY, all teams entre autres), dès ce soir nous aurons déjà plusieurs joueurs et franchises qui ajouteront une ligne à leurs palmarès : quel joueur ajoutera le titre de meilleur passeur à son CV ? Quelle franchise glanera son premier titre de division ? Petit tour d'horizon sur différentes batailles qui trouveront leur issue ce soir en NBA.

Meilleur scoreur : Elton Brand
Elton Brand, avec 4 points d'avance sur son dauphin Vince Carter, vivra des soirées tranquilles pour mettre la main sur son tout 1er trophée de meilleur scoreur de la saison. Bravo à lui ! En revanche, il risque fort de se concentrer sur autre chose que le scoring pour ses derniers matchs...

Meilleur passeur : ??
7ème trophée consécutif pour l'inoxydable Steve Nash ? Avec 8,3 assists par game, il possède 0,7/g offrandes d'avance sur son unique et surprenant concurrent T.J Ford, qui va devoir sortir des passes dans tous les sens pour espérer aller décrocher son 1er trophée de meilleur passeur. Son coach lui donnera-t-il un temps de jeu conséquent pour lui permettre de réussir ce qui serait le plus bel exploit individuel de sa carrière ?

Meilleur rebondeur : ??
Avec 11,4rebonds et 0,5rebonds d'avance sur son dauphin Tyson Chandler (déjà meilleur rebondeur en 04-05), Elton Brand est dans une position idéale pour décrocher là aussi ce qui serait son premier titre de meilleur rebondeur NBA et réaliser un énorme doublé, en à peine 32 min de temps de jeu.

Meilleur contreur : ??
Et l'enjeu ne s'arrête pas là pour Elton Brand... Déjà triple meilleur contreur en titre (2004-2006), il est placé pour réaliser un triplé scoreur-rebondeur-contreur qui placerait probablement sa saison comme la performance individuelle la plus impressionnante de l'histoire de la ligue. Il va devoir dans ce secteur ne pas chômer car il est à égalité à 3.3blk avec celui qu'il pourrait rejoindre à 4* meilleur contreur de la ligue (97, 00, 01 et 03) : l'inénarrable Marcus Camby.
Ce duo de superstars traîne 0.2blk par match derrière Jérôme James à 3.5blk, qui s'il tient la cadence attrapera ce titre honorifique pour la première (et dernière à presque 32ans?) fois de sa carrière !

Meilleur voleur (de ballons) : ??
Ici, une bataille fait rage entre au minimum 5 joueurs qui se tiennent entre 2 et 2.1 steals par game : Allen Iverson fait figure d'immense favori avec déjà 6 récompenses de meilleur voleur de la ligue à son actif (97, 98, 00, 01, 05, 06), une énorme longévité (1959 steals en carrière en SR !!) et une grande capacité à être clutch dans le stating. Mais attention, 4 joueurs sont sur le pont pour aller ajouter cette première récompense individuelle à leur palmarès : Trevor Ariza, Jason Williams, Jason Terry et le leader Andreï Kirilenko.

Champions de division : ?? ?? ?? ??
Ne pouvant consulter les archives, les saisons post-2003 étant non encore uploadées, nous attribuerons pour l'instant les titres de divisions aux GMs car seule cette information est accessible.
Ce titre officieux n'est encore officiellement (sic) entre les mains d'aucune franchise pour cette nouvelle campagne. 3 duels sont en cours, et un plan à 3.

A toute grandeur tout honneur, démarrons par les coquins de la division Atlantique : 2 victoires d'avance pour les Sixers sur les Knicks et 3 sur les surprenants Nets. Noiretblanc est donc en position idéale pour aller chercher son second titre de division, mais Hgiv13 (3 titres de division en poche) et Shootonyou (1 titre de division au palmarès) n'ont pas dit leur dernier mot. Nous avons affaire à trois habitués !

Premier duel, entre le leader de conférence Chicago et son dauphin Charlotte. Un duel en haute altitude et 3 petites victoires d'écart au bilan provisoire. 2words, qui comme son franchise player est concerné par cette dernière ligne droite, peut aller chercher non moins que son 6ème titre de division, avec pour seul adversaire le bleu-bite frédonaldo : une première bannière de division pour l'histoire des Hornets ?

Second duel, et là aussi 3 wins d'écart séparent les so sexy Spurs et les très moches Mavericks. 3ème titre de division pour la franchise d'Alexis, ou tout 1er du GM Pop ?

Dernier duel, là encore avec 3 victoires d'écart et là encore au-dessus des 50wins, entre les Supersonics et les Warriors. Malgré des longévités très différentes, Mike peut déjà ajouter un 2ème titre de division en 2 saisons à son palmarès individuel dès ce soir quand ce serait une toute première pour V@l pour sa 10ème année en NBA.



Enfin, et cela ne compte pas en négatif dans le palmarès, mais avec 3.5 Turnovers/match, Allen Iverson finit une fois de plus champion dans cette catégorie, haut la main :)))
Une très courte dépêche pour mettre en forme le dénouement !

Meilleur scoreur : Elton Brand
Il a même accru son avance sur son dauphin, Vince Carter. Premier titre de meilleur scoreur NBA !

Meilleur passeur : Steve Nash
7ème trophée consécutif de meilleur passeur pour Nash, c'est plus qu'exceptionnel. Il a pourtant réduit tout seul l'écart avec TJ Ford, son poursuivant au classement, mais ce dernier n'en a pas profité et a même diminué sa moyenne pour échouer à 3 dixièmes du meneur canadien. La faute du coach qui l'aurait préservé ? Nous en saurons plus lors de la prochaine Free Agency très probablement, avec le choix du meneur pour son avenir.

Meilleur rebondeur : Elton Brand
Et c'est le doublé pour Brand, tout autant que son 1er titre de meilleur rebondeur NBA ! Il aura même augmenté d'un dixième son avance sur Tyson Chandler sur cette dernière quinzaine.

Meilleur contreur : Jérome James
Il n'aura pas voulu rater l'occasion pour possiblement sa dernière chance de récupérer une récompense honorifique individuelle, avec une dernière quinzaine stratosphérique (6 matchs sur 9 à 5blks & +, dont 8 contres contre Miami) et 3.7blk de moyenne sur la saison.

Meilleur voleur (de ballons) : Andreï Kirilenko
1ère récompense dans ce secteur pour le meilleur Russe de NBA, trophée stolen à Trevor Ariza pour un cheveu, ou plutôt un ballon. Le spécialiste Allen Iverson échoue à un dixième d'un 7ème trophée à 2stl/game.

Champions de division : Sixers Bulls Spurs Sonics
pour respectivement leurs 2nd, 6e, 3e & 2nd titres de division.

Maintenant, place aux awards des Chèques Vacances pour les trophées honorifiques les plus importants, et surtout : place aux Playoffs !!!!

V@l

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by V@l » 19 June 2020, 22:33

DPOY : Kiri le doublé !


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2e DPOY de suite pour le russe de Golden State ! Et avec ca, elu meilleur intercepteur de la ligue ! Felicitations Andrei !

Un détroit soleil

Pistons
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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by Un détroit soleil » 20 June 2020, 18:40

CLASSEMENT ALL TIME, 10 ANS DE SIMU 24s, POUR LA POSTERITE (2/10)


Historique on vous dit !!! 10 ans de simu déjà, 10 années qui ont vu le Jazz, les Lakers, le Heat, les Nuggets, les Knicks et les Spurs remporter un titre (ou plusieurs). 10 années qui ont également vu de superbes équipes marquer la ligue, des coaches affirmer leur style et des GM soutenir leur vision à court, moyen ou long terme. Certains ont été débarqués, d’autres ont pris une retraite (parfois temporaire) bien méritée tandis que certains continuent de jouir d’une confiance absolue malgré des échecs retentissants et aucun titre (la majorité en fin de compte)
Mais finalement, on ne parle jamais plus que de ce qui fait l’essentiel de cette ligue: les joueurs !!
Le basketball en impose 5 sur le parquet par équipe, 5 avec des caractéristiques techniques bien précises et des responsabilités définies. Comment les classer, leur rendre hommage et justice ? Comment définir la position du rôle player multiple champion face à celui qui collectionne les récompenses individuelles et qui aura marché sur ses adversaires sans pour autant obtenir le titre suprême ? *
C’est la tache extrêmement difficile que nous nous avons accepté de réaliser, non sans crainte, mais également avec beaucoup d’excitation et de passion.
Si votre joueur n’est pas à la place qu’il mérite selon vous, tant mieux, cela donnera lieu à des débats (et non ébats !!). Soyez certains en tout cas que nous avons tout fait pour n’oublier personne, que chacun puisse être cité, que chaque équipe marquante soit alors référencée dans cet article. Car les joueurs représentent la Ligue oui, mais ils représentent surtout leur équipe, leur franchise et leurs fans.
Pour les 10 ans, c’est donc … et non pas 10, pas 12 mais 16 équipes all-time. Ne nous demandez pas le rapport il n’y en a aucun si ce n’est la passion qui nous fait vibrer. Oui on est comme ca nous, on est fou. On est fou de NBA. On est fou de vous tout simplement.
16 équipes pour 10 articles, 2 articles pour chaque poste, publication après publication. 10 articles pour les 10 ans.
Aujourd’hui les meneurs à l’honneur, 2e partie !!

* Les stats sont arrêtées à la date du 20/04/2007, juste avant le début des PO



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8e place:
JOHN STOCKTON (30.6 min / 12.5 points / 2.7 rebonds / 9.9 passes / 2.1 steals)
Attention légende !! Le meilleur passeur de l’histoire sans aucune contestation possible, un joueur qui aura lutté 12 ans avant de finalement toucher le titre suprême avec sa franchise de toujours. Et quoi de mieux que de remporter le titre de MVP des finales pour boucler la boucle ?
Il aurait pu partir sur cet exploit, mais Johnny a choisi de faire prolonger le plaisir. Deux saisons à Charlotte ensuite puis une dernière aux Pistons. De quoi faire quelques apparitions supplémentaires en Play Offs, continuer à distribuer des caviars, jouer à Arsène Lupin en défense et apprendre le métier à tous les jeunes meneurs de l’époque. Une véritable référence à son poste. Pour autant, si 1996 marque le firmament de sa carrière d’un point de vue collectif, elle est aussi synonyme de véritable chute statistique pour Stockton. 5 saisons pour deux élections supplémentaires au All Star Game, un titre de meilleur passeur en 1997 malgré sa « faible moyenne » à l’échelle de Stockton (7.5 passes) et un titre de meilleur passeur de l’histoire qu’il détient et pour un bon moment. Disons pour l’éternité en attendant de devoir nous corriger … Ou pas !!
Palmarès :
- 1 x Titre champion Jazz 1996
- 1 x Playoff MVP Finales Jazz 1996
- 2 x All Star Jazz 1996, 1997
- 1 x Meilleur passeur de la ligue Jazz 1997

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7e place :
TERRELL BRANDON (27.1 min / 11.5 points / 2.8 rebonds / 5 passes / 1.6 steals)
Hello ici gagnant !! Comment mieux définir Terrell Brandon que de commencer par parler de ses 3 titres remportés avec les Lakers. Oui oui avec les Lakers on sait, armada all time impossible à jouer, que même ta grand mère aurait été champion on sait bien. Pourtant Terrell Brandon a véritablement compté dans cette équipe et a maintenu sa présence année après année aux cotés des Carter, Marshall et O Neal. Si Kobe Bryant a du partir c’est aussi parce qu’il ne trouvait pas sa place chez les Angelinos et Brandon a très bien su cibler son poste et son rôle ce qui n’est finalement pas donné à tout le monde. Vous doutez encore de sa légitimité ? Ajoutez donc 2 sélections au All Star Game, une finale NBA (avec ces mêmes Lakers) ainsi qu’une autre finale de Conférence avec les Cavaliers. Depuis 1996 c’est participation après participation en Play offs, plus de 100 matchs en post-season, pour la grande majorité remportés, et des titres glanés à la barbe d’autres meneurs surement plus forts que lui. Mais le talent n’est pas seulement affaire de points, statistiques et capacités athlétiques. C’est aussi de savoir être au bon moment, au bon endroit et pouvoir rentabiliser cette position. Sans aucun doute le meneur le plus « successful » de notre époque.
Palmarès :
- 2 x All Star Lakers 1996, 1998
- 3 x Titre Champion Lakers 1997, 1999, 2000
- 1 x Finale NBA Lakers 1998
- 1 x Finale Conférence Cavaliers 2003

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6e place :
DAMON STOUDAMIRE (33.6 minutes / 16.5 points / 3.7 rebonds / 7.1 passes / 1.3 steals)
Effectivement Damon Stoudamire n’a pas le succès collectif de nombreux joueurs précédemment cité et rassurez vous ils seront plusieurs à être dans ce cas plus haut dans le classement. Cependant, la différence de niveau est telle qu’il est impossible de ne pas leur rendre justice en les plaçant dans les hauteurs du ranking. Car oui au dessus ils le sont indiscutablement, à commencer par « Mighty Mouse ». Meneur à succès de Raptors ayant soufflés le chaud et le froid en post-season, il a cumulé points, passes, influence dans le jeu et les nominations au ASG au point d’être aujourd’hui adulé dans tout le Canada. Peu de joueurs peuvent le remplacer dans le cœur des fans de Toronto si ce n’est éventuellement son partenaire de raquette Marcus Camby. Un exemple afin de montrer que oui il est possible de réussir dans le basket en faisant ma taille. Depuis son départ du Canada, il enchaine les missions « d’encadrement », d’abord chez les Kings puis chez les Pelicans pour donner un peu de métier à Tony Parker, toujours dans des équipes compétitives. Cette année au Jazz, c’est la première fois qu’il se trouve dans un rôle de meneur en sortie de banc, à 34 ans excusez du peu. Un modèle de durabilité, constance et de professionnalisme, sachant que depuis 1996, on l’a toujours vu présent en Play Offs malgré les changements de joueurs comme d’équipes. Un joueur qui se sublime d’ailleurs avec la hausse de compétition puisqu’il émarge à 18 points et 7 passes en carrière, et des pointes 28 points ou 9 passes sur certaines campagnes. Le meilleur « petit » joueur de l’histoire (moins de 6 ft) ? On voit mal qui pourrait lui prendre ce titre honorifique.
Palmarès :
- 6 x All Star Raptors 1996, 1998, 1999, 2000, 2002 / Kings 2003
- 1 x Finale NBA 1997 Raptors 1997
- 1 x Finale Conférence Raptors1998
- 1 x All League Third Team Raptors 2002


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5e place :
JASON TERRY (32.3 min / 18.1 points / 3.8 rebonds / 6.3 passes / 1.8 steals)
Jason Terry est un joueur que chaque franchise souhaiterait avoir sans aucun doute. Drafté par les Bulls et toujours dans sa franchise, le board sait bien la chance qu’il a d’avoir un tel talent d’autant plus qu’il fit merveilleusement bien dans le schéma tactique de son coach et GM. Drafté en 1999 avec son binôme Elton Brand, les deux se connaissent parfaitement bien et jouissent d’une relation sur le parquet qui n’a pas son égal dans la ligue. Un monstre à deux têtes terrifiant, tel Batman et Robin. Jason « Robin » Terry donc, qui prend le temps d’une année pour apprendre la NBA avant de tout exploser sur son passage. Performances en Play Offs, nomination aux differentes aux All NBA Teams de fin d’année, sélections au All Star Game (et on sera honnête, il ne loupe les deux précédentes sélections que pour raison de blessures)… Il enchaine et porte les Bulls avec son compère, et présente aujourd’hui l’un des profils les plus excitants de la ligue. Shooteur hors pair, distribution de haut niveau qu’il a su parfaire pendant toutes ces années, très fort défenseur que la tactique offensive des Bulls empêche d’être véritablement reconnu à juste titre, il n’a pas de défaut. Ou presque si ce n’est ce plafond sur lequel il semble butter avec ses Bulls. 7 participations en Play Offs, 3 finales de Conférence … Dur ! Cette année pourrait être la bonne tant Chicago domine à l’Est autour de son trio qui semble à maturation autour de son pivot (déjà) MVP et de son lieutenant à l’arrière. Espérons que le Jet ne se crashe pas cette fois ci et puisse voler au dessus des nuages. Ce n’est pas comme si les fans n’avaient pas un certain Michael (triple champion pour vous donner un indice) encore à l’esprit…
Palmarès :
- 5 x All Star Bulls 2000, 2001, 2002, 2003, 2004
- 3 x Finale de Conférence Bulls 2001, 2002, 2005
- 2 x All League Third Team Bulls 2001, 2006
- 2 x All League Second Team Bulls 2002, 2003


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4e place :
STEVE NASH (35.2 min / 15.4 points / 3.9 rebonds / 8.1 passes / 1 steal)
Passe, assist, asistencia, assistència, アシスト, 助攻, Umpan matang, Передача… Vous pouvez l ‘énoncer dans la langue de votre choix, jamais personne ne comprendra mieux que Steve Nash ce que veux dire ce geste. Ca fait maintenant 6 ans de suite qu’il est chef traducteur de la ligue et demeure en passe (héhé) de briguer un 7e mandat consécutif. Depuis 1996, il est à plus de 8 passes décisives de moyenne, et aucun joueur ne s’en approche même de loin. Mais Nash n’est pas que un monstre de la passe, il est aussi un joueur extrêmement juste dans les autres compartiments de l’attaque. Son shoot est d’une très belle justesse, capable dans ses meilleures années d’être au dessus des 45% de moyenne de 1999 à 2003. Au Lancer franc, il n’a pas son pareil dans la ligue, plus de 90% en carrière. A 3 points il est loin de plaisanter, régulièrement au dessus des 40%. Au niveau de la gestion il est également passé ceinture noire 5e dan (au moins) avec un A/T absolument dingue de 3.59 en carrière dont un record à 4.41 en 2000. Nash c’est aussi une franchise, celle des Suns avec laquelle il a connu les PO chaque année, avec laquelle il a du subir la domination outrageuse des Lakers aussi. C’est une histoire d’espoir déchu avec son excellent partenaire Antoine Walker, parti chaque année pour rayonner dans l’Arizona avant de se faire éteindre, régulièrement au premier tour, dès qu’on entrait en post season. Nash c’est également un péché mignon, une défense légère et une tendance à souffrir dès que le niveau s’élève en Play Off notamment. Si il continue de distribuer des caviars du coté de l’Ohio depuis maintenant 3 ans, le niveau de compétition est très loin dorénavant. Certes on pourra notifier le nombre de récompenses individuelles et une belle finale de conférence en 1998 mais Steve Nash reste un scientifique de la passe mais pour le moment sans prix Nobel, un prince talentueux à qui on aura jamais donné la couronne. Mais il a déjà la clé… le pass (héhé) dirons nous, pour le Panthéon de la ligue.
Palmarès:
- 7 x All Star Suns 1997, 2000, 2001, 2002, 2003, 2005, 2006
- 2 x All League Second Team Suns 1997, 2001
- 4 x All League Third Team Suns 1998, 2000, 2002, 2003
- 1 x Finale Conférence Suns 1998
- 7 x Meilleur passeur de la ligue Suns 2000, 2001, 2002, 2003, 2004, 2005


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3e place :
ANFERNEE HARDAWAY (32.1 min / 17.5 points / 4.4 rebonds / 4.7 passes / 1.8 steals)
Vous avez déjà joué aux jeux vidéo ? Vous voyez le joueur créé de toutes pièces quand on commence sa carrière ? En fait, il existe déjà. 2m01 déjà (6.7) pour toiser tous les autres meneurs adverses, ensuite vous lui donner un shoot, de quoi être chaque année au dessus des 45% jusqu’à ses 30 ans au moins, gestion de la balle, mooves, et jeu de passe au dessus de la moyenne, un physique pour tenir en respect les arrières comme les ailiers et prendre du rebond (plus de 5 par match dans ses meilleures saisons), une défense absolument terrifiante et plus de puissance que n’importe quel arrière. Voilà voilà vous pouvez éteindre la console. Sauf que non pas vraiment, car « Penny » n’aura jamais gagné ce titre ultime. 1997 reste sa meilleure saison collective ou fort d’une 4e place de conférence, il Orlando balaye d’abord New York puis le leader de conférence Philadelphie avant de tomber en 7 matchs face au Toronto de Stoudamire. Rebelote en 2004 dans un rôle de première option en sortie de banc, lui et sa jeune équipe mené par la bête Amare Stoudemire, il atteint de nouveau la finale de conférence et tombe face au futur champion que sont les Knicks. 12 ans d’essai au Magic donc, où il aura développé une relation père-fils avec Daiv avant de finalement être libéré aux Kings pour continuer à avoir du temps de jeu, la passion étant plus forte que tout. Finalement son retour à Orlando n’est que logique, et à 35 ans passés et ses meilleures années derrière lui, il aura bien du mal à réellement peser dans le système de la franchise floridienne, actuellement à la lutte pour une qualification en PO. Mais qu’importe, la trace qu’il laisse sur la ligue demeure bel et bien, quand on constate qu’il compile un nombre de nomination aux titres individuels absolument démentiel et ce, dans tous les compartiments du jeu, aucun joueur ne présente autant de polyvalence. Encore qu’un certain Lebron…
Palmarès :
- 6 x All Star Magic 1996, 1997, 1998, 1999, 2001, 2002
- 2 x All League Second Team Magic 1996, 2001
- 2 x All League First Team Magic 1997, 1998
- 5 x All Defensive First Team Magic 1997, 1998, 2000, 2001, 2002
- 2 x Finale de Conférence Magic 1997, 2004

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2e place :
ALLEN IVERSON (34.3 min / 21.4 points / 3.6 rebonds / 5.6 passes / 2.2 steals)
Coupons court à toute polémique inutile. Oui Iverson est considéré comme meneur puisque c’est son poste régulier depuis la saison 1999. Certes il reste un meneur avec le jeu d’un arrière, en témoigne sa propension au scoring et ses pertes de balles et oui, Iverson a gagné si peu qu’il en rendrait jaloux le GM des Bucks. Cependant aucun joueur n’a son pareil en termes de domination individuelle et de main mise sur les trophées. On vous laisse regarder son palmarès un peu plus bas. Oui oui allez y ! C’est bon ??? Vous n’avez pas trop louché, tout va bien ? On reprend. Iverson est drafté en 1996 par les Sixers. 11 saisons donc et 11 sélections au ASG (avec celle de cette année). C’est bien simple aucun joueur ne cumule autant de sélections et encore moins à 100%. C’est aussi des nominations en pagaille dans les All Teams de fin d’année, des récompenses pour son activité défensive malgré sa petite taille. Allen Iverson croque certes mais pèse assurément dans le jeu. Iverson Iverson n’a rien d’un monstre défensif certes mais n’a pas d’égal quant à sa capacité à lire le jeu et intercepter les ballons adverses (6 fois meilleur intercepteur de la ligue). Son année rookie ? All Star, 1st Rookie team, All League 1st team et All Defensive second team. Hello bonjour !! Véritable Iron man avec seulement 11 matchs manqués en saison régulière depuis sa draft, il cumule également 64 matchs de Play Offs en 9 participations sur 10 possibles à la post season. Au niveau collectif c’est bien moins reluisant puisque « the Answer » n’a jamais fait mieux qu’une seule finale de conférence en tant d’années. Régulièrement en Play Offs, ce n’est pas pour autant qu’il s’y impose, que ce soit avec les Sixers, les Knicks, les Spurs ou les Raptors. Sa finale de conférence ressemble qui plus est davantage à une étape transitoire dans le processus de conquête des Spurs qu’à un véritable projet gagnant. Un désaveu complet pour un joueur de ce talent. Certains parleront bien du casting autour de lui durant ces années, mais lui n’a jamais su porter son équipe malgré tout son talent. On pourrait bien également statuer que finalement il n’a pas moins de titre que ses principaux concurrents mais il s’agit aussi des histoires racontées, et le parcours de Bibby ou celui de Terry ressemble bien plus à des victoires que celui de Iverson lequel se rapproche clairement d’échecs retentissants. D’ailleurs c’est bien simple, il quitte les Knicks en 2000, la franchise est championne 3 ans plus tard. Il quitte les Spurs en 2002, la franchise est championne 3 ans plus tard. Comme quoi voilà un petit espoir auquel peut se rattacher le GM des Raptors. Pour autant, cela n’enlève rien à la domination sans pareille qu’il exerce depuis une décennie à son poste. Revenu aux Sixers après des années d’exploration, il est à 31 ans dans une étape décisive de sa carrière. Aux cotés de Bryant et Jefferson, il n’a jamais été si proche d’une position de favori pour le titre. De quoi apporter enfin la pierre finale à tout l’édifice de récompenses individuelles qu’il a cumulé au cours de sa carrière, de quoi apporter enfin... La réponse !!
Palmarès :
- 11 x All Star Sixers 1996, 1997, 1998, 1999, 2006 / Knicks 2000 / Spurs 2001, 2002 / Raptors 2003, 2004, 2005
- 2 x All League First Team Sixers 1996, 1999
- 2 x All League Defensive Second Team Sixers 1996 / Spurs 2001
- 2 x All League Second Team Sixers 1997 / Raptors 2005
- 8 x All League Defensive First Team Sixers 1997, 1999, 2006 / Knicks 2000 / Spurs 2002 / Raptors 2003, 2004, 2005
- 1 x All League Third Team Knicks 2000
- 1 x Finale de Conférence Spurs 2002

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1ere place :
MIKE BIBBY (34.9 min / 19.7 points / 3.8 rebonds / 7.1 passes / 1.6 steals)
Le meneur parfait surement. Dans les caractéristiques techniques il a tout. Le shoot, c’est coché, la gestion de balle c’est coché, la passe c’est coché, la défense c’est coché. Un véritable cerveau du jeu avec une technique irréprochable, et qui plus est sans grande capacité physique à l’instar de son prédécesseur au classement Steve Nash. Bibby c’est aussi une superbe histoire, celle vécue aux Wizards la franchise qui le drafte. Dès son année sophomore, il mène une splendide équipe, alors 7e seed jusqu’en finale NBA. Dans un jeu collectif ultra solide, ou le mouvement est de mise, que ce soit en attaque comme en défense, les Wizards écartent les franchises de l’Est une à une, leur laissant une seule victoire par série. En finale ils jouent des Lakers à leur apogée auteurs d’une saison historique à 70 victoires. Ce n’est plus une marche mais une montagne à franchir, et les Wizards s’inclinent en 6. Mais Bibby a gagné la reconnaissance de la Ligue. Il devient dès cet instant l’un des meneurs les plus cotés, mais aussi respecté. Il n’en arrête pas pour autant sa formidable progression, 12/5 puis 15/6 puis 26/9 … Une finale de conférence l’année suivante, mais tout va bien, il est sensé être ce meneur ultime qui amenera enfin une franchise au titre. Les Wizards donc ? Non, car en 2002, c’est la débandade à la Maison Blanche. La franchise explose en interne, les joueurs se fâchent avec la direction et partent à la FA, le GM démissionne. Bibby n’est pas épargné et ce sont les Warriors qui le font venir dans la Baie. Une franchise qui petit à petit a su monter une équipe compétitive, complète suivant donc le rythme de progression individuelle de ses joueurs. Bibby apparaît comme le vétéran de cette équipe de freaks à qui le titre semble promis. Le meneur a su s’adapter aux besoins de son équipe, sachant quand scorer, distribuer ou prendre le lead. Alors cette année, ou la prochaine, ou celle d’après peut être ? Dans la dernière année de son gros contrat, les Warriors devraient le prolonger au contrat max pour aller au bout de son projet. Les deux sont liés, et si le GM a montré qu’à toute bonne offre, personne n’était intransférable, l’actualité semble faire converger les objectifs du coté d’Oakland. Pour enfin prendre la main sur l’histoire !
Palmarès :
- 1 x Finale NBA Wizards 1999
- 1 x Finale Conférence Wizards 2000
- 6 x All Star Wizards 2001, 2002 / Warriors 2003, 2004, 2005, 2006
- 1 x MIP Wizards 2001
- 2 x All League First Team Wizards 2002, 2003
- 2 x All League Defensive Second Team Wizards 2002 / Warriors 2003
- 1 x All League Second Team Warriors 2004


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ALL TEAMS OF THE DECADE

1st: Mike Bibby - ? - ? - ? - ?
2nd: Allen Iverson - ? - ? - ? - ?
3rd: Anfernee Hardaway - ? - ? - ? - ?
4th: Steve Nash - ? - ? - ? - ?
5th: Jason Terry - ? - ? - ? - ?
6th: Damon Stoudamire - ? - ? - ? - ?
7th: Terrell Brandon - ? - ? - ? - ?
8th: John Stockton - ? - ? - ? - ?
9th: Gary Payton - ? - ? - ? - ?
10th: Sam Cassel - ? - ? - ? - ?
11th: Chauncey Billups - ? - ? - ? - ?
12th: Jamaal Tinsley - ? - ? - ? - ?
13th: Andre Miller - ? - ? - ? - ?
14th: Steve Francis - ? - ? - ? - ?
15th: Rod Strickland - ? - ? - ? - ?
16th: Tim Hardaway - ? - ? - ? - ?

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Frenoulin Cornufle

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by Frenoulin Cornufle » 21 June 2020, 15:48

FBI : Frenoulin Bureau of Investigation

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Détective Frenoulin Cornufle au rapport !

- Aux Wolves, on cherche toujours une option de S&T pour Chris Kaman. Jamaal Magloire, Tony Delk et évidemment Donyell Marshall sont tous sur le marché.

Lumi

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by Lumi » 21 June 2020, 17:14

24" AWARDS
Avec Chèque-Vacances

 
 
La saison régulière viens de se terminer. Il est donc grand temps de découvrir les lauréats des différents trophées ! Cette année, vous avez été 20 à voter, soit 4 de plus que la saison passée ! Merci à vous.
Pour les GMOY et COY, une nomination à la première place correspondait à 3pts, 2pts pour une seconde place, et 1pt pour une troisième place. Un vote a été considéré comme nul et n'a rapporté aucun points, une votant ayant decidé de se nommer lui même.
De la même façon, pour les All-Teams, une première place était synonyme de 2pts, et une seconde place rapportait 1pt.
 
Sans plus attendre voici les résultats :

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Détails des résultats :
GMOY
GMPremière placeDeuxième placeTroisième placeTotal
Fredonaldo44424
V@l41519
Rhea42218
MikeCorleone23113
Alexis22111
jujug2017
LA_Bonne0317
Noiretblanc1105
Shoot-on-you1105
2words0113
SylvesterTemple0102
Daiv0011
Kcnarf0011
marmite0011
Undetroitsoleil0011
COY
GMPremière placeDeuxième placeTroisième placeTotal
Shoot-on-you96140
2words53627
MikeCorleone44222
jujug1218
Fredonaldo1207
Daiv0033
Kcnarf0113
Sativa0113
V@l0033
Kekedeluxe0102
Gugur0011
POPJH130011
MVP
Elton Brand (20pts)
ROY
LaMarcus Aldridge (18pts)
Brandon Roy, Rudy Gay (1pt)
DPOY
Andreï Kirilenko (9pts)
Jerome James (5pts)
Marcus Camby, LeBron James (2pts)
Erick Dampier, Tyson Chandler (1pt)
6MOY
Ben Gordon (14pts)
Rashard Lewis (3pts)
Andres Nocioni, Shareef Abdul-Rahim (1pt)

All-Teams
PG
Jason Terry (24pts)
Mike Bibby (12pts)
Chris Paul (9pts)
Allen Iverson (5pts)
Luke Ridnour, Deron Williams, Chauncey Billups (2pts)
Steve Nash (1pt)

SG
Vince Carter (25pts)
Ray Allen (16pts)
Jamal Crawford (7pts)
Kobe Bryant (5pts)
Raja Bell (2pts)
Michael Redd, Manu Ginobili (1pt)

SF
LeBron James (24pts)
Andreï Kirilenko (15pts)
Josh Howard (5pts)
Vince Carter (4pts)
Michael Redd, Tim Thomas (2pts)
Shawn Marion, Joe Johnson, Metta World-Peace, Tracy McGrady, Richard Jefferson (1pt)

PF
Tim Duncan (31pts)
Dirk Nowitzki (20pts)
LeBron James (3pts)
LaMarcus Aldridge (2pts)
Al Harrington (1pt)

C
Elton Brand (38pts)
Amar'e Stoudemire (18pts)
Tyson Chandler (1pt)
Merci à tous d'avoir participé, et à l'année prochaine !

marmite

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by marmite » 21 June 2020, 18:29

NBA 24" Awards, from 2001 to...
GMOY :
06-07 : Fredonaldo. 2. Val. 3. Rhea
05-06 : Noiretblanc. 2. Pop. 3. Daiv
04-05 : Dumarsetçarepart. 2. Marmite. 3. V@l
03-04 : 2Words, Alexis, Hgiv, Maloj, SylvesterTemple, V@l
02-03 : Hgiv. 2. Alexis. 3. SylvesterTemple
01-02 : Shootonyou. 2. Xarphios. 3. Kekedeluxe

COY :
06-07 : Shoot-on-you. 2. 2words. 3. MikeCorleone
05-06 : Alexis. 2. Fredonaldo. 3. Daiv
04-05 : Marmite. 2. Undétroitsoleil. 3. Alexis
03-04 : Undétroitsoleil. 2. 2Words. 3. Galdosh / V@l / Hgiv
02-03 : Kekedeluxe. 2. Marmite. 3. Xarphios

MVP :
06-07 : Elton Brand. (unanime)
05-06 : Dirk Nowitzki. 2. Ray Allen / Kobe Bryant / Elton Brand
04-05 : Dirk Nowitzki. 2. Elton Brand. 3. Ray Allen / Pau Gasol / Vince Carter
03-04 : Elton Brand. 2. Dirk Nowitzki. 3. Mike Bibby / Ray Allen
02-03 : Ray Allen. 2. Mike Bibby / Tim Duncan

MIP :
03-04 : Dirk Nowitzki. 2. Joe Johnson / Elton Brand / Antawn Jamison
02-03 : Pau Gasol. 2. Jerome Williams. 3. Jamal Crawford / Dirk Nowitzki / Al Harrington / Michael Redd / Mike Bibby / Loren Woods

ROY :
06-07 : LaMarcus Aldridge. 2. Brandon Roy
05-06 : Chris Paul. 2. Jose Calderon
04-05 : Kevin Martin. 2. Dwight Howard / Ben Gordon
03-04 : Lebron James. 2. Dwyane Wade
02-03 : Amare Stoudemire. 2. Manu Ginobili

DPOY :
06-07 : Andreï Kirilenko. 2. Jerome James. 3. Marcus Camby / LeBron James
05-06 : Jerome James. 2. Andreï Kirilenko / Marcus Camby
04-05 : Marcus Camby. 2. Erick Dampier / Elton Brand
03-04 : Marcus Camby. 2. Tim Duncan / Elton Brand
02-03 : Marcus Camby. 2. Eddie Jones. 3. Ben Wallace / Tim Duncan / Erick Dampier / Jerome Williams

6MOY :
06-07 : Ben Gordon. 2. Rashard Lewis. 3. Andres Nocioni / Shareef Abdur-Rahim.
05-06 : Carlos Boozer. 2. Al Harrington. 3. Ben Gordon.
04-05 : Al Harrington. 2. Steve Francis / Kevin Martin
03-04 : Peja Stojakovic. 2. Steve Francis. 3. Jamal Crawford / Zydrunas Ilgauskas / Antawn Jamison
02-03 : Antonio Daniels. 2. Bryon Russel. 3. Stephon Marbury

ALL TEAMS:
FIRST :
06-07 : Terry - Carter - James - Duncan - Brand
05-06 : Iverson - Allen - Kirilenko - Nowitzki - Brand

SECOND :
06-07 : Bibby - Allen - Kirilenko - Nowitzki - Stoudemire
05-06 : Terry - Bryant - James - Duncan - Stoudemire

KJ7

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by KJ7 » 21 June 2020, 21:24

Toronto Raptors: Wells sur le départ

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Bonzi Wells a joué son dernier match sous les couleurs des Raptors la semaine dernière. La Franchise a entamé des négociations avec une franchise de la conférence Ouest, mais reste pleinement ouverte aux propositions des autres teams. Le soir de la draft, le joueur ne devrait plus être un Raptor.

Clap de fin pour les vétérans de Toronto

Cela avait débuté avec les départs d'Allen Iverson, Andre Miller, Jeff Foster durant la saison, et ça se prolongera avec celui de Bonzi Wells et possiblement celui de Steve Francis.

Le GM canadien compte commencer un nouveau cycle autour de Troy Murphy, Kirk Hinrich et Trevor Ariza, et visera la draft 2008 qui s'annonce très relevée avec les jeunes talents Derrick Rose, Russell Westbrook ou encore Kevin Love.

KJ7

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by KJ7 » 21 June 2020, 21:57

Scandale: la soirée choc où fut présent le GM des Raptors KJ7 et des Timberwolves Marmite

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Pour fêter la fin de saison, le jeune GM des Raptors a organisé une soirée dans sa villa en Californie, ce week-end, où plusieurs de ces amis ont été conviés dont M. Marmite ou encore Ronaldinho. Jusqu'ici rien d'anormal, notamment après une saison réussite à ce point du côté de Toronto.
Cependant une prostituée mexicaine nous a raconté l'envers du décor de cette soirée privée où l'alcool, la drogue et les prostituées étaient au menu.

Pour lire la suite, avoir accès aux photos de la soirée et la liste complète des célébrités invités, abonnez-vous :
9,99€ par mois ou un first pick à envoyer sur le discord des Raptors

Alexis

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by Alexis » 21 June 2020, 23:17

Objectif back-to-back dans le Texas !

Eh oui, nous pouvons encore le dire, nous sommes encore champions en titre à San Antonio. Les playoffs débutent, le parfum de la compétition arrive aux naseaux des survivants. Plusieurs questions sont posées à travers toute la ligue, des franchises aux parcours bien différents... et plusieurs réponses seront apportées une fois la post season terminée. Franchiront-t-ils leur plafond de verre ? Dépasseront-t-ils leurs propres limites ? Atteindront-ils leurs objectifs ?

Du côté de SA, le doublé est clairement dans le viseur. Pour cela, il faudra se défaire dans un premier temps de l'équipe de Gugur, les Pélicans, amoindris au moment d'entamer ce first round à l'extérieur. Joe Johnson s'est cassé le petit doigt en jouant les Trailblazers le 16 Avril dernier. L'affrontement apparaît déséquilibré sur le papier, mais Carlos Boozer, André Iguodala & Tony Parker ne laisseront pas leur part à l'éperon, pendant que Malik Rose donnera, comme à son habitude, jusqu'à la dernière de ses tripes, surtout face à une franchise qui lui avait promis monts et merveilles durant l'été pour être tradé quelques mois plus tard.

Alexis, 3 questions avant le premier affrontement de votre série Mardi prochain à Fort Alamo : un pronostic pour ce premier tour ? Pour les rounds suivants ?
Je peux trashtalker ? Non ? Ok, soyons honnêtes et lucides alors. Les moves opérés durant la Saison, qui visent à préparer l'avenir, ont dans un premier temps déstabilisé le groupe, autant qu'ils en ont diminué le talent. Les ajustements en Janvier ont permis de densifier le roster et l'alchimie semble avoir enfin prise, avec 9 victoires de rang pour finir la saison. Nous avons ainsi du mal à jauger nos chances réelles, mais nous ne doutons absolument pas que nous pouvons aller au bout.
Les Pélicans ne doivent pas être un obstacle et la série doit se terminer en 5 games.
Au second round, et bien que les Warriors aient fort à faire face au Jazz du ressuscité Rhéa (à ce propos, saviez-vous qu'il a le meilleur ratio W/L en PO et qu'il a déjà gagné un titre NBA en tant que GM?), je m'attends à rencontrer l'équipe d'Eddie Jones. Ce sera le premier énorme pavé sur le chemin. Avec le home court advantage et des ajustements tactiques opportuns nous devons passer ce round. Mais cela sera âpre, et cela peut se jouer au G7 à la roulette... allemande.
Si nous y parvenons, cela commence à être plus hasardeux, Seattle ayant une grande tendance aux blessures, le chemin peut s'ouvrir grand... S'ils sont au complet, sans le HCA, nous aurons l'expérience et des options à leur opposer, mais cela a tourné très fort cette saison là-bas. Même sans LeBron James.

Pas la peine d'aller + loin. Sauf blessure, deux très gros affrontements nous attendent pour ne serait-ce qu'arriver en Finals. Nous y croyons, nous y croirons, et nous espérons qu'aucune blessure ne viendra émailler les divers rosters NBA afin d'avoir les + belles oppositions possibles.


Un petit mot sur vos trades ? Un éventuel échec durant cette post-season ne serait-il clairement votre faute en tant que GM ?
Sans l'ombre d'un doute. Mais nous ne regrettons aucun transfert, au global nous avons d'ors et déjà assuré la pérennité de l'espace salarial des années à venir. Dirk Nowitzki va devoir recevoir un salaire garanti très, très élevé, Manu a déjà signé un contrat important sportivement comme financièrement, Kendrick est à signer cet été. Avec Ben Gordon & Francisco Garcia à resigner à l'avenir, une Mid Level Exception, Jamaal Tinsley expirant... Pouvoir drafter des rotations correctes lors des drafts 2007 (magic) et 2008 (magic, jazz) nous permet d'aborder les années à venir sereinement.
En revanche, cette tranquilité a eu un prix, celui de l'alchimie dans un groupe tout juste champion. Nous avons dû faire partir des joueurs plus qu'importants et appréciés dans toute la franchise (McCoy, Thomas, Lopez, Padgett) et cela nous a probablement coûté des victoires en Saison Régulière. Nous avons cependant une grande confiance dans le coach et dans le groupe actuel, renforcé donc par Pierce, Garcia, Bell, Harpring et Foyle. Le talent est là et le groupe semble soudé. Les gars savent qu'ils ont leur carte à jouer, et cela reste au final une saison réussie : la transition et l'avenir sont là, le présent également.


Quelle équipe craignez-vous le + dans votre quête de doublé ?
En citer une seule m'est impossible, il y'en a 2 qui me semblent être des adversaires plus que redoutables : Seattle avec le HCA, Lebron et des gars habitués à jouer ensemble. Et Golden State, avec un duo Bibby - Kirilenko excitant à affronter. Chicago, Dallas, Philadelphie & Charlotte seront de très beaux poils à gratter également.

Je ne vous dis qu'une chose : quelque soit le champion, il sera beau !!!

Un détroit soleil

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by Un détroit soleil » 22 June 2020, 15:44

CLASSEMENT ALL TIME, 10 ANS DE SIMU 24s, POUR LA POSTERITE (3/10)


Historique on vous dit !!! 10 ans de simu déjà, 10 années qui ont vu le Jazz, les Lakers, le Heat, les Nuggets, les Knicks et les Spurs remporter un titre (ou plusieurs). 10 années qui ont également vu de superbes équipes marquer la ligue, des coaches affirmer leur style et des GM soutenir leur vision à court, moyen ou long terme. Certains ont été débarqués, d’autres ont pris une retraite (parfois temporaire) bien méritée tandis que certains continuent de jouir d’une confiance absolue malgré des échecs retentissants et aucun titre (la majorité en fin de compte)
Mais finalement, on ne parle jamais plus que de ce qui fait l’essentiel de cette ligue: les joueurs !!
Le basketball en impose 5 sur le parquet par équipe, 5 avec des caractéristiques techniques bien précises et des responsabilités définies. Comment les classer, leur rendre hommage et justice ? Comment définir la position du rôle player multiple champion face à celui qui collectionne les récompenses individuelles et qui aura marché sur ses adversaires sans pour autant obtenir le titre suprême ? *
C’est la tache extrêmement difficile que nous nous avons accepté de réaliser, non sans crainte, mais également avec beaucoup d’excitation et de passion.
Si votre joueur n’est pas à la place qu’il mérite selon vous, tant mieux, cela donnera lieu à des débats (et non ébats !!). Soyez certains en tout cas que nous avons tout fait pour n’oublier personne, que chacun puisse être cité, que chaque équipe marquante soit alors référencée dans cet article. Car les joueurs représentent la Ligue oui, mais ils représentent surtout leur équipe, leur franchise et leurs fans.
Pour les 10 ans, c’est donc … et non pas 10, pas 12 mais 16 équipes all-time. Ne nous demandez pas le rapport il n’y en a aucun si ce n’est la passion qui nous fait vibrer. Oui on est comme ca nous, on est fou. On est fou de NBA. On est fou de vous tout simplement.
16 équipes pour 10 articles, 2 articles pour chaque poste, publication après publication. 10 articles pour les 10 ans.
Aujourd’hui les arrières en lumière !!

* Les stats sont arrêtées à la date du 20/04/2007, juste avant le début des PO

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16e place:
DWYANE WADE (33.5 min / 19.1 points / 4.4 rebonds / 5.5 passes / 1.6 steals)
Première entrée du classement, et nous serons très transparents, c’est avec beaucoup de réticence et peu convaincus que nous intégrons Wade dans ce ranking. Il faut dire que malgré tout son talent, le joueur est actuellement dans un début de carrière relativement décevant. D’abord drafté par le Magic puis échangé au Heat dans un trade retentissant contre Amare Stoudemire, il est rapidement installé au poste de meneur, cette décision du GM du Heat Dav’z suivant la ligné de ses précédentes réussites. Cependant n’est pas Michael Finley qui veut. Alors que Wade se démène sans convaincre, le Heat s’embourbe. En 4 ans il comptabilise seulement une participation en Play Offs pour un sweep en guise d’apprentissage. Peu reluisant même si tout ne lui incombe pas. D’autant plus que les comparaisons avec ses partenaires de draft Lebron James ou Chris Bosh (voir Carmelo Anthony) sont loin d’être à son avantage, de même qu’il supporte difficilement le parallèle en terme d’impact avec Amare Stoudemire.
Cependant, en 4 années justement, le jeune Dwyane Wade a su collecter 2 sélections aux ASG ainsi qu’une élection à la 3rd team l’année dernière. Aussi Wade reste un arrière complet, doté d’un physique rare évoluant au dessus des 51% en carrière et suffisamment complet pour poser régulièrement des 20-5-5. On prend le pari de l’avenir car nous croyons en lui, au détriment d’autres joueurs ayant accompli plus de choses par le passé dans un rôle réduit (Isaiah Rider, Kendall Gill). Si ses performances à l’avenir ont tout pour le faire monter au classement, continuer sur sa tangente actuelle pourrait également le sortir complètement de toute discussion malgré tout son énorme talent.
Palmarès :
- 2 x All Star Heat 2004, 2005
- 1 x All League Third Team Heat 2004

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15e place :
JAMAL CRAWFORD (29.7 min / 15.1 points / 3.1 rebonds / 3.4 passes / 1.2 steals)
Jamal saura déjà quoi faire de son après carrière : Guide touristique national !! Quand on a autant de franchises inscrites à son CV en si peu de temps, Crawford pourrait déjà être directeur d’agence de voyage s’il devait s’arrêter demain. Arrivé il y a 7 ans il aura connu… 7 franchises différentes et 7 changements de franchises. Bulls, Celtics, Spurs, Knicks, Rockets, Kings, Nuggets et enfin retour aux Celtics. En un an, il a déjà connu 4 franchises différentes, échangé tous les 6 mois. Puis ca progresse puisque ce sont des piges d’un an qu’il effectue chez les Knicks, Rockets, Kings et Nuggets. Mais alors, comment un joueur aussi peu désiré et mis dans tous les packages de trade tel un vulgaire jouet McDonald dans ton Happy Meal peut donc être classé ? Actuellement revenu aux Celtics, il semble avoir trouvé de la stabilité puisqu’il termine sa deuxième saison et est pleinement installé à l’arrière, récompensé cette année de sa première étoile et d’une nomination en Seconde Team. Si sa première partie de carrière est en sortie de banc, il a gagné ses galons de titulaire depuis, d’abord à Denver puis confirmé à Boston. Cependant il manque encore à Jamal une référence en PO. 30 matchs en Play Offs, deux accessions en demi finale de Conférence dans un rôle de sortie de banc… Si le talent est certain, il faudra que Boston puisse se montrer en post season pour que Crawford impose réellement son talent à la Ligue. Il a tout ce qu’il faut, un beau shoot, redoutable derrière l’arc, du ballon au point de pouvoir relayer son meneur, une grosse défensen et surtout il ne s’arrête jamais de progresser année après année. Ne soyez pas surpris si on le retrouve top 8 dans un ou deux ans.
Palmarès :
- 1 x All Star Celtics 2006
- 1 x All League Second Team Celtics 2006

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14e place :
ERICK STRICKLAND (26.3 min / 12.6 points / 3.9 rebonds / 2.9 passes / 1.5 steals)
C’est peu dire que la carrière de Strickland partait sous de mauvais auspices. Drafté par Dallas, il n’a même pas le temps d’y jouer un match qu’il est déjà envoyé à Miami. 4 mois tout juste et le voilà en partance pour la Californie dans la Baie. Pas plus convaincant, il est alors transféré aux Bucks 8 mois plus tard pour respirer l’air frais du Wisconsin. Trop ennuyeux peut être, c’est Sacramento qui le fait revenir en Californie 3 mois après. On est en 1998, un an et demi après sa draft, et Strickland compile déjà 5 franchises sur son CV. Et pendant ce temps ? Et bien il ne s’impose pas. Pire il régresse entre son année rookie et son année sophomore, 10 points par match la première année (honorable) et moins de 6 points la seconde, en sortie de banc. Clairement on a des doutes sur le fait que Strickland restera longtemps dans la Ligue. Mais le sport de haut niveau c’est du mental déjà, chose que Erick ne manque absolument pas. C’est aussi de trouver les bonnes personnes au bon moment, et c’est le GM des Bulls, 2words, qui fera office de révélation pour l’arrière. Début de la saison 1998/1999, il le fait venir dans l’Illinois et ce dernier se trouve immédiatement responsabilisé. Montée en flèche de son temps de jeu et de son scoring, Strickland se venge alors de ses deux premières années ou aucune franchise ne lui aura donné sa confiance. Mais il ne s’arrête pas là et confirme alors. Les années passent, mais lui reste. Les joueurs partent et arrivent, mais personne ne lui prend son spot de titulaire. Les finales de conférence s’enchainent (3 depuis) et lui est toujours de la partie. Résultat, Erick Strickland est un joueur essentiel au bon fonctionnement des Bulls depuis près de 9 saisons, fondu complètement dans le moule tactique de la franchise. Précieux, rôle player de luxe, Strickland en impose avec des pourcentages intéressants globalement et des années splendides, au point d’être convié au All Star Game en 2001. Il en pleurera le soir même face à la caméra. Et de l’autre coté du terrain, il ne ménage pas ses efforts pour autant, actif au plus haut point, ses mains baladeuses le récompensent d’une nomination en All Defensive seconde team bien qu’il enchaine les interceptions depuis plus de 6 ans. Aux Bulls, il a tout de suite convaincu, ce fut un accord de donnant-donnant que la franchise comme le joueur ont su faire fructifier. Une très belle histoire que Strickland comme Chicago souhaiteraient inscrire dans la légende avec l’obtention d’un titre. Qu’on puisse de nouveau le voir pleurer de joie, car le basket c’est aussi et surtout ça. Une histoire d’homme et de destin.
Palmarès :
- 3 x Finale Conférence Bulls
- 1 x All Star Bulls 2001
- 1 x All Defensive Second Team Bulls 2005

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13e place :
RICHARD HAMILTON (32.1 min / 19.2 points / 3.7 rebonds / 3 passes / 0.8 steals)
Qu’il vente, pleut, neige ou que ce soit la canicule, Hamilton fera assurément ce qu’il sait faire de mieux au basket : scorer, filocher, mettre des paniers en somme. Physique atypique et longiligne, « Rip » a le profil de l’arrière type avec un shoot juste et soyeux. Redoutable à mi distance et monstre d’endurance, il est drafté par Boston avant d’être rapidement envoyé chez les Sixers 6 mois plus tard. Déjà 16 ppg pour le rookie dans une saison instable, il profite de la saison suivante pour inscrire 21 points par rencontre et s’imposer comme l’un des meilleurs arrière scoreur de la ligue. A Détroit on est fan, c’est un secret de polichinelle et le GM choisit alors d’envoyer 2 prochains picks du premier tour pour convaincre Philadelphie de s’en séparer. Sa 3e saison est alors une référence. Avec 26 points, 5 rebonds et 3.4 passes au compteur par rencontre, Hamilton gagne une première étoile, amplement méritée. Dans le Michigan il gagne cette stabilité, et se lie d’amitié avec son meneur Chauncey Billups avec qui il va partager près de 5 années de vie commune. Le GM comme le coach leur font pleinement confiance et les deux joueurs assurent sur le parquet, assurant le scoring et le lead à tour de rôle. A Détroit, il goûte au plaisir des Play Offs, mais bute inexorablement chaque année en post-season. Si cette année marque le retour d’Hamilton au match des étoiles, le plafond semble difficile à percer pour aller plus loin. Un manque de casting ? Peut être. Une progression qui a ralentit après 3 ou 4 premières saisons synonymes de progression à grande vitesse ? Surement. Le joueur a toujours son GM, son meneur et tout l’Etat du Michigan derrière lui. Il serait bien que son talent puisse enfin goûter aux joies d’une finale, où il risque fort d’être rapidement considéré uniquement du coté de Motown. Si ce n’est pas déjà le cas…
Palmarès:
- 2 x All Star Pistons 2001, 2006

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12e place :
REGGIE MILLER (30.6 min / 17 points / 2.8 rebonds / 2.8 passes / 1 steals)
On est en 1996, Reggie a déjà 31 ans et de nombreuses batailles à son actif. Indiana sort d’une campagne moyenne avec un bilan en dessous des 50%. 7e de conférence, ils affrontent Orlando véritable machine de la conférence, portée par Hardaway. Résultat, 3-0 c’est sans appel … mais pour les Pacers !! Et l’équipe d’Indiana ne va pas s’arrêter là pour autant puisqu’au tour suivant, ce sont les Bulls qui se dressent devant eux, 3e de la SR. Pas de problème, les Pacers terminent la série en 5 matchs et filent en finale de conférence à la surprise générale. Il faudra un très gros Heat de Miami pour sortir donc la sensation de cette saison, en 7 matchs. Et Reggie dans tout ça ? 25.3 points, 3.2 rebonds et 2.5 passes à 48% au shoot dont 45% du parking et 92% aux lancers francs. C’est ce qu’on appelle un joueur de PO. Surfant sur cette dynamique, les Pacers progressent et se renforcent. Si ils finissent cette fois ci avec le meilleur bilan de la conférence à égalité avec les Sixers, et tout cela malgré un Miller blessé la moitié de la saison, mais All Star, Indiana subit … la même farce qu’elle avait infligée l’année passée à ses adversaires. Sorti au premier tour face aux Bulls, c’est alors le crépuscule de la carrière de Miller. Si il fait une petite infidélité à sa franchise de toujours en allant respirer l’air frais canadien, il revient rapidement dans sa ville d’Indianapolis pour finalement boucler la boucle. Au cours de ces deux superbes années, l’arrière aura eu donc le temps de récupérer quelques récompenses individuelles, et de poser ainsi son héritage sur la Ligue. Une sorte de « Goodbye my lover », digne des plus belles histoires. Digne des plus grands champions.
Palmarès :
- 1 x Finale de Conférence Pacers 1996
- 1 x All League Third Team Pacers 1996
- 1 x All Star Pacers 1997

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11e place :
BRENT BARRY (26 min / 12.5 points / 3.6 rebonds / 2.7 passes / 1.3 steals)
Le fils de p…Portland en fait. Vous vous attendiez à quoi ? Débarqué dans l’Oregon peu de temps après l’officialisation du GM Doc, il est l’un de ses joueurs si ce n’est son joueur le plus représentatif. 6 saisons à Portland, shooteur magnifique, excellent manieur de ballon et défenseur intelligent, il est la pièce centrale de l’équipe à succès des Trailblazers jusqu’à son départ en 2002. Excellent tireur longue distance, il écarte le jeu et les défenses ce qui profite à ses partenaires quand il ne décide pas d’enchainer les filoches. 46% en carrière mais surtout 41.5% à trois points, c’est l’assurance d’un apport régulier sur le terrain. Appelé au ASG dès sa saison sophomore, puis confirmé en 1999 c’est surtout en 2001 qu’il fait sa meilleure saison individuelle, entachée d’une blessure regrettable qui le prive d’une 3e sélection. En 2000 il n’est pas non plus en reste, puisqu’il atteint avec son équipe une finale de conférence historique pour son GM, niveau que l’Oregon n’a plus connu depuis. Si il confirme deux belles saisons à Sacramento puis Houston, il enchaine depuis 3 ans les équipes au rythme des besoins, afin d’apporter de l’expérience dans le vestiaire. Après 5 franchises en 5 ans, il semble à l’aube de la fin de sa carrière dorénavant. Il reste cependant le joueur d’une franchise, celle de Portland chez qui il aura passé les 6 meilleures années de sa vie.
Palmarès :
- 2 x All Star Blazers 1996, 1999
- 1 x All League Defensive First Team Blazers1997
- 1 x All League Defensive Second Team Blazers 1999
- 1 x Finale de Conférence Blazers 2000

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10e place :
ALLAN HOUSTON (31.8 min / 17.1 points / 3.4 rebonds / 2.5 passes / 0.6 steals)
Allo soliste ? Désolé, occupé à shooter. Tout simplement. Allan Houston est aussi fort en attaque qu’inutile (et feignant) en défense. Pour autant, le garçon reste un joueur rare, capable de marquer 18 points par soir en dormant, ou en lendemain de cuite, ou parfois les deux. Drafté en 1993 par Détroit, il débute en sortie de banc, et progresse chaque année au point de marquer quasiment 20 points par match dès sa 3e année. La Big Apple veut faire un duo du tonnerre avec Larry Johnson. Peu convaincant, Johnson est libéré une saison plus tard. Mais 1996 est une année marquante pour New York avec l’arrivée d’un certain Tim Duncan qui changera la face de la franchise. Prodige annoncé, on souhaite l’associer au scoreur patenté Allan Houston et on entoure les deux de joueurs complémentaires tels que Bryon Russel et Kenny Anderson, toujours encadrés de Patrick Ewing et John Starks. Ca ne suffit pas pour autant, les Knicks se font balayer au premier tour par Orlando. Le GM essaye alors de nombreux joueurs et nombreuses formules, et seul deux joueurs restent contre vents et marées, Duncan et Houston. Jusqu’en 2002, où les Knicks après plusieurs tentatives infructueuses, s’imposent enfin dans les Play Offs. Une saison marquée d’une position de leader de l’Est, bouclée à 59 victoires. Il faut dire que la franchise à réussi à se construire une formidable équipe autour d’une raquette Duncan-O Neal absolument légendaire. New York est favori des parieurs et cartonnent leurs vis-à-vis tour après tour. La finale face aux Nuggets devrait être une formalité sauf que … sauf qu’elle ne l’est absolument pas. Les Nuggets l’emportent en 6 matchs pour leur second titre d’affilée. L’âme du champion, que les Knicks n’oublieront pas, puisqu’ils remporteront les deux années suivantes le titre. Mais cela se fera sans Houston, transféré à Miami en échange d’un Kerry Kittles plus complémentaire et surtout au profil de spécialiste défensif, capable d’écarter le jeu de la même manière mais en imposant un combat à son adversaire dans sa moitié de terrain.
Marqué ainsi comme LE joueur qu’il fallait transférer pour permettre aux Knicks de l’emporter, on ne peut oublier pour autant son apport tout au long du processus de progression de la franchise de New York, et une finale NBA qui restera comme le meilleur accomplissement de son parcours sportif, mais aussi le crève cœur ultime de sa carrière.
Palmarès :
- 1 x All Star Knicks 1998
- 1 x All League Third Team Knicks 1998
- 1 x Finale NBA Knicks 2002


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9e place :
DOUG CHRISTIE (26.1 min / 12.1 points / 3.9 rebonds / 2.6 passes / 1.7 steals)
Doug Christie, c’est 12 points par match, 7 franchises en 11 saisons, un shooting à 43% tout juste et aucun titre. Mais que fait il alors à ce stade du classement. Et bien Christie c’est tout ce qu’on ne voit pas. C’est un formidable joueur défensif capable de locker son adversaire et ne pas lui laisser entrevoir la lumière. A son crédit, 3 nominations en first team défensive et 2 nominations en seconde. Une référence. Mais pas que ! Si ses pourcentages ne sont pas extraordinaires, il demeure un shooteur capable derrière l’arc. Qu’il soit titulaire ou remplaçant c’est un soldat qui bonifiera toute équipe le recrutant. Les équipes l’ayant accueilli ne se sont pas trompé sur lui et pour preuve, il cumule une finale NBA avec les Hornets ainsi que deux finales de Conférence avec le Magic et le Heat, et toujours dans un rôle véritablement important. On n’arrive pas à ce niveau par hasard. Role player de luxe dans toute équipe visant la victoire finale, il ne lui aura pas manqué grand chose pour atteindre le trophée final. Mais il aura définitivement imposé sa patte dans les hauteurs des Play Offs, de 1997 à 2002. Et ils ne sont pas nombreux à pouvoir en dire autant.
Palmarès :
- 3 x All Defensive First Team Raptors 1996 / Hornets 2000, 2001
- 2 x All Defensive Second Team Magic 1997, 1998
- 2 x Finale Conférence Magic 1997 / Heat 1999
- 1 x Finale NBA Hornets 2000

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ALL TEAMS OF THE DECADE

1st: Mike Bibby - ? - ? - ? - ?
2nd: Allen Iverson - ? - ? - ? - ?
3rd: Anfernee Hardaway - ? - ? - ? - ?
4th: Steve Nash - ? - ? - ? - ?
5th: Jason Terry - ? - ? - ? - ?
6th: Damon Stoudamire - ? - ? - ? - ?
7th: Terrell Brandon - ? - ? - ? - ?
8th: John Stockton - ? - ? - ? - ?
9th: Gary Payton - Doug Christie - ? - ? - ?
10th: Sam Cassel - Allan Houston - ? - ? - ?
11th: Chauncey Billups - Brent Barry - ? - ? - ?
12th: Jamaal Tinsley - Reggie Miller - ? - ? - ?
13th: Andre Miller - Richard Hamilton - ? - ? - ?
14th: Steve Francis - Erick Strickland - ? - ? - ?
15th: Rod Strickland - Jamal Crawford - ? - ? - ?
16th: Tim Hardaway - Dwyane Wade - ? - ? - ?

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Alexis

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by Alexis » 23 June 2020, 23:17

Vis ma vie... de Sylvester Temple

Puisque Sylvestre est notre idole à tous, je reprends son format pour ce soir : 3 matchs au programme en 4 jours seulement, les 3 premiers matchs des Playoffs pour les Pélicans et les Spurs. Deux équipes de la division Midwest, deux équipes de la conférence Ouest : sur le papier, nous pensons que nous devons gagner la série, et la manière, si victoire il y a, sera un début d'indication sur la chance de titre.



Bilan de la vague :
- Victoire 100-96 : premier match très serré dans la série, à l'AT&T Center. +14 après le premier quart mais mené -1 au début du quatrième. Parmi les titulaires, Dirk Batman Nowitzki aura été stratosphérique (37 pts 11 rbds en 37 min, élu homme du match), son lieutenant Manu Robin Ginobili en top soutien (13-3-5 et 5 steals, à 6/9 aux tirs)... Et tant mieux, car ça s'arrête là. Petit match pour Perkins (6-4-5-2 en 25min), qui confirme match après match qu'il a du travail à faire pour être au niveau de son futur salaire. Paul Pierce a sorti l'arrosage automatique (4/15) tout autant que Tinsley (1/7, 10-6 en 39miutes, pire différentiel de l'équipe), et une réponse sera attendue de leur part au prochain match. Sur le banc, matchs efficaces pour Ben Gordon avec 13pts en 25 minutes, Cisco Garcia & Tony Battie, qui continue de prendre l'ascendant sur le vétéran Adonal Foyle, qui distribue de précieux conseils depuis le banc.
Au global, la bataille du rebond offensif est perdue de chaque côté du terrain et c'est ce qui tient les Pélicans dans le game, avec 10 tirs de plus. Carlos Boozer aura pris la foudre face à son compère d'allemagne de l'ouest, mais le duo TParker - Iguodala ont planté 49 points à hauts %.
A taffer pour le prochain match : la lineup des titulaires doit une revanche (+4 en différentiel moyen sur le match).

- Victoire 123-103 : Ecart grandissant modérément mais constamment tout au long du match, il ne pouvait échapper à l'équipe. Les titulaires ont remis l'église au milieu du village, avec des différentiels atteignant le +30 ! Kendrick Perkins (8rbds, 3blks en 25'), Paul Pierce (21pts à 9/17 en 29') et Tinsley (12passes, 2stl, 1 turnover) auront tenu leur rang et épaulé Dirk Nowitzki (21-10 en 32', pour son second double double déjà sur ces playoffs!), et permis à l'argentin de passer une soirée tranquille (20 minutes jouées pour 6 petits points) malgré son problème de fautes (4). 26 points en 35 minutes pour le feu follet Ben Gordon et un excellent différentiel, et on retrouve les mêmes sérieux Garcia & Battie comme principaux contributeurs du banc, Austin Croshere se joignant à la fête.
Dix occasions de marquer également en + côté Pels, qui savent aller chercher les rebonds offensifs et les fautes mieux que les Spurs, mais une trop grosse adresse pour les éperons !
L'homme du match est à chercher du côté de l'équipe perdante ce soir, avec un André Iguodala qui confirme son énorme début de série face à pourtant Gino : 38pts à 12/17... johnson who ? Son seul soutien aura été Malik Rose ce soir.
A taffer pour le prochain match : sécuriser le rebond défensif, une défense + propre... mais l'essentiel sera d'aller chercher la victoire à l'extérieur.

- Victoire 106-104 : OVERTIME baby !!! 1er match à la New Orleans Arena, et le public en a eu pour son argent ! Il n'aura manqué que la victoire, mais la partie aura été âpre : jamais + de 7 points d'écart entre les équipes en fin de quart temps. Côté titulaires, Paul Pierce (18 points, 8rebonds 4ass 3stl à 6/10) malgré 6 turnovers aura réussite la prestation qu'on le sait capable de réaliser : un lieutenant-FP qui sait se faire oublier et surprend l'adversaire tel un Pipo Inzaghi devant des cages de foot. Kendrick Perkins aura également accompli un bon match (12 rebonds, 3blk). De leurs côtés, des matchs corrects pour l'allemand star, à nouveau homme du match, Manu Ginobili et Jamaal Tinsley, qui auront manqué respectivement de volume, de précision au shoot et de finesse balle en main pour réaliser des matchs aboutis. Malgré tout, ils étaient en mode all around, et cela débouche sur un différentiel moyen de +7, somme toute assez moyen.
Côté bench, nouveau match plein pour Ben Gordon (15-3-3 en 28', bons %), qui plombé par les mauvais matchs de ses 2 acolytes habituels Garcia & Battie, enregistre le pire différentiel de la team. Des titulaires corrects, un banc pas terrible, une bagarreuse équipe en face qui à domicile voulait marquer son territoire et finalement un scénario peu ou prou identique aux games précédents dans la bataille : une 10aine de shoots en + pour les Péls, grâce aux rebonds offensifs (pas de problèmes de fautes cette fois-ci). L'adresse des deux équipes permet encore une fois à San Antonio d'attraper le match et de mener 3-0 dans la série, grâce à un overtime très défensif (7-5) et un shoot de Dirk Nowitzki au buzzer, servi par Paul Pierce qui avait su attirer 2 joueurs à lui.
Bilan :
A star is born ! Tous ceux qui suivent la ligue ont pu le remarquer, le jeune André Iguodala est voué à devenir un très grand : avec 33 points lors du dernier game qui aurait pu lui valoir un second "homme du match" en 3 défaites, une moyenne de 31pts en 43minutes face à Ginobili, excusez du peu... à 57% dans le champ et 48% à 3 pts, le jeune André décolle à 23 ans. Attention, avion de chasse en vue ! Cela risque de faire trop court pour cette année avec ses Pelicans, mais comptez sur lui pour ne rien lâcher, dans cette série et celles qui viendront ensuite.

Côté Spurs, l'essentiel est sauf, mais le coaching staff n'arrive pas à se résoudre à devoir batailler pour l'emporter ; il est loin le temps des volées distribuées à toute la ligue, avec plusieurs joueurs de devoirs remplacés et 2 titulaires différents par rapport à l'an passé, la franchise de San Antonio est résolue à devoir se battre pour l'emporter. Et vous savez quoi ? Elle aime ça ! Les éperons sont affutés, et l'objectif pour cette fin de premier tour est de terminer le travail sur les deux prochains games, sans subir de blessure. La suite, si suite il y a, est d'ores et déjà connue : il faudra se battre.

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by kcnarf » 24 June 2020, 16:31

LA coule
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0-3. Les années passent, les GM se succèdent, mais la malédiction du 1er tour semble continuer à s'abattre sur les Lakers, qui n'ont plus dépassé ce stade depuis 5 ans. Eddie Jones et Shaq étaient encore des Lakers, et Terrell Brandon revenait difficilement de blessure. Une éternité.
Pourtant, la fin de saison laissait entrevoir une confrontation serrée contre les Mavs. Hélas, Vince Carter ne parvient pas à se défaire de la "défense" de Ray Allen, le "terrible" Dampier tourne à 18-10 à 71% contre Jeff Foster.
Heureusement, lorsque LA se noie, Pamela Anderson est là ! Elle a même demandé à David Hasselhoff de venir remonter le moral des troupes. Il a emmené toute l'équipe (sauf Yao Ming et Shawn Bradley pour d'évidentes raisons) s'amuser sur un circuit avec Kitt.
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Après l'auto, la moto, avec Jessica Alba, histoire qu'ils oublient définitivement leur timidité.
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C'est ensuite sur la plage que les joueurs sont allés se préparer avec une petite séance de surf dirigée par Kcnarf Jr²
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Pour finir, une petite sortie ciné pour aller voir le dernier film de Carmen Electra.
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A l'issue de cette journée haute en couleurs, les joueurs semblent remotivés et prêts à en découdre avec Gasol et sa bande, et il ne fait guère de doutes que l'on va enfin voir ce que ces Lakers valent réellement. Le vieux Kcnarf sera présent dans les tribunes pour le game 4, libéré pour l'occasion par l'établissement qui l'héberge. Il nous a confié "j'ai rencontré la nouvelle direction, nous avons discuté un peu autour d'un verre ou deux. Je les trouve très compétentes, et j'ai l'impression que l'on n'a pas encore vu tout ce dont elles sont capables. Je prévois un joli retournement de situation"
DLGM7 : T.Rozier /B.Hield /P.George/M.Kleber/N.Jokic
banc : D.White/D.Hunter/M.Gasol/A.Holiday/D.Avdija/T.Maledon/I.Bonga
coach : M.Malone

SylvesterTemple

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by SylvesterTemple » 25 June 2020, 11:08

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Les Bucks n'ont pas gagné beaucoup de matchs cette saison.
Huit seulement en quatre-vingt deux rencontres... Échouant à une petite victoire du record ultime de feu les Hawks de Tikette !

Honte à ces franchises dont la fanbase a dû se sentir misérable au coup de sifflet final !



Victoire face aux Cavaliers (+5) le 31/10/2006

Milwaukee était en positif cette saison, eh oui ! C'était un soir d'Octobre 2006 et 10 864 personnes étaient venues assister au premier match de leur équipe pour la saison 06/07. C'était à la maison, au Bradley Center, mais, à la vue du taux de remplissage de la salle (à peine 58%), on voyait déjà venir les prémices d'une saison compliquée que le public avait anticipée.

Chandler au four et au moulin (14pts, 19rbds, 3blks, en 34min) pour ces 48min de baby-basket, n'avait pas le cœur à parler à la presse dans les vestiaires. Sans doute déçu de ses coéquipiers à l'aube d'une pitoyable saison (et pourtant, les Cavs finiront en Playoffs !!!).

En revanche, du côté des Bucks, on avait la langue bien pendue pour cette première.
SylvesterTemple wrote:Vous me connaissez depuis maintenant 10 ans. Combien de fois ai-je viser le titre ? Bon, je n'ai pas encore réussi, mais je suis sûr que, malgré les torchons qu'on peut lire à droite et à gauche, cette première victoire, à domicile, et pour le premier match de la saison, va de nouveau faire de moi un favori ! Cependant, rendons hommage à la maison de retraite adverse, elle n'a pas démérité. Allez, un petit #FreeTyson en TT sur les réseaux maintenant !
David West wrote:A Milwaukee, je sens que je vais revivre. 30pts et 13rbds pour ma première, c'est cool non ? Cependant, je dois avouer qu'il fait plus froid qu'en Arizona. Sly, si tu me transfères dans un pays chaud, promis, je ne t'en voudrais pas !
Quelques mois plus tard, vœu exhaussé, West atterrit à Golden State. Lui qui n'a encore jamais passé un tour de Playoffs risque fort de ne pas le faire encore cette saison, la légende de V@l est... Légendaire !

Et à Keith Bogans de conclure, fort de son 1/9 à 3pts alors que Sefolosha (0/6) et Cafffrey (0/6) étaient tout aussi mauvais depuis le parking :
Keith Bogans" wrote:J'aime bien Thabo [Sefolosha] et Rodney [Caffrey]. On s'est bien amusés ce soir à tirer du pigeon, mais, vous savez quoi ? C'est moi qui ait gagné !
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Victoire face aux Raptors (+7) le 16/11/2006

Avec cette victoire, les Bucks affichaient un bilan relativement satisfaisait de 2 victoires pour 6 défaites en deux semaines de compétition. Sachant qu'il faudra attendre deux mois supplémentaires pour doubler ce nombre de victoires, on peut effectivement qualifier ce bilan provisoire de très satisfaisant ! Pour cela, Milwaukee et tout le Wisconsin devraient remercier les Raptors et leurs bras tremblotants dans le dernier quart. Incapables de mettre un shoot, ils terminèrent le quart avec 10pts de débours alors même qu'ils menaient de 3pts à l'entame des douze dernières minutes.
Pauvres Raptors... Mais heureux Bucks ! A l'image des désormais Celtic et Spur, respectivement John Lucas et Charlie Bell :
John Lucas wrote:On l'appelle vraiment "The Answer" ce type ? Excellent, je suis mort les mecs ! Je l'ai mis dans ma poche le petit ! 5 fautes en 27min et 4tos. Je l'ai fumé !
Charlie Bell wrote:Bonzi [Wells] il a du boule, on ne peut pas le nier, mais ça ne m'a pas empêché de lui planter mes treys sur la face ! A la prochaine mec !
En effet, avec son net rating de +20, on peut dire que Bell fut un des artisans clefs du succès des siens, bien que confronté à un sacré morceau.

Le GM des Bucks, lui, fit mine de temporiser mais ne se priva pas d'un petit tacle, plein d'autodérision, qui eut le don de faire pouffer quelques journalistes :
SylvesterTemple" wrote:J'ai le plus grand respect pour ces joueurs, vraiment, mais je dois bien vous avouer que cette franchise m'indiffère complètement. En même temps, leur culture du dialogue est très particulière. L'ancien GM, Maloj, ne vous répondait qu'une fois toutes les pleines lunes et le nouveau semble de la même lignée ! Bref, je regrette le temps où leur prédécesseur, ReDS, me tradait Jordan en me faisant croire que c'était encore le GOAT alors qu'il n'en n'était plus que la carcasse !
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Victoire face aux Warriors (+3) le 22/12/2006

Assurément la plus belle équipe au tableau de chasse des Bucks de SylvesterTemple cette saison !
En effet, Golden State terminera la saison avec le troisième meilleur bilan de la ligue (59-23) derrière les Bulls et Sonics. C'est dire l'exploit, sachant que, par ailleurs, l'infirmerie des deux formations était complètement vide !

Personne n'attendait une telle débâcle même si le GM des Warriors avait prévenu la presse qu'il serait tendre avec son adversaire du soir :
Val wrote:Par respect pour SylvesterTemple et l'aboutissement récent de nos négociations autour du trade de Kyle [Korver] et David [West] il serait bon de ne pas les anéantir chez eux. Je vais faire tourner selon le score en cours de match je pense.
A trop faire tourner, les californiens n'étaient clairement pas à leur avantage, n'accusant qu'une petite possession d'avance face à leurs très modestes adversaires. Milwaukee ne se fit pas prier pour continuer à pousser vers la victoire et écrasa le banc des Warriors, les seuls joueurs avec un net rating négatif, pour s'adjuger une victoire des plus surprenantes.

Après la rencontre, Val jouait au "ni oui, ni non" avec la presse pour esquiver les questions. Visiblement bouillonnant de rage, il ne la laissa pas éclater devant les médias mais ne s'en priva pas dans les vestiaires :
Val wrote:Vous êtes vraiment des buses quand vous vous y mettez bordel ! Dwight, ca été le match ? Tranquille ? Elles sont sympas les danseuses de Milwaukee ? Chris pas trop fatigué ? Faudrait pas que tu te blesses pour signer ton contrat max c'est vrai, j'oubliais. Comment ? Stoudemire qui t’appelle ? Ah ok pardon... Andrei lâche tes gants de boxe, le match est finit c'est bon... Mike tu dis quoi ? Marre de lal lose californienne ? Ah mais ne t’inquiètes pas, tu va gagner sous peu,. Je vais t'envoyer bientôt sous un autre climat. T'as déjà acheté une doudoune ? Non ? Ah tu sais pas ce que c'est ?! Bah t'auras l'occasion de connaitre bientôt t'en fais pas. Si tu crois que je vais te refiler 100 patates sur 5 ans vieux chnock !
Du côté des Bucks, nul n'eut pu se résoudre à fanfaronner malgré la fin de leur série de 17 défaites consécutives, le match n'ayant pas été d'une grande qualité. Sauf... Przybilla, heureux de sa soirée :
Joel Przybilla wrote:Dwight who ? Ah, le mec qui termine à 6rbds ? LOL, trop soft le petit !
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Victoire face au Heat (+10) le 16/01/2007

Cette fois, il n'eut pas fallu 17 défaites de suite mais "seulement" 11. Ce match, comme celui gagné face aux Cavaliers en début de saison, c'était surtout au GM, SylvesterTemple, qu'il faisait plaisir. Car, oui, comme pour les Cavs, il détenait leur premier tour de draft cette saison !

Dans cette rencontre absolument pas palpitante qui vit les Bucks remporter la victoire face au Heat, chez eux, dans le quatrième quart-temps (24 à 13 en faveur de Milwaukee), Keith Bogans menait son équipe à la victoire alors que Antoine Walker prenait grand soin de ne pas nuire à sa réputation de loser.
Keith Bogans wrote:Kyle [Korver] m'aide beaucoup à prendre confiance en mon tir depuis son arrivée. Casse-déci mec, mon 6/10 à 3pts est pour toi ! Par contre, faut dire ce qui est, elle fait pitié la raquette du Heat sérieux, je leur prends 10rbds sur la face. Même mon grand-père, en pantoufles, aurait pu le faire !
DaV'z wrote:28pts et 14rbds pour Antoine [Walker] mais le pire net rating de l'équipe, il se croit encore au All Star Game... Y'a bien que son étoile qu'il gagne chaque année lui de toute façon. Jujug, mon homologue des Suns, appréciera.
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Victoire face aux Celtics (+5) le 13/02/2007

La victoire alla au moins nul des deux, voilà comment résumer le plus simplement du monde cette rencontre de prestige.

D'ailleurs, LA_Bonne, le GM des Celtics, l'avait fait savoir avant la rencontre :
LA_Bonne" wrote:Mes trois meilleurs joueurs sont out et j'ai 4 ex-Bucks dans mon starting five, vous croyez vraiment que ce match intéresse quelqu'un ? Allez, foutez moi le camp sérieux.
Pendant la rencontre aussi :
LA_Bonne wrote:Qu'est-ce que ça me brise les malajoui sérieux ! Match de merde, année de merde !
Après la rencontre encore :
LA_Bonne wrote:Pffff ! Allez, m'en balec' si je me tape une amende, je me casse !
On eu même cru l'entendre divaguer à sa montée dans l'avion de l'équipe, probablement un peu alcoolisé :
LA_Bonne wrote:Et pis t'as Mullin et Barkley qui descendant à C inside, quelle vie de merde !
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Victoire face au Heat (+10) le 26/03/2007

Pour leur possible 20ème défaite consécutive, les Bucks recevaient le Heat pour cette journée de fête, ce jour étant aussi celui de l'anniversaire de la maman du GM du Wisconsin, qui pouvait tout autant basculer au cauchemar avec une défaite synonyme de record all-time pour la franchise du Wisconsin.

DaV'z, le GM floridien, sûr d'écraser cette équipe à 5 victoires en 69 rencontres, ne se privait pas de se pavaner devant les médias avant le coup de sifflet inaugural :
DaV'z wrote:Ecoutez, je suis aussi surpris que vous ! Y'a vraiment une franchise dans cette campagne ? Quoi ? Ah, ce sont eux qui viennent de l'Ouest ? Jamais entendu parler mais rien de plus normal si cela fait dix ans qu'ils s'acharnent à enquiller les défaites ! Déjà 64 cette saison, c'est risible !
A la mi-temps cependant, son équipe menée de 14pts, le discours était différent et fut entendu dans tous les couloirs du Bradley Center :
DaV'z wrote:Bougez vous le cul, hors de question de perdre contre cette équipe de bouseux !
Le coup de gueule eut l'effet escompté et le Heat rattrapa 10pts de retard sur les douze minutes suivantes. Malheureusement, ce ne fut quand même pas suffisant malgré un Al Jefferson de gala (18pts et 17rbds). Victoire Milwaukee. D'aucun disent que DaV'z, le GM adverse, serait reparti à Miami seul dans son jet privé, ne laissant que le numéro d'une entreprise de location de tracteurs à ses joueurs pour rentrer...

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Victoire face aux Pacers (+10) le 30/03/2007

Enfin sur les bons rails, il était temps nous direz-vous, les Bucks accueillent Indiana après s'être offert le scalp de Miami et avoir fichu la frousse à Philadelphie.

Pour préparer ses troupes, telle une sortie scolaire, le GM des Pacers avait alors décidé d’énumérer les différents postes de l’effectif des Bucks, espérant ainsi apprendre aux jeunes le glorieux passé de cette franchise et de ses protagonistes :
Row Legion wrote:Voyez-vous les enfants, comme Lucy, l’australopithèque, voici les vestiges de Glenn Robinson. 33 ans certes mais encore toutes ses dents. Incroyable spécimen encore en activité, avec une pointe à 31 pts cette saison malgré les années qui passent... Et encore vert/vert... Mais ! Kevin [Garnett] ! Kevin ! Cesse de te dissiper et prend exemple sur ce modèle, ce n’est pas incroyable ça Kevin ? Hein ! Le ballon Spalding à 35$ ! L'équipementier 150$ ! Et tu me propose du 10pts et 5rbds depuis 5 ans !! Les calculs ne sont pas bons Kevin !! C’est quand que tu vas me mettre des paillettes dans ma vie Kevin !!!!! Je veux des doubles-doubles Kevin !! Je m’attendais à beaucoup mieux...

Bref, passons... voici un échantillon d’une espèce rare, le meneur passeur, Sam Cassell...Ah... jadis il tournait à 20pts et 7asts... Que dis-tu Daniel [Gibson] ? Non, pas 7 passes en 1 seul match, 7 passes de moyenne !! Contemplez, les jeunes, malgré sa tête vraiment... Hors du commun. Regardez cette dextérité, ses mains, ce leadership. Trenton [Hassell] ? Non, non, leadership n’est pas un bateau !!

Et là regardez, regardez, ah incroyable les enfants, Keith Bogans, quasiment un contemporain mes petits amis !! 17,2pts et 7rbds, du jamais vu encore chez nous !! Qui est capable de faire ça ?! Qui ? Même toi Jason [Richardson] tu es encore loin de ça... Quoi ? Toi tu aimes dunker... Oui laisse tomber, Jason. Non, Stephen [Jackson], il a dit dunk pas drunk... Ah je vous jure ces gosses... ils me saoulent !!
Les Bucks l'emportèrent malgré tout, donnant une bonne leçon de collectif (7 joueurs à 10pts ou plus) à ces nerveux Pacers. Jackson, visiblement chamboulé par cette leçon d'histoire, fit bonne figure en frôlant le triple-double (19pts, 10rbds, 9asts) mais au prix d'une réussite digne d'un borgne estropié (4/20 aux tirs dont 1/9 à 3pts), alors que Jack, snobbé par le GM d'Indiana, terminait la rencontre avec un net rating de +25 et que Krstic, snobbé depuis sa draft, mettait Closs dans sa poche (12pts et 13rbds pour le Buck).

Suffisant pour entâmer la confiance de Row ? Certainement pas, et sa sortie devant les médias en fut la parfaite illustration :
Row Legion wrote:La visite s'est déroulée dans le calme avec même pas 5000 spectateurs, ça sonnait vide, avec un 3 - 1 au compteur pour les Pacers. A bientôt !
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Victoire face aux Rockets (+8) le 15/04/2007

Rencontre de ploucs ? Très certainement. En tout cas, rencontre entre les deux plus mauvais bilans de la ligue. Quelle tristesse !
Se sentant poussés des ailes dans le second quart-temps, les Bucks prirent l'avantage (16pts) sur des Rockets médusés et incapables de faire une passe. Malgré un retour de 9pts dans le dernier quart, ces derniers quittent Milwaukee par la (toute petite) porte, provoquant la rage de leur GM :
Galdosh wrote:On savait que nos deux équipes ne jouaient plus rien. Nos bilans nous assuraient une place sécurisée à la draft. Mais bon, cette franchise pue tellement la lose qu'on aurait bien aimé les laisser à 7W pour qu'ils égalent le triste record d'Atlanta.
Je me demande quand même ce que Sylvie a pu dire à Foye pour qu'il balance de tels tirs. Ça fait longtemps que je n'avais pas vu des briquasses pareilles. Kobe peut être il y a 2 ou 3 ans.
Si encore il n'y avait que lui... mais 15asts, quelle pauvreté, et je parle de l'équipe, pas juste de Calderon avec ce chiffre ! Heureusement que l'année prochaine on devrait viser les PO car je ne tiendrai pas un an de plus !
Mais aussi hilarité générale :
SylvesterTemple wrote:Je vais être honnête avec vous, j'ai été beaucoup plus captivé par la nouvelle coupe d'Andrew [Bynum] que par le match, même si, effectivement, le 1/11 de Randy [Foye] à 3pts pique aux yeux !
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Allez, à la prochaine les nazes !

Merci à V@l, DaV'z, RowLegion, et Galdosh pour leur participation !
Pas merci à Sativa, KJ7, et LA_Bonne pour leur non-participation :))) !
Giannis Antetokounmpo : "My goal is to win in Milwaukee, bring a Championship to the city... I would never leave for LA." (02/07/2018)

Un détroit soleil

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by Un détroit soleil » 26 June 2020, 07:32

CLASSEMENT ALL TIME, 10 ANS DE SIMU 24s, POUR LA POSTERITE (4/10)


Historique on vous dit !!! 10 ans de simu déjà, 10 années qui ont vu le Jazz, les Lakers, le Heat, les Nuggets, les Knicks et les Spurs remporter un titre (ou plusieurs). 10 années qui ont également vu de superbes équipes marquer la ligue, des coaches affirmer leur style et des GM soutenir leur vision à court, moyen ou long terme. Certains ont été débarqués, d’autres ont pris une retraite (parfois temporaire) bien méritée tandis que certains continuent de jouir d’une confiance absolue malgré des échecs retentissants et aucun titre (la majorité en fin de compte)
Mais finalement, on ne parle jamais plus que de ce qui fait l’essentiel de cette ligue: les joueurs !!
Le basketball en impose 5 sur le parquet par équipe, 5 avec des caractéristiques techniques bien précises et des responsabilités définies. Comment les classer, leur rendre hommage et justice ? Comment définir la position du rôle player multiple champion face à celui qui collectionne les récompenses individuelles et qui aura marché sur ses adversaires sans pour autant obtenir le titre suprême ? *
C’est la tache extrêmement difficile que nous nous avons accepté de réaliser, non sans crainte, mais également avec beaucoup d’excitation et de passion.
Si votre joueur n’est pas à la place qu’il mérite selon vous, tant mieux, cela donnera lieu à des débats (et non ébats !!). Soyez certains en tout cas que nous avons tout fait pour n’oublier personne, que chacun puisse être cité, que chaque équipe marquante soit alors référencée dans cet article. Car les joueurs représentent la Ligue oui, mais ils représentent surtout leur équipe, leur franchise et leurs fans.
Pour les 10 ans, c’est donc … et non pas 10, pas 12 mais 16 équipes all-time. Ne nous demandez pas le rapport il n’y en a aucun si ce n’est la passion qui nous fait vibrer. Oui on est comme ca nous, on est fou. On est fou de NBA. On est fou de vous tout simplement.
16 équipes pour 10 articles, 2 articles pour chaque poste, publication après publication. 10 articles pour les 10 ans.
Aujourd’hui les arrières en lumière, 2e partie !!

* Les stats sont arrêtées à la date du 20/04/2007, juste avant le début des PO

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8e place:
MICHAEL REDD (35.9 min / 24.9 points / 4.9 rebonds / 2.8 passes / 1 steals)
Sur la dernière décennie, si on pense au profil « d’arrière scoreur », difficile de trouver plus emblématique que Michael Redd. De 22 à 28 points par match suivant les saisons, 5 rebonds de moyenne avec et près de 3 passes c’est du très sérieux qu’on propose ici. Mi distance, longue distance, près du cercle, en suspension, pied au plancher, après drive, en catch and shoot, sur pick and roll ou en isolation … le menu est complet et varié, et Redd vous servira ça bien chaud, spécialité maison. Et le contexte alors ? Peu lui importe. Drafté par les Cavaliers en tant que premier pick dans la faible draft 2000, il y reste 4 ans. D’abord dans une équipe à la dérive, où autour des vétérans Shandon Anderson et surtout Michael Jordan, dont l’aura et l’approche du jeu déteint sur lui. Déjà go to guy, de l’équipe, la deuxième saison est toujours aussi mauvaise et Redd est pour le moment condamné à jouer dans les bas fonds de la Ligue. Mais le GM a des projets, et la 3e année de Redd à Cleveland est la bonne. Jalen Rose, Eddie Jones, Terrell Brandon et le jeune Tyson Chandler débarquent dans l’Ohio. La franchise change de cap et de dimension, ajoutent 31 victoires de plus et s’imposent à la 4e place de la conférence. Redd est toujours le meilleur scoreur de l’équipe et son trio avec Jones et Rose atteint les 70 points de moyenne. Redd finit All League second team et surtout meilleur marqueur de la saison. Cleveland tient enfin son joueur du futur. Sauf que Cleveland est une équipe bancale et déséquilibrée, et face à de surprenants Nets, elle se fait sortir au premier tour après avoir remporté le premier match. Manque d’expérience ? Manque de vécu ? Manque de banc ? Manque d’inspiration tactique ? Surement un peu de tout ça…
Cleveland se lance dans la bataille et continue de se renforcer. L’année suivante confirme la précédente, et Cleveland atteint cette fois la finale de Conférence, battus par des Knicks futurs champions. Pourtant il est transféré à la surprise générale aux Suns, et goûte à la conférence Ouest, le temps de gagner une Third Team. A peine un an plus tard, et le voilà revenu à l’Est chez des Pistons qui se cherchent un ailier pour compléter la traction arrière historique. Revenu dans une équipe compétitive, l’expérience demeure mitigée. Redd continue de faire ce pourquoi il a été créé : Marquer. Cependant il manque de taille et sa défense trop permissive (ajoutée à celle d’Hamilton) amène un trop grand déséquilibre aux Pistons. Le début catastrophique de Detroit cette année entérine complètement l’expérience, et Redd est envoyé au Jazz. Grand bien lui fasse, puisqu’il arrive dans une équipe en plein retour sur le devant de la scène, lui qui connaît bien ce schéma. Déjà blessé la saison dernière (puis en PO) avec Détroit, il a de nouveau connu une grosse blessure cette fin de saison. Des questions entourent sa viabilité mais son apport sur le parquet demeure certain. Parti pour intégrer le classement All time du scoring de la Ligue, il est définitivement l’un des marqueurs les plus prolifiques et réguliers de la décennie. Et il n’a que 27 ans …
Palmarès :
- 3 x All Star Cavaliers 2001, 2003 / Suns 2004
- 1 x Scoring Leader Cavaliers 2002
- 1 x All League Second Team Cavaliers 2002
- 1 x All League Third Team Suns 2003
- 1 x Finale de Conférence Cavaliers 2003

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7e place :
MICHAEL JORDAN (35.1 min / 26.7 points / 5.7 rebonds / 4.5 passes / 2 steals)
Et bien vous l’auriez presque oublié, honte à vous !! Son altesse, meilleur joueur de l’histoire du basket, joueur magnifique et compétiteur hors pair. Après son historique triplé, avec les Bulls, sa royauté décide en avoir suffisamment fait et s’en va prendre sa retraite, du basket uniquement puisqu’il repart à sa passion d’enfance, le baseball. Loin d’être aussi dominant, il profite cependant de cette parenthèse tout en restant malgré tout proche du basket, donnant quelques leçons quand il se décide à revenir au centre d’entrainement de Chicago. En 1995 il revient à la compétition. Le temps de jouer la fin de saison et de montrer qu’il n’a rien perdu de sa superbe, il engage les PO mais se fait sortir en 7 manches par des Knicks arracheurs de dents. Qu’à cela ne tienne, avec une bonne préparation il remporte le titre l’année suivante offrant à Chicago un 4e titre. Un sacré exploit. En 1996 il veut faire le back to back, avec les historiques de l’équipe Harper, Pippen, Kukoc, Rodman mais également le renfort de Dino Radja. Si la saison régulière se déroule sans véritable accroc avec une 3e place de conférence, les Play offs s’engagent et déjà les Bulls ne dominent plus autant. Face à Philadelphie, ils ont besoin de 5 matchs pour passer après avoir été mené 2-1. Le gamin Iverson est déjà à deux doigts de sortir sa majesté, et si la jeunesse n’arrive pas à l’écarter, c’est finalement des Pacers 7e de conférence qui explosent les Bulls. Et qui de mieux que son ennemi de toujours Reggie Miller pour enfin prendre sa revanche sur le joueur le plus dominant de l’histoire. Si Chicago fracasse Indiana au premier match, les Pacers réduiront dès lors les espaces et étoufferont complètement des Bulls incapables de répondre au défi tactique d’une équipe ayant gagné 14 matchs de moins qu’eux en SR.
Jordan se consolera alors avec une main mise sur les trophées individuels : un titre de MVP, une élection en First team de l’année et un titre de meilleur scoreur. Une bien maigre consolation pour un joueur habitué depuis plusieurs années à ne rien laisser à ses adversaires. Mais en une année, il aura réussi à poser son empreinte sur la décennie. Du coté des Bulls c’est la soupe à la grimace et le GM de l'époque réalise le rêve de son prédécesseur Jerry Krause en cassant l’équipe historique. Pippen et Rodman sont transférés à Seattle. Michael n’y croit plus et choisit de signer en tant qu’agent libre à Orlando, porté par le projet de Daiv, autour d’un trio de rêve avec Penny et Olajuwon. Echec complet et tué dans l’œuf 6 mois plus tard, Jordan est tradé à Toronto au Canada. Remonté comme un coucou et décidé à prouver qu’il n’est pas un joueur finit, il se multiplie sur le terrain à 35 ans et Toronto arrive jusqu’en finale NBA. Sauf que la franchise canadienne tombe sur une équipe de de Los Angeles redoutable et la série se transforme alors en passation de pouvoir entre Jordan et un jeune Kobe Bryant qui semble être sa réincarnation. Autour du Shaq de gala et de role players dévoués et talentueux comme Eddie Jones et Donyell Marshall, Toronto ne trouve pas de solution. Fin de saison. La suivante n’aura rien de bien convaincante entre absence de PO, première pour Jordan depuis le début de sa carrière dans la Ligue, et blessure qui lui font manquer quasiment la moitié de la saison. Le lien est cassé. Milwaukee est en pleine ascension et monte une équipe pour le titre. Ils envoient alors Eric Williams et Rick Fox pour récupérer le contrat record de MJ. Si les Bucks font une saison intéressante, et que Jordan retrouve alors les PO, c’est à nouveau une sortie de route prématurée qu’il subit face aux Spurs, 7e de conférence, lui rappelant alors de très mauvais souvenirs. Si l’esprit féroce de compétition de Jordan le pousseront à continuer à jouer jusqu’à ses 39 ans dans des équipes de fin de tableau, d’abord à Cleveland puis à Miami pour une belle retraite passée entre transat et centre d’entrainement, il aura assurément laissé son héritage sur la Ligue. On aurait aimé le voir faire toute sa carrière aux Bulls ou peut être le voir arrêter avant que cela ne dégénère, mais entre appétit financier (il fallait voir la taille de son contrat à 39 ans) et plaisir du défi, le joueur n’aura pas su gérer sa fin de carrière aussi bien que son ascension exceptionnelle. Pas grave Mike, tu nous auras bien régalé. A quand une petite partie de golf sinon ? Comment, tu veux parier ??
Palmarès :
- 1 x All Star 1996
- 1 x All League First Team Bulls 1996
- 1 x Scoring Leader Bulls 1996
- 1 x MVP Bulls 1996
- 1 x Finale NBA Raptors 1997

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6e place :
MANU GINOBILI (28 min / 14.7 points / 4 rebonds / 4.3 passes / 1.8 steals)
Nous sommes le 26 Juin 2002, 2h du matin heure française, la draft est sur le point de débuter. Un rendez vous annuel immanquable pour tout passionné de basket. Et des passionnés des Lakers il y en a. Etonnamment, ils sont d’ailleurs déjà devant leur écran alors qu’il sortent de plusieurs années de domination et d’une finale de Conférence la saison qui précède. En effet, les Lakers ont obtenu le premier pick de la draft en échange de leur arrière à tout faire, Eddie Jones. Si la draft présente plusieurs joueurs intéressants, il y en a bien deux qui sont sur toutes les lèvres pour être appelés en premier : Amare Stoudemire et Yao Ming. Pourtant, nombreux sont ceux qui pensent que les Lakers devraient foncer sur un arrière ou ailier afin de compenser la perte de Jones, surtout si on l’additionne au départ d’un certain Kobe Bryant quelques années plus tôt. A l’appel, les Lakers ne se feront pas prier, ils sélectionnent le géant Yao Ming, pour faire la raquette « du futur » dixit Kcnarf. Attiré par le potentiel marketing du marché chinois ? Par la taille exceptionnelle du pivot ? Ou peut être ce choix est il fait pour contenter un Shaq qui se plairait à montrer qu’il peut jouer ailier fort et être plus qu’un gros Babar sous la raquette ? Pour autant, l’expérience s’avèrera catastrophique et anticipera la chute du GM malgré des années fastes.
Mais pourquoi cette introduction ? Parce que celle ci est fortement liée à une autre histoire. Celle d’un argentin venu du championnat italien, à qui rien ne disposait un tel succès dans la ligue (Physique quelconque, âgé pour un rookie). Si le Heat ne se fait pas prier pour se jeter sur Stoudemire (qui confirmera son énorme potentiel en dominant en Floride, d’abord à Miami puis à Orlando avant de filer à quelques kilomètres de là, du coté de Charlotte), les Spurs sont les suivants sur la liste. Etonnamment encore une fois mais l’équipe a récupéré le choix de draft en échange de deux premiers tours prochains en 2003 et 2005 (un des nombreux coups de génie de l’ancien GM des Sixers). Détroit n’a d’yeux que pour Manu et rêve de l’attirer dans le Michigan. Manque de chance pour eux, Alexis a d’autres plans pour sa franchise et n’hésite aucunement à le faire venir dans le Texas. Un véritable mariage d’amour comme de raison. « Gino », déjà expérimenté par ses années en Europe, a bien 26 ans, mais cela convient parfaitement à une équipe de San Antonio qui a besoin de gagner vite et de progresser. Et depuis son arrivée, San Antonio c’est deux finales de conférence, une finale NBA et un titre. Comment mieux définir un choix idéal. Placé en second de Dirk Nowitzki, la connexion internationale bat son plein dans le Texas. Manu assure avec brio entre jeu offensif ultra smooth, capacité à faire briller les autres, implication au rebond et belles dispositions défensives. Sans grande capacité physique, il montre qu’il est bien possible de dominer au poste 2/3 et de tenir la dragée haute des meilleurs ailiers de la ligue. Trop grand pour les arrières, trop malins pour les ailiers, il n’est pas intéressé par ses statistiques individuelles. Ce qu’il veut, c’est gagner avant tout. 15-4-4 de moyenne mais un complément idéal à Dirk tout en étant une pièce centrale du jeu des Spurs. Pas si loin du fameux 50-40-90 depuis son arrivée dans la Ligue, Ginobili impressionne et collectionne les réussites collectives avec sa franchise mais n’est pas non plus en reste pour les récompenses individuelles. Un juste retour malgré ses statistiques peu ronflantes mais au combien précieuses pour une franchise qui domine depuis tant d’années … depuis son arrivée en fait. Nul doute qu’il pourrait être un franchise player extraordinaire dans n’importe quelle équipe de la Ligue (Détroit par exemple...) mais lui se plait à évoluer et dominer dans cette équipe. A déjà 29 ans, il a bien rattrapé le temps « perdu » en tout juste 5 années, et reste le seul joueur des drafts 2000’s à pouvoir regarder Lebron dans les yeux, peut être pas d’un point de vue d’impact individuel mais Gino prend le choix collectif et probablement que le King en ferait de même si il lui était possible de changer. D’ailleurs ce serait pas mal comme duel en finale de conférence cette année, vous en pensez quoi ?
Palmarès :
- 2 x All Star Spurs 2005, 2006
- 2 x Finale Conférence Spurs 2002, 2003
- 1 x Finale NBA Spurs 2004
- 1 x Titre Champion Spurs 2005
- 1 x All League Second Team Spurs 2006
- 1 x All Defensive Second Team Spurs 2006

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5e place :
KERRY KITTLES (34.3 min / 15.9 points / 4.6 rebonds / 2.9 passes / 1.8 steals)
Comment être aussi fort, aussi complet, aussi victorieux et aussi discret en même temps ? Quand on pense à un arrière dominant, on est loin d’avoir Kittles comme première référence et pourtant le joueur issu de Villanova pose de sacrées références. D’un point de vue individuel, sa seule sélection All Star en 2000 est loin de lui rendre justice. Il lui aura fallu être la figure de proue de sa franchise, les Aces de Vegas (anciennement Vancouver Grizzlies) avec 25.4 points, 5.6 rebonds et 3.8 passes pour avoir son ticket. Pourtant ses autres années qu’elles soient aux Clippers, la franchise qui l’aura drafté, ou aux Aces sont d’excellentes facture et certains joueurs auront eu droit au match des étoiles pour moins que cela. Arrière longiligne de la tête (surtout) aux pieds, il combine de belles aptitudes offensives entre shoot et slashing et une intensité défensive record, au point de collecter trois nominations en All Defensive First Team et deux nominations en All Defensive Seconde Team. Un exemple à ce niveau. La carrière de Kittles est digne d’une story telling adaptable au grand écran. Comme dit plus haut, il débute aux Clippers, dans une franchise moribonde et si lui s’impose dès sa première année avec 18 points de moyenne, son équipe ne décolle pas. 3 ans passé en Californie avant d’arriver à la toute nouvelle franchise Las Vegas pour former un super duo avec le prodige McGrady. Pas mal, mais pas convaincant non plus. Les deux premières années amènent l’équipe en PO mais c’est chaque année une élimination au premier tour malgré le talent du binôme et l’énorme saison individuelle de Kerry. Les Aces se heurtent à un mur quand ils jouent les PO, à l’image de leur joueur vedette T-Mac. Pire, les années suivantes sont des déceptions majeures avec des années sans PlayOffs et le départ de McGrady à Atlanta. La franchise ne réussit pas et finalement explose complètement. L’équipe est démantelée, la Ligue décide de la faire disparaître et Kittles se retrouve sur le marché comme agent libre. Le Heat lui offre alors le meilleur contrat, mais personne n’est dupe sur les projets de son GM Dav’z qui souhaite viser la draft historique. Après avoir fait venir le Shaq, NY se place et envoie son joueur emblématique Allan Houston avec le first pick de … Houston (ca ne s’invente pas !) pour s’attacher les services de l’ancien joueur des Aces. Bingo, Kittles représente la dernière pièce du puzzle pour les Knicks qui complètent enfin leur effectif. La défense de Kittles change la donne complètement tout en écartant le jeu, profitant aux deux baobabs de la raquette, Shaq et Duncan. Un succès qui, après les récompenses individuelles glanées précedemment, offre enfin la gagne collective avec un back to back historique. Kittles aura donc, discrètement, mais toujours en étant convaincant, progressé au fil des ans en gagnant toujours plus de reconnaissance individuelle jusqu’à finalement le trophée ultime. Bien plus représentatif finalement du joueur d’équipe formidable qu’il est, et de quoi asseoir donc son extraordinaire parcours.
Palmarès :
- 2 x All Defensive Second Team Clippers 1998 / Aces 2001
- 3 x All Defensive First Team Aces 2000, 2002 / Knicks 2004
- 1 x All League First Team Aces 2000
- 1 x All Star Aces 2000
- 2 x Titre Champion Knicks 2003, 2004

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4e place :
ANTHONY PARKER (29.8 min / 15.1 points / 4.1 rebonds / 2.9 passes / 1.5 steals)
Hornets, Nuggets, Mavericks, Bulls… vous pouvez mettre Anthony Parker dans n’importe quelle franchise qu’il assurera réussite collective et performance individuelle quoi qu’il arrive. Un compétiteur maladif qui n’a rien d’autre que la victoire en ligne de mire. Probablement le meilleur shooteur de la décennie (en concurrence avec un copain un peu plus haut), Anthony Parker est drafté en 1997 par les Warriors. Malgré une saison convaincante à 12.6 points comme titulaire, Golden State n’est pas convaincu par son groupe et surtout souhaite faire de la place à son jeune rookie Vince Carter. Le Jazz récupère le joueur mais, manque de flair, le renvoie directement ensuite à Charlotte qui l’installe comme une pièce importante du dispositif. Et Parker va dès lors progresser avec sa franchise. En 2000 c’est la confirmation : 18 points de moyenne et une finale NBA au sein d’une franchise au roster réduit mais extrêmement condensé en talent et expérience. Parker en est un maillon essentiel.
Pourtant Charlotte souffre dans la raquette et choisit d’échanger son shooteur contre la tour de contrôle Shawn Bradley. Un choix du board des Hornets compréhensible, et surtout une décision salvatrice pour des Nuggets en plein renouveau et décidée à être une franchise qui compte dans les prochaines années. Un doux euphémisme au regard des résultats futurs puisque ce n’est pas un mais deux titres de champions que Parker collectera dans le Colorado. On vous l’a dit, avoir Parker, c’est être assuré d’être compétitif au plus haut point d’autant plus qu’il progresse chaque année en même temps que sa franchise. Les pourcentages de réussite se font toujours plus précis, et son shoot à 3 points est d’une pureté rare au point d’en faire l’un des meilleurs shooteurs de l’histoire. Ayant récemment dépassé Reggie Miller au classement et toujours derrière un certain Jésus au classement des shooteurs à 3 points, il en est pourtant le leader incontesté en termes de réussite (45.4% en carrière). Dallas a bien compris le type de joueur qu’il représente et profite de la « deconstruction » des Nuggets pour le faire venir dans le Texas. Et comme par magie, l’équipe progresse (encore), au point d’être un favori de la Ligue. Un second tour en 2004 pour se mettre en jambe et en 2005 c’est un joueur qui marche véritablement sur l’eau que nous voyons sur le parquet : Une saison historique pour les Mavericks qui finissent sur le toit de la Ligue avec 70 victoires, un Parker enfin All Star et une nomination dans la Third Team. Mais les Mavericks s’effondrent alors en finale face aux Spurs et subissent un véritable coup d’arrêt. Traumatisés, les Mavericks voient alors le GM de l’époque s’en aller et recrute un tout jeune rookie à la tête du board, Pop, qui après avoir offert le contrat maximum à Parker décide 5 mois plus tard de l’échanger dans un blockbuster trade afin de récupérer la superstar et MVP en titre Ray Allen.
Pas déçu pour autant, Anthony Parker sait bien qu’il s’agit juste d’un business. Auréolé de distinctions individuelles et collective et avec un beau contrat maximum sous le coude, quoi de mieux que d’aller chez les Bulls pour former un big 3 avec Elton Brand et Jason Terry. Le changement d’employeur n’est pas pour déranger le shooteur qui se fond parfaitement dans le schéma up tempo et offensif de Chicago. Décalé à l’aile, son rendement faiblit du au partage des responsabilités mais le sérieux et la constance restent de mise. Une nouvelle finale de conférence atteinte l’année dernière, malgré la trentaine bien passée, Parker continue de produire et il le fait toujours bien. Actuellement dans une nouvelle année faste en termes de victoires, il est venu aux Bulls afin de permettre à la franchise de franchir enfin ce cap après 3 finales de conférence perdues au cours des 5 dernières saisons. Et connaissant le bonhomme on sait que question persévérance, il en connaît un large rayon.
Palmarès:
- 1 x Finale NBA Hornet 2000
- 2 x Titre Champion Nuggets 2001, 2002
- 1 x All Star Mavericks 2004
- 1 x All League Third Team Mavericks 2004
- 2 x Finale Conférence Mavericks 2004 / Bulls 2005
- 1 x All Defensive Second Team Bulls 2006

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3e place :
EDDIE JONES (31.9 min / 16.2 points / 4.6 rebonds / 3.5 passes / 1.8 steals)
Les Lakers devaient avoir Kobe Bryant. Ils ont finalement eu Eddie Jones et franchement ils n’auront pas tant perdu au change.
Mais déjà, trouve t’on aujourd’hui un joueur aussi fort qu’Eddie Jone à son âge ? Un monstre de durabilité et de justesse de jeu comme on en fait peu dans la Ligue, au point d’être encore aujourd’hui dans la rotation d’une équipe en course pour le titre. Et des titres il en un petit paquet d’ailleurs, il en connaît bien le chemin.
Mais commençons par le début puisque Eddie Jones arrive chez les Lakers en 1994. Personne ne le sait à l’époque mais il y restera 8 saisons. Titulaire inamovible dès son arrivée, on a pourtant des doutes concernant sa permanence chez les Purple & Gold à la draft du jeune talent venu de Philadelphie, Kobe Bryant, en 1996. Profil plus flashy, capacités physiques bien au dessus de la moyenne, Kobe est fait pour être une star, il en a pleinement les atouts. Mais Eddie Jones est un joueur de complément idéal et les Lakers disposent déjà d’un male alpha, le Shaq. Kobe Bryant s’agace chaque année, d’abord pour ses allers et retours entre le cinq majeur et le banc, puis à propos de son positionnement. Il veut jouer arrière, poste qu’Eddie, sans piper un mot, garde au fil des matchs. Avec le Shaq, l’ambiance n’est pas au beau fixe puisque le jeune Kobe cherche à imposer sa loi. Le plus expérimenté Jones ne dit toujours rien et continue de faire le travail. Sa relation avec le Shaq est des plus complémentaires, lui qui sait parfaitement se placer dans un rôle de lieutenant. Finalement, Eddie Jones gagne son duel à distance et Kobe Bryant, qui peine à trouver sa (considérable) place dans l’effectif, est échangé en janvier 2000 contre Vince Carter dans le deal le plus dingue de la décennie très probablement. Carter jouant à l’aile, Jones s’adaptant parfaitement en 3e larron derrière Vince et le Big Cactus, les Lakers dominent comme jamais. Véritable rouleau compresseur, ils enchainent les succès et glanent donc 2 titres d’affilé. Oui car du coté de Jones c’est déjà le 3e du coup, quand il n’arrive pas en finale de Conférence ou finale NBA. Malgré les lubies de son GM de l’époque et les décisions parfois étranges qui ont émaillé la fin du mandat de Kcnarf senior, Jones, aka la moustache la plus sexy de la NBA, confirme chaque année son profil all around à l’arrière. Complet en attaque, redoutable en défense, il est ce joueur pas forcément spectaculaire mais à qui il ne manque rien, que ce soit en termes technique ou au niveau du basket IQ. Un modèle. En 8 saisons à Los Angeles il empile titres, distinctions personnelles et victoires pour être considéré comme l’un des meilleurs arrières de la Ligue, lui qui gagne plus que n’importe quelle star (coucou tu sais qui !!). L’altruisme dont il fait preuve permet aux Lakers de gagner mais lui fait manquer (trop) souvent le match des étoiles. Ses 4 sélections sont presque une insulte à son apport et son talent (dont seulement une durant sa période à Los Angeles). Mais peu lui importe car il n’est jamais plus heureux que lorsqu’il gagne, encore, et encore, et encore. Pourtant en 2002, Kcnarf décide d’exploser son roster, possiblement par lassitude, mais aussi par manque de clairvoyance et échange son arrière à tout faire contre le first pick à venir. On aurait pu valider ce mouvement, un joueur de 31 ans contre le premier pick d’une draft, si coté Lakers on n’avait pas sélectionné le plus gros bide de l’histoire de la franchise. Cleveland peut avoir le sourire et ne s’en prive pas. L’arrivée de Jones marque un changement de dimension pour la franchise de l’Ohio, qui retrouve les Play Offs. Eddie Jones marque ses records dans tous les compartiments du jeu. Tenez vous bien, 22.7 points, 7.6 rebonds, 5.2 passes et 2.6 interceptions, c’est sa ligne statistique sur la saison. Dans la course pour le MVP, que Paul Pierce emporte finalement, probablement aidé par son parcours de champion cette année, Jones impressionne. C’est bien simple, en une année il est All Star, All First Team, All First Défensive team et leader au classement des interceptions (qu’il remportera 3 fois dans sa carrière). L’année suivante, notre Benjamin Button du basket continue de remonter le temps et choisit de laisser plus de place au jeune Michael Redd. Cleveland cartonne la saison et atteignent les finales de Conférence, embêtés par les blessures face à des Knicks qui ont depuis accueilli une ancienne connaissance de Jones aux Lakers, un certain Shaquille O Neal. Si Cleveland est une moins grande réussite pour Jones que sa période aux Lakers, le joueur aura fait ce qu’il a toujours fait depuis le début, jouer et même très bien. Récemment transféré aux Warriors après une dernière année difficile aux Cavs (34 matchs seulement), il retrouve encore une équipe compétitive, qui vise le titre. Lui qui fêtera ses 36 ans cette année encadre idéalement un groupe de jeunes joueurs ultra talentueux à la recherche d’une domination pérenne. Une histoire déjà vécue pour le garçon qui a grandit sur les plages de Pompano en Floride, lui qui s’est bien retrouvé dans cette situation en 1996, quand il avait tout juste 24 ans. Né sous le soleil et prédestiné à briller, il pourrait bien aujourd’hui apporter un peu de sa lumière à tout un groupe de Warriors, un nom de franchise définitivement fait pour lui.
Palmarès :
- 3 x Titre Champion Lakers 1997, 1999, 2000
- 1 x Finale NBA Lakers 1998
- 4 x All Star Lakers 1998 / Cavaliers 2002, 2003, 2004
- 5 x All Defensive First Team Lakers 1998, 1999, 2001 / Cavaliers 2002, 2003
- 1 x All League Second Team Lakers 1998
- 1 x All Defensive Second Team 2000
- 2 x Finale Conférence Lakers 2001 / Cavaliers 2003

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2e place :
RAY ALLEN (34.4 min / 26.3 points / 5 rebonds / 3.8 passes / 1.3 steals)
Individuellement, il est possiblement l’arrière le plus dominant de la dernière décennie. C’est bien simple, hormis l’année de sa draft, il n’a jamais raté un match des étoiles. Aujourd’hui, il peut être considéré comme le meilleur shooteur de l’histoire de la Ligue rien que ça. Et les nombreuses récompenses et distinctions personnelles sont là pour le légitimer. Outre ses dix invitations au All Star Game, on peut y ajouter six nominations en All first team (en 10 ans, aucun joueur n’en compte autant à l’exception de Tim Duncan qui vient de l’égaliser cette saison), une en All seconde team, une autre en All Third Team. Pour faire plus simple, vous enlevez sa saison rookie et celle qui vient de s’écouler et vous avez un joueur qui a toujours figurer dans les All team de l’année, dont 75% en first. Exceptionnel.
Mais cela ne s’arrête pas ici puisqu’il collecte également deux positions de scoring leader en 2000 et 2006 ainsi qu’un MVP 2004 historique car il fut le premier à le gagner sans accéder aux Play Offs. D’ailleurs, ce fut suite à ce « scandale » que la confédération des GM fut créé afin d’avoir l’opportunité de voter eux même pour les distinctions de fin d’année, au sein d’une sorte de consortium mis en place en parallèle à celui de la Ligue (déjà fragilisée par l’absence de nomination du Shaq pour ce même trophée malgré ses années de domination).
Mais revenons à Ray, pourquoi donc, avec tant d’accomplissement personnel et de domination le joueur ne truste t’il pas ce classement ? Et bien c’est simple, son armoire à trophées individuels est inversement proportionnel au vide que compose ses accomplissements collectifs. Si durant les neuf saisons passées à Milwaukee, le GM Sylvester n’a jamais rechigné à créer une équipe compétitive autour de Ray Allen, les déceptions et espoirs déchus furent bien trop nombreux. Qu’un joueur aussi dominant que Allen ne comptabilise que 52 matchs de PO au cours de ses années dans le Wisconsin « is such a shame » comme on dirait au pays de l’Oncle Sam, d’autant plus quand on sait qu’il n’aura atteint qu’une seule finale de conférence en 1998. La moitié de ses participations en PO se sont soldées par une élimination au premier tour, et malgré un niveau de jeu à la hauteur de son surnom « Jésus », il n’a jamais pu porter réellement son équipe. Pire, il a subit des upsets absolument terribles comme en 1999, où, après une finale de Conférence l’année précédente, Milwaukee subit la loi de San Antonio dès le premier tour avec une série pliée en 4 manches. Ray Allen a donc cette réputation du joueur magnifique, irréprochable, incroyablement dominant en saison régulière, mais qui ne réussit jamais en Play Offs. Nombreux sont les spécialistes à avoir critiqué les choix de son GM des Bucks, pas toujours bien avisé et trop concentré à souhaiter le mettre dans les meilleures positions sans pour autant penser à l’équilibre d’une équipe sur laquelle il tirait parfois trop la corde. Pour preuve, cette année 2004 où Allen finit bien MVP mais à une triste 10e place de conférence. Un bien maigre lot de consolation, qui ravira son GM mais laissera fans et spécialistes dans l’incompréhension la plus totale. D’ailleurs le fil semble alors cassé avec Sylvester, et Allen pense alors à quitter sa franchise de toujours. Ce sera fait quelques mois plus tard puisque Allen est alors transféré contre un nombre record de Tdd dans un deal à 3 envoyant Anthony Parker à Chicago et donc Rayray à Dallas. A noter que le GM des Bucks, pour qui l’amour éprouvé pour Allen n’est plus à démontrer, a tenu particulièrement à ce que son FP puisse intégrer une équipe en position de prétendre au titre final, tout en comprenant que la direction de sa franchise n’était plus en adéquation avec les ambitions de son joueur.
Allen intègre alors une équipe qui sort d’une saison magnifique à 70 victoires en SR et d’une belle finale de Conférence. L’arrivée d’Allen est sensée être le déclic qui manque à Dallas pour aller gagner le titre et Dallas est sensé représenter cette franchise qui peut permettre à Ray Allen de toucher enfin l’ultime trophée. Si la saison n’est pas aussi fabuleuse que la précédente, Dallas continue de truster le haut du classement et fait parti des favoris. Allen continue d’accumuler les sélections au All Star Game et une First Team en fin de saison, mais l’arrivée en PO fait ressortir les vieux démons. Si le premier tour se passe sans trop d’encombres, les Mavericks rencontrent des Sonics portés par un James de gala qui écartent assez facilement Dallas après que Pop ai décidé de placer Allen à la mène de façon incompréhensible, ne faisant absolument pas honneur à son récent titre de GMOY gagné quelques semaines auparavant. Aujourd’hui le meilleur accomplissement collectif d’Allen reste, et de loin, cette superbe finale de conférence en 1998/1999 perdues après 7 matchs d’une exceptionnelle intensité face aux dominants Lakers qui n’auront surement pas connu plus difficile confrontation durant leur assise sur ces années.
Son talent ne souffre d’aucune contestation mais le parcours du joueur divise, considérant cette dichotomie caractérisée entre la réussite et domination individuelle et ses résultats collectifs.
Les années passent, et le prime d’Allen est assurément derrière lui. A 31 ans, il reste néanmoins l’un des meilleurs joueurs à son poste et dans une équipe compétitive qui prétend légitimement à la victoire finale. Autour d’une équipe composée de Shawn Marion, Pau Gasol, Erick Dampier et Luc Ridnour, il fait figure de vétéran dans une équipe pourtant expérimentée et techniquement très forte. La fenêtre est encore ouverte mais se réduit année après année et si le très doué arrière veut montrer qu’il peut aller au bout dans une position de titulaire affirmée, il lui faudra briser le signe indien afin de forcer le destin. Son talent le mérite bien.
Palmarès :
- 10 x All Star Bucks 1997, 1998, 1999, 2000, 2001, 2002, 2003, 2004 / Mavericks 2005, 2006
- 1 x Finale Conférence Bucks 1998
- 6 x All League First Team Bucks 1998, 2000, 2001, 2002, 2004 / Mavericks 2005
- 1 x All League Second Team Bucks 1999
- 2 x Scoring Leader Bucks 2000, 2004
- 1 x All League Third Team Bucks 2003
- 1 x MVP Bucks 2004

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1ere place :
KOBE BRYANT (32.8 min / 23.1 points / 4.7 rebonds / 3.8 passes / 1.3 steals)
Pourquoi Kobe Bryant devant Ray Allen ? Si vous avez lu le précédent paragraphe, vous vous douterez surement bien de la réponse. Kobe a remporté un titre. Certes en début de carrière, un an après son arrivée dans la ligue et certes au sein d’une équipe des Lakers ultra dominante mais à laquelle il a apporté un écho certain. En creusant un peu plus, on note également que Kobe a également atteint deux fois la finale NBA (sans compte son titre) et une finale de conférence.
En l’état, Kobe Bryant est donc le seul arrière à cumuler domination individuelle majeure tout au long de sa carrière et résultat collectifs probants. A seulement 28 ans, il comptabilise déjà plus de 100 matchs de Play Offs en carrière.
Et pourtant sa carrière est loin d’être un long fleuve tranquille. Drafté dans sa franchise de cœur à tout juste 18 ans, le jeune Kobe impressionne comme rarement. Son jeu tout en moove, ses capacités physiques, sa gestuelle et a propension à planer quand il s’approche du cercle rappelle indubitablement un certain Michael Jordan. Coté Lakers, on se frotte les mains, le gamin est doté d’un talent rare et d’une mentalité de champion. Bête de travail, il impose et en impose, dès le plus jeune âge, rappelant de façon presque troublante « His airness ». Cependant il n’arrive pas dans une équipe déserte comme l’était les Bulls en 1984. Les Lakers ont déjà une superbe équipe composée de joueurs confirmés tel que Elden Campbell, Cedric Ceballos, Eddie Jones, et vient tout juste d’accueillir Donyell Marshall ainsi qu’un certain Shaquille O’Neal en provenance d’Orlando. L’équipe n’est pas là pour se construire mais pour gagner, et Kobe doit alors monter dans le train lancé à pleine vitesse. Ca tombe bien, Bryant veut tout, très vite et à tout juste 18 ans, il joue déjà comme si c’était sa dernière saison. Il a autant de caractère que de talent, et les premiers mois passés entre le banc et l’équipe titulaire n’est pas forcément pour lui plaire. Mais avec tous ces coqs dans la bassecour, il faut bien que le GM compose. L’équipe finit à 60 victoires mais échoue en finale de conférence face au futur champion, le Jazz. Les Lakers sont talentueux mais trop déséquilibrés, notamment à la mène. Qu’à cela ne tienne, la saison suivante, Kcnarf décide de consolider sa base et surtout son quatuor Jones-Bryant-Marshall-O’Neal tout en faisant venir un duo à la mène : Terrell Brandon et Darell Armstrong. Le monstre est né ! L’équipe est injouable et remporte 73 victoires, record NBA. En Play Offs ils explosent tous leurs opposants et seul les Nuggets réussissent à leur prendre 2 matchs. Fin de saison, 88 victoires pour 11 défaites, post season incluse. Mais dans cette orgie de réussite, Bryant bien que victorieux grince des dents. Avec autant de talent dans l’équipe, il faut partager le ballon, et le jeune joueur n’émarge qu’à 13.7 points par match en 24 minutes. Ses mains sont brulantes, lui qui veut vraiment imposer sa patte sur la ligue. L’année suivante, il repart sur les mêmes bases, malgré ses revendications et se blesse durant la saison. Revenu pour les Play Offs, il alterne entre sortie de banc et 5 majeur, le coach ayant encore beaucoup de mal à lui trouver sa place, bien conscient du joyau qu’il a dans les mains mais incapable de pouvoir complètement contenter tous les prédateurs qu’il a dans son groupe. Pourtant Shaq lui s’éclate pleinement, n’est jamais discuté au point d’énerver passablement Kobe qui lui reproche son laxisme à l’entrainement et ses nombreuses incartades sur la gestion de son poids, notamment en retour de vacances. M’enfin on pourrait s’en contenter si la victoire était au bout. Sauf qu’elle ne l’est pas. Malgré une saison encore écrasante, les Lakers subissent la loi du Heat en finale NBA, qui l’emporte en 6 manches. Les tensions en interne sont alors plus élevées que jamais. Entre la position indiscutable du Shaq dans le groupe, le sérieux d’Eddie Jones à l’arrière empêchant Kobe de jouer à son poste préférentiel et l’incertitude tactique entourant son rôle pour le coach de l’équipe, on se demande seulement combien de temps cela pourra durer ainsi. Si Kobe gagne des minutes et une place de titulaire indiscutable à l’aile en début de saison 1999/2000, les discussions se font nombreuses en interne. Il faudrait bien une offre immense pour libérer Bryant … sauf que … sauf que celle ci arrive puisque les Warriors ont choisi de miser sur le jeune Kobe. Le blockbuster trade de la décennie est acté, Kobe Bryant s’en va du coté de la Baie et c’est un jeune Vince Carter, ancien premier choix de draft et ailier de très grand talent qui tient amplement la comparaison avec le jeune Kobe, accompagné d’un first pick qui partent en retour chez les Angelinos. Bryant quitte alors sa franchise de cœur, pour rejoindre une équipe ambitieuse certes, mais qui demeure bien loin du niveau des Lakers. Mais ici, il aura tout à fait le loisir d’imposer son jeu et son talent sans gêne. Avec pour seuls lieutenants un jeune Baron Davis qui peine à convaincre et un (très) vieillissant Karl Malone, Kobe Bryant explose enfin. 24 points la première saison, 31 points la saison suivante puis 32 points après. Le talent qu’on lui promettait à ses débuts éclot à la lumière de la NBA, de quoi rafler de nombreuses récompenses individuelles dont un trophée de MVP à seulement 23 ans, rejoignant Kareem Abdul Jabbar et Wes Unseld parmi les plus jeunes lauréats.
L’équipe des Warriors tâtonne pourtant beaucoup, avec des saisons régulières qui peinent à convaincre et surtout des éliminations en Play Offs au premier tour, beaucoup trop régulières et abruptes au goût du prodige. Certes Bryant est un superbe joueur mais peut il faire gagner son équipe ? Shaq l’a prouvé malgré les critiques qu’il a subi de son ancien partenaire, et les running gags concernant Kobe s’accumulent dans la presse. Pourtant, si la deuxième saison au Warriors est catastrophique sur le plan des résultats (36-46) malgré une nouvelle qualification en PO, la 3e est d’excellente facture, mais le premier tour est encore infranchissable pour la bande californienne, subissant un sweep retentissant contre les Rockets.
Aux Warriors, on ne trouve pas la solution en interne et c’est finalement un échange qui va pousser un changement de visage pour les deux franchises impliquées. Retour aux bases pour Golden State qui échange le joyau contre un package record de 6 premier tours de draft ainsi que Kirilenko (un petit joueur) aux Sixers du très controversé et loufoque Dwade. On récapitule donc avec le recul ce qu’a donné ce transfert :

Andrei Kirilenko, Leandro Barbosa, Mehmet Okur, Mo Williams, Dwight Howard et un pick qui sera du package pour amener Chris Bosh dans la baie.
Oui oui on a bien tout retracer, et ce ne fut pas simple tant le GM des Warriors apprécie (un peu trop) son travail…

Voilà voilà ce qu’aura couté Kobe Bryant. Récent nouveau manager de la franchise, Dwade envoie alors tout son coffre fort, ses chèques vacances et sa grand mère pour s ‘attacher les services du récent MVP. Les Sixers sont alors dans les méandres de la Ligue, pris en otage par un GM qui ne jure que par un tanking honteux et qui finiront à 11 victoires (nous ne parlerons pas des excentricités tactiques du GM). Kobe est pourtant bien retourné chez lui, à Philadelphie, mais l’équipe est une véritable terre brulée, tout ce qu’il n’a jamais souhaité. L’opposé de Lakers fin 90’s qu’il doit à ce moment précis bien regretter. La farce dure un an seulement avant que Dwade ne soit renvoyé illico presto d’une décision collégiale venant de la franchise et appuyée par la Ligue entière. Kobe est alors de retour aux affaires, et peut alors compter sur l’ambition du tout nouveau GM Noir&Blanc. Si la première saison est une transition nécessaire où les Sixers manquent les Play Offs mais ajoutent 14 victoires à leur bilan précédent, les suivantes sont une montée en puissance pour la franchise entière, portée par Kobe, mais également par des joueurs de talent tels que Richard Jefferson ou le jeune Chris Bosh. En 2004 retour en PO, et les Sixers écartent les Pistons d’un revers de main au premier tour avant de rendre les armes au niveau suivant. Agaçant mais pas décourageant pour autant. La saison qui suit voit l’arrivée de plusieurs bons joueurs capables d’entourer idéalement le talent goinfre du dénommé Black mamba. Okur, Hinrich d’abord, puis Jerome James et Webber ensuite. Les Sixers se renforcent et Kobe prend du pouvoir. La saison 2005 est pleinement réussie, avec 61 victoires au compteur et ne s’achève qu’après une finale NBA aprement disputé face aux Spurs (4-3). L’avantage d’une telle situation reste que le GM garde les mêmes ambitions que son franchise player et continue de chercher la victoire à tout prix. Exit Webber et Hinrich, bonjour Allen Iverson pour le duo le plus percutant de la draft 1996, un véritable fantasme, presque tardif qui vient ajouter la touche finale au projet de domination des Sixers. Kobe est entouré, mais cette fois ci et contrairement à sa période Lakers, il est dans une position de leader. Son scoring a baissé avec le partage de la gonfle, mais il n’est pas discuté, il est le capitaine du navire.
Kobe Bryant a un appétit des plus féroces et reste déterminé à gagner cette bague pour enfin montrer au monde du basket que son talent est digne d’amener une équipe à la victoire finale. Si rejoindre Shaq au panthéon des plus grands vainqueurs (lui qui a déjà 5 victoires à son actif) semble difficile, obtenir une seconde bague pour des mains aussi douées serait du plus bel effet et ne rendrait que justice à son immense talent qui continue de bouillonner, de brûler et même de crier à qui veut l’entendre qu’il arrive et qu’il ne laissera rien à personne.
Palmarès :
- 1 x Finale de Conférence Lakers 1996
- 1 x Titre Champion Lakers 1997
- 1 x Finale NBA Lakers 1998 / Sixers 2005
- 8 x All Star Lakers 1998 / Warriors 2000, 2001, 2002 / Sixers 2003, 2004, 2005, 2006
- 3 x All League First Team Warriors 1999, 2001 / Sixers 2006
- 4 x All League Second team Warriors 2000 / Sixers 2003, 2004, 2005
- 1 x Scoring Leader Warriors 2001
- 1 x MVP Warriors 2001

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ALL TEAMS OF THE DECADE

1st: Mike Bibby - Kobe Bryant - ? - ? - ?
2nd: Allen Iverson - Ray Allen - ? - ? - ?
3rd: Anfernee Hardaway - Eddie Jones - ? - ? - ?
4th: Steve Nash - Anthony Parker - ? - ? - ?
5th: Jason Terry - Kerry Kittles - ? - ? - ?
6th: Damon Stoudamire - Manu Ginobili - ? - ? - ?
7th: Terrell Brandon - Michael Jordan - ? - ? - ?
8th: John Stockton - Michael Redd - ? - ? - ?
9th: Gary Payton - Doug Christie - ? - ? - ?
10th: Sam Cassel - Allan Houston - ? - ? - ?
11th: Chauncey Billups - Brent Barry - ? - ? - ?
12th: Jamaal Tinsley - Reggie Miller - ? - ? - ?
13th: Andre Miller - Richard Hamilton - ? - ? - ?
14th: Steve Francis - Erick Strickland - ? - ? - ?
15th: Rod Strickland - Jamal Crawford - ? - ? - ?
16th: Tim Hardaway - Dwyane Wade - ? - ? - ?

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PopJH13

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by PopJH13 » 26 June 2020, 14:51

Dallas NBA News

NBA World Champions 2006 ! À qui le tour ? 1/4

Depuis 96, plusieurs équipes se sont démarquées en étant championnes NBA :
Les Lakers en 97/99/00, les Knicks en 03/04, les Nuggets en 01/02, le Jazz (si si) en 96, le Heat en 98, les Spurs en 2005.

Depuis 99, chaque franchise ayant remporté le titre a fait un back to back, les Spurs poursuivront-ils cet exploit ? C'est le sujet du nouvel article du Dallas NBA News !

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Bulls - Pistons

À 3-0 dans cette série, autant dire que ça commence mal pour Détroit, pourtant, nombre d'observateurs pensaient que si les Pistons ne pouvaient faire tomber les Bulls, ils pourraient au moins les gêner, hors pour l'instant pas un seul match vraiment accroché, malgré des matchs au rythme lent et en jeu placé apprécié par Détroit.

Pronostic de la rédaction : 4-1 Bulls

NY - NJ :

2-1 pour les Knicks dans ce derby New-Yorkais, les revanchards champions 2003/2004 affrontent la belle surprise de cette saison, les Nets, même handicapés des pertes de Alston et Pietrus, je ne vois pas les Knicks du toujours aussi dominant Tim Duncan s'incliner contre cette belle escouade du New Jersey.

Pronostic de la rédaction : 4-2 Knicks

Sixers - Cavs

L'autre excellente surprise de la saison, les Cavs d'un GM extrêmement inspiré (envoie Tyson) affrontent les redoutables finalistes sortants de Philadelphie. Un avantage de 2-1 a été pris par la cité de l'amour fraternel, ce qui est presque une bonne chose pour Cleveland tant l'écart semble énorme entre les deux équipes, c'est bien simple je ne vois aucun poste hormis celui de pivot où les Cavs seraient au-dessus. Malgré cela, la saison des Cavs et d'ors et déjà réussie et ils n'auraient pas à rougir, bien au contraire !

Pronostic de la rédaction : 4-1 Sixers

Hornets - Celtics

La série des grands blessés, la liste est longue, Anthony, Hermann, et McClintock côté Boston, Stoudemire et Paul côté Hornets.
Remonter un déficit de 3-0 paraît compliqué voire impossible pour cette équipe de Boston, surtout avec un GM aussi peu inspiré. Sans ses deux stars la suite risque d'être compliquée pour le GM Fredo.

Pronostic de la rédaction : 4-0 Hornets

Spurs - Pélicans

3-0 pour les Spurs, les Pelicans sont privés de Joe Johnson, ça s'annonce, vous l'aurez compris chers lecteurs, compliqué. En effet jouer les Spurs en PO n'est jamais simple, malgré ce clown d'Alexis en GM. Les deux GMs les plus surcôtés de la ligue s'affrontent donc, et le résultat sera sans appel..

Pronostic de la rédaction : 4-0 Spurs

Warriors - Jazz

Dans cette série à l'apparence déséquilibrée, c'est finalement le Jazz qui mène 2-1.
Du côté de la rédaction on a du mal à comprendre la réaction du GM des Warriors, en effet malgré son unique victoire pour deux défaites, il a quand même fait en 3 matchs une seule victoire de moins qu'avant en 22 !!!
Outre cet aparté je n'imagine pas un instant les Warriors perdre cette série, malgré le génie tactique sans précédent du GM des Jazz

Pronostic de la rédaction : 4-3 Warriors

Mavericks - Lakers

Malgré le scepticisme des observateurs, les Mavericks sont devant par 3 victoires à zéro, malgré cela on reste méfiant pour Dallas, en fait non mais on dit qu'on l'est pour faire en sorte de pouvoir dire qu'on avait bien dit que tout était possible. La coach des Lakers est néanmoins extrêmement... Compétente donc on peut s'attendre à un ou deux matchs pris par ces derniers.

Pronostic de la rédaction : 4-1 Dallas

Sonics - Suns

Jujug en PO, ça annonçait une catastrophe imminente (non pas Rhéa bande d'enfoirés).
Et ce qui devait arriver arriva, avalanche de blessures pour les Sonics, dans ces conditions, difficile d'être à son meilleur niveau, mais le très bon coach sophomore de Seattle a montré qu'il savait gérer une équipe, résultat ? 3-0, sans appel.

Pronostic de la rédaction : 4-0 Seattle.

Alexis

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by Alexis » 26 June 2020, 22:49

On avance à San Antonio


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Je garde le format précédent. Un game au programme et un second en cas de défaite, tel était le programme des festivités pour ce soir. L'objectif était la qualification et pas de blessure.



Bilan de la vague :

- Victoire 107-85 : et la qualification est assurée dès un game 4 rondement mené ! +12 après un quart temps, +27 avant le quatrième.
Côté titulaires le match aura été très solide, avec la totalité du différentiel qui est de leur fait. Le duo Dirk / Pierce aura livré un récital avec 2 shoots ratés en cumulé (tous pour Dirk), 100% aux LFs et 44points en 54'. Mention spéciale pour Pierce, homme du match et en mode monsieur propre : 8/8, 4/4 à trois, 2/2, avec 6 rebonds, 6 passes (!), 2blk, 1 steal, le tout en 27'. Kendrick Perkins aura également réalisé un joli match (9rebonds, 3blk en 21'), permettant à l'équipe de creuser un écart définitif et de ne pas payer le foul trouble précoce de Tinsley (4 fautes, 10minutes) et le petit match de Ginobili.
Côté bench unit, Ben Gordon aura été une nouvelle fois excellent (32points à 13/22) et le meilleur différentiel du bench, permettant de masquer le gros trou d'air de son fidèle Garcia (0/8 au shoot) et de limiter la casse en attendant le retour des titulaires. Adonal Foyle (6reb) & Tony Battie (10pts) auront assuré la rotation en pivot, de même qu'Harpring (+12 en différentiel) et Croshere (4pts 4rebonds) celle de power forward.

Globalement, même schéma poussé à l'extrême cette fois-ci : ce ne sont pas 10 mais 20 possessions supplémentaires au crédit des Pels (+10TO, -10 rebonds off), mais les écarts d'adresses & de défense étaient tels que cela s'est malgré tout terminé en blowout. André Iguodala aura enfin été muselé (21pts mais à 6/19 en 42').
A taffer pour le prochain match : régler ce problème de possession, à tout prix.


Bilan :
Premier tour rondement mené. L'essentiel était la qualification et pas de bobo, et c'est mission accomplie. La manière aura été présente dans l'ensemble, avec 2 games qui se terminent à 20+, et 2 matchs au couteau avec notamment une overtime. Maintenant, la suite du programme s'appelle Utah, le "GM winner" comme il aime s'appeler au réveil devant la glace. Avec quelques déclarations tapageuses au cul ("Harrington c'est un Dirk qui sait jouer au ballon" "L'allemand là ? De la merdasse !" "Al le sait, Dirk s'inspire de lui dès qu'il le peut, il va lui rappeler qui c'est le maître s'ils s'affrontent en playoffs ! Enfin, s'affrontent... si Dirk se crashe sur le mur Harrington plutôt, ce serait plus juste."


Alexis : "See you on tuesday, bitch ! Le jazz on va se les farcir façon dinde à Noël !

Rhea

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Re: [24" BASKET LEAGUE] Publications

Post by Rhea » 27 June 2020, 00:33

Utah, c'est plus fort que toi

Interview d'après-match du GM du jazz, déjà le cigare au bec tel le premier Mark Cuban venu.
Mr Rhea, vous devez être très content de la qualification, vous vous y attendiez?
Vu comment on s'était fait peler le cul toute la saison, pas trop. J'avais prévu de me servir de ça pour tout casser et faire n'importe quoi comme d'habitude, ces cons contrarient mes plans. Non, je plaisante, je ne suis plus comme ça. Sérieusement, je pensais que nous sortirions rapidement, éliminés 1-4, à la fois par manque d'expérience et car l'effectif des Warriors est très fort. Malheureusement, et je compatis avec mon ami GM Val, son équipe est complètement passée au travers, ce dont nous avons sur profiter en début de série.

Il ne nous restait alors plus qu'à être forts à la maison pour conserver l'avantage, ce que nous avons su faire. Mais si ca allait au 7ème match, je suis persuadé que vous interrogeriez le GM des dubs plutôt que moi.

Je tiens quand même à féliciter les garçons qui se sont donnés à fond, entre Jelani en mode block party, Brandon qui n'a pas démérité face à la bestiasse qu'est Kirilenko, ainsi qu'Al et Michael qui ont été exceptionnels. Et je n'oublie pas Raymond, qui a tellement rempli son rôle de sangsue qu'il en a éteint un excellent meneur comme Bibby. Mais il nous avait prévenus avant : "Après la série, vous m'appelerez 'Raymond fait le taf''
Au sujet du prochain tour, votre compère texan a déjà commencé à vous charrier, y'a t-il une part de vrai dans ce qu'il a dit?
Oui, j'assume que pour motiver Al en début de saison à se dépasser, j'ai essayé de rentrer dans son esprit pour le convaincre qu'il était le meilleur. Vous noterez que ca a plutôt bien réussi. Mais c'est pas très Charlie de la part d'Alexis de ressortir des discussions privées pour de la motivation.
Vous pensez avoir une chance de qualification?
Il y a toujours une chance de qualification, fut-elle minime, sinon, ca sert à rien de venir. A titre personnel, du top 4, les spurs et leur armée mexicaine m'ont toujours paru les plus prenables car leur cinq est plus fort, mais pas leur banc. Donc à partir du moment où on a battu les Dubs...Mais dans tous les cas, que Dirk ou Gino s'attendent à rôter du sang, nous saurons les recevoir. Et Al est déjà bien chauffé par les déclarations d'Alexis, que Dirk s'attende à prendre 50 points sur la mouille à un moment. Et Cuttino a promis qu'il allumerait quelques pétards contre ce GM qui l'a snobé dans son prime.
Un dernier mot Mr Rhea?
Dites à mon Alexis qu'une seule équipe a sortir le Jazz en PO. Et c'est les mavs. Donc il n'a aucune chance.
Thats your opinion. But opinion is just a combination of Pi and Onion, and since no one likes maths and onions make you cry, your argument is invalid.

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