Euh, la structure qui tue le vélo, c'est un peu fort. C'est une équipe qui tourne à 30-40 victoires par saison, mais ça marque toute le monde car ils dominent les GT et verrouillent les courses.Rhea wrote: ↑14 March 2019, 21:18Alors oui c'est toujours bien qu'une structure se pérennise. Mais quand c'est la structure qui tue le vélo à petit feu par contre, ca me dérange un peu plus.
J'aurais préféré qu'un repreneur plus petit arrive, que ca les oblige à se débarasser des Poels et cie qui seraient leader ailleurs et que ceux ci aillent faire les leaders ailleurs, ce qui aurait aussi le mérite de rendre les courses plus ouvertes
Quick-Step par exemple, depuis 2012, c'est au minimum 50 victoires par saison, des pics à 60 et 73 l'an dernier ! Les Classiques, ils te les verrouillent d'une force. Et encore, "heureusement" qu'ils perdent à chaque fois leur gros sprinter (Kittel puis Gaviria), sinon ils te sortiraient 80 victoires sur une saison.
Astana, grosse structure aussi qui te sors des saisons à 30 victoires. Cette année ils sont partis pour faire un très gros score.
Il est nécessaire d'avoir de grosses têtes d'affiche. Je regrette le départ de la BMC, qui était une machine de guerre, ça ta tapait du 40 victoires par saison aussi. Le repreneur CCC est arrivé trop tard, l'effectif a été démantelé, dommage.
Les courses sont pas mal ouverte je trouve. Les Poels et cie, ils préfèrent l'argent aux victoires, c'est pas une mentalité de leader. On disait que Landa devait quitter la Sky pour être leader ailleurs, mais on voit qu'il n'a pas (encore ?) les épaules. Bientôt 30 ans, un beau petit palmarès mais pas ce qu'on lui prédisait.
Henao a eut sa chance, il a gagné un Paris-Nice, mais derrière il n'a pas assumé. Et maintenant, les "vieillissant" Henao, Poels, Castroviejo voient arriver les nouvelles pousses comme Bernal voir Sosa et ils vont devoir se mettre à leur service.
Il y a le contre exemple Viviani qui était bridé chez Sky et qui s'éclate à la Quick-Step.
C'est pas pire que US Postal, la Saxo avec Riis et surtout le barge Tinkov, Astana et ses coulisses obscures.