Vos souvenirs NBA Finals

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mamath1234

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Re: Vos souvenirs NBA Finals

Post by mamath1234 » 05 June 2018, 19:27

Ecoute tu peux croire que tu es une victime car tu n'aime pas James, c'est faux. Franchement, arréte juste de venir mettre du sel sur les postes de Sam et Sativa et prend sur toi.

Et ne dit pas que tu peux parler, mais parle basket. Sativa te répond basket, il a son point de vue qui n'est pas le tien, répond lui basket au lieu de (encore une fois) lui renvoyer son age. C'est avec des piques comme ça que ca s'envenime.

nunu

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Re: Vos souvenirs NBA Finals

Post by nunu » 05 June 2018, 19:28

Pour en revenir au débat sur les Cavs 2007, je sais en tout cas que c'est une des finales les moins passionnantes que jai vue. Surtout apres celle de 2006 qui était vraiment tres bien.

Apres on sait que easy il aime pas LeBron, c'est pas nouveau, on va pas le changer maintenant. Je comprend tout a fait qu'on aime pas LeBron. Moi qui l'aime bien, a sa première période Cavs j'étais pas super fan. Je trouvait le joueur trop bourrin, pas de shoot ou presque. Ce qui me l'a rendu plus humain c'est sa finale de 2011. Et sa finale de 2016 a finit de me convaincre qu'on voyait un des trois meilleurs joueurs de l'histoire (ce qui me l'a rendu sympathique aussi c'est que j'aime pas les Warriors)
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Easy

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Re: Vos souvenirs NBA Finals

Post by Easy » 05 June 2018, 19:34

Ben quand je te parle d’epque, de modèle d’équipe, de défense.
pour moi Cavs 2007> 2018

des joueurs moins bons mais plus disposés à jouer avec James.
Des RP qui se mettent le cul parterre pour la star offensive de l’équipe.

Snow cramé ? car t’aimes pas ses stats? Snow c’etait la voix des cavs qui « influait » James

Hughes? diminué car s’est arraché défensivement toute sa carrière.

Pavlovic: grand et surtout joueur qui n’a pas besoin d’un ballon

Varejao 4 a l’epoque : besogneux typique de cette période.

chaque joueur et je dis bien chaque joueur connaissait son rôle.
Cavs 2018 par comparaison c’est le foutoir.
Si t’es pas Korver tu sais pas trop quoi et comment le faire.

Love ne connaît toujours pas son rôle.
Hood est perdu
Clarkson pareil.
Les mecs prennent aucun plaisir c’est criant.
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Easy

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Re: Vos souvenirs NBA Finals

Post by Easy » 05 June 2018, 19:36

nunu: tu fais erreur.
James j’appreciais grandement avant 2011 ou c’est devenu une ..... fille facile et une diva!
avant cela seul le marché vs Washington dans le mega money time m’avait soûlé de lui
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LA_Bonne

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Re: Vos souvenirs NBA Finals

Post by LA_Bonne » 05 June 2018, 19:38

nunu wrote:
05 June 2018, 19:23
Je n'aime pas Kobe mais je reconnais que malgré tout ses travers c'est un grand joueur, mais c'est en partie ça qui m'énerve chez lui, ce coté je croque. le type il arrêtait jamais, sans un grand Gasol le titre il partait a Boston. Et puis croquer autant quand tu est défendu par RAy Allen ou Paul Pierce, c'est pas humain.
Gasol il avait Garnett sur le dos, je ne l'aime pas non plus, mais en défense c'est autre chose.
Je vois. C’est vrai que Gasol devait se farcir Garnett mais comme tu le dit Pierce, Rondo et surtout Allen ( les deux ^^) c’est loin d'être de la merde. Et puis de l'autre côté aussi c'est pas pareil. Tenir Ray Allen et Pierce c'est plus compliqué que de tenir un Garnett encore fort offensivement mais ça n'avait rien à voir avec sa période 2000-2008. Enfin Bref je trouve que KObe croque parce que c'est son rôle d'être agressif de créer des opportunités en attaquant le cercle et en attirant les défenseurs sur lui car derrière si ça ne rentrait pas Gasol avait juste à chopper le rebond et mettre le point ou un autre. De toute façon c'est clair que ce n'est pas ses meilleurs finales mais elle sont très intense et ne pas oublier aussi que Kobe a le doigt pété durant tous les play offs aussi.
'' I didn't appreciate Shaq until I played with Dwight "- Kobe Bryant :amen2:

nunu

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Re: Vos souvenirs NBA Finals

Post by nunu » 05 June 2018, 19:39

Ca je suis d'accord avec toi que 2007 c'est moins le foutoir que 2018. Mais en même temps cette année c'est n'importe quoi a Cleveland. A lépoque t'avais une philosophie, une identité, aujourd'hui ya plus grand chose.
Apres je pense que kevin Love est un meilleur joueur que tous les autres mecs de l'équipe de 2007 a part LeBron. Et que s'il avait joué dans l'équipe de 2007 il aurait été meilleur. Mais sur sa valeur c'est un bien meilleur basketteur que les mecs de 2007
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Easy

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Re: Vos souvenirs NBA Finals

Post by Easy » 05 June 2018, 19:43

nunu wrote:
05 June 2018, 19:39
Ca je suis d'accord avec toi que 2007 c'est moins le foutoir que 2018. Mais en même temps cette année c'est n'importe quoi a Cleveland. A lépoque t'avais une philosophie, une identité, aujourd'hui ya plus grand chose.
Apres je pense que kevin Love est un meilleur joueur que tous les autres mecs de l'équipe de 2007 a part LeBron. Et que s'il avait joué dans l'équipe de 2007 il aurait été meilleur. Mais sur sa valeur c'est un bien meilleur basketteur que les mecs de 2007
ben voilà au fond tu es d’accord avec moi. Il faut prendre en compte le contexte et pas le niveau intrasque des « noms »
Boobie en fdc c’était Craig Hodges le mec!
Pourtant sa carrière n’est même pas niveau proA
Love c’est un hof mais la c’est le niveau Rodney Rogers
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Re: Vos souvenirs NBA Finals

Post by Sativa » 05 June 2018, 19:45

Il joue très bien Love là

nunu

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Re: Vos souvenirs NBA Finals

Post by nunu » 05 June 2018, 19:46

Easy wrote:
05 June 2018, 19:36
nunu: tu fais erreur.
James j’appreciais grandement avant 2011 ou c’est devenu une ..... fille facile et une diva!
avant cela seul le marché vs Washington dans le mega money time m’avait soûlé de lui
Moi tu vois c'est linverse, je ne lui ait jamais reproché de partir a Miami, je lui ait juste reproché la façon dont il l'a fait. Mais le fait qu'il parte a Miami ça pas m'a plus choqué que Garnett et Allen a Boston.

Les marché et trucs de jeu j'en tiens pas rigueur, il fait marché, les arbitres sont la pour le signaler. C'est pas a lui de dire désolé jai fait marcher je vais redonner la balle a mes adversaires. C'est pas le premier grand joueur qui a eu des décisions arbitrales favorables et ça sera pas le dernier, ça a toujours été comme ça. Et le sera de plus en plus.

Il mérite le respect pour sa carrière. Pour ses accomplissements. Je n'aime pas Jordan, mais je reconnais volontiers son talent et que c'est le GOAT. On ne peut pas aimer tout le monde.
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nunu

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Re: Vos souvenirs NBA Finals

Post by nunu » 05 June 2018, 19:47

Sativa wrote:
05 June 2018, 19:45
Il joue très bien Love là
I lest quand même bon un match sur deux. En défense c'est toujours pas ça, en attaque il étire bien le jeu. Mais son role pose problème. Et la c'est pas de sa faute
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Re: Vos souvenirs NBA Finals

Post by Easy » 05 June 2018, 19:52

nunu: je reproche pas son marché mais j’avais pas aimé mais sans plus.
C’est le seul mini truc

Durant
Garnett
j’ai pas aimé non plus (Boston c’etait par trade quand même)

mais les attitudes sont diamétralement opposés aux signatures

ps: a l’epoque je voulais biensur James a Chicago mais j’aurai adoré qu’il signe a NY

un heat avec Wade et Bosh
Chicago avec Boozer et Rose (oui à l’epoque Boozer faisait rêver)
et NY avec James j’aurai adoré
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Re: Vos souvenirs NBA Finals

Post by Sativa » 05 June 2018, 19:53

nunu wrote:
05 June 2018, 19:47
Sativa wrote:
05 June 2018, 19:45
Il joue très bien Love là
I lest quand même bon un match sur deux. En défense c'est toujours pas ça, en attaque il étire bien le jeu. Mais son role pose problème. Et la c'est pas de sa faute
En défense ça dépends. Au Game 1 dans le QT4 il a incroyablement bien défendu sur Durant et Curry. Au Game 2 il retombe dans quelques travers et refait de grosse séquences. Il est très irrégulier mais il peut être super bon en vrai

Spartacus

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Re: Vos souvenirs NBA Finals

Post by Spartacus » 22 June 2019, 14:39

1ère finales NBA :
- 1994 (en différé), Houston vs New-York, et là je me rends compte que les années passent très vite.

Celle que vous avez préféré et pourquoi :
- Depuis quelques jours, les finals 2019, je crois que je n'ai pas besoin de dire pourquoi. :D
J'espère avoir toute ma tête pendant de très longues années pour me souvenir de cette saison historique.

Celle que vous avez pas aimé voir détesté et pourquoi (niveau de jeu - style - équipes - supporter de l'équipe perdante...) :
- Dallas vs Miami en 2006, j'étais tellement dégouté pour Dirk...

Votre top (top 10, top 20, top 5 au choix avec une petite argumentation :
1 - Toronto 2019, la consécration d'une vie en tant que fans des Raptors
2 - Dallas 2011, la revanche du grand blond, icône d'une ville, symbole de fidélité
3 - San Antonio 2007, TP MVP des finals
4 - San Antonio 2003, 1er titre de TP
5 - Cleveland 2016, LBJ qui fait enfin triompher Cleveland, c'était beau à voir
Toronto Raptors, win or lose, here we stand.
We the Champs

nunu

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Re: Vos souvenirs NBA Finals

Post by nunu » 22 June 2019, 17:00

Spartacus wrote:
22 June 2019, 14:39
1ère finales NBA :
- 1994 (en différé), Houston vs New-York, et là je me rends compte que les années passent très vite.
C'est la même pour moi c'est vrai que c'est la que tu te dis que t'as pris un coup de vieux :lol:
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Re: Vos souvenirs NBA Finals

Post by Rhea » 22 June 2019, 20:21

1ère finales NBA :
- 1993 (en différé), le gros Chuck contre His Airness :D
- 2001 (en direct), Iverson qui fait trembler tout LA après un premier match d'extraterrestre :D

Celle que vous avez préféré et pourquoi :
- Dallas 2001 : Les mecs on les donne perdant à chaque tour parce cramés / trop vieux / pas assez bons. Et ils déglinguent tout le monde en mode "chiens de la casse"

Celle que vous avez pas aimé voir détesté et pourquoi (niveau de jeu - style - équipes - supporter de l'équipe perdante...) :
- Dallas vs Miami en 2006, comme mon cofilaire précédent
- Spurs vs Heat en 2013, pas besoin d'expliquer pourquoi je pense

Votre top (top 10, top 20, top 5 au choix avec une petite argumentation :
1 - Dallas 2011, les papys font de la résistance
2 - Bulls 1993, parce que mes premières
3 - Rockets 1994, les barbelés sont de sortie, et Houston l'emporte au bout du bout d'une finale irrespirable
4 - San Antonio 2005, la même chose, les coups de tatane en (un peu) moins
5 - Toronto 2019, parce qu'ils ont jamais rien lâché et rendus fier tout un pays
6 - Pistons 2004, un peu le même genre de victoire que celle de Toronto, mais les matchs étaient relativement peu serrés
7 - San Antonio 2014, les papys font de la résistance, le retour
8 - Cleveland 2016, Cleveland sur le toit de la NBA et ce chasedown block de batard de Lebron
9 - Bulls 1996, le roi reprend sa couronne
10 - Lakers 2001, pour le match d'Iverson + le fait que je les ai maté en direct pour la première fois
Thats your opinion. But opinion is just a combination of Pi and Onion, and since no one likes maths and onions make you cry, your argument is invalid.

Davidbachu_95

Rookie
40

Re: Vos souvenirs NBA Finals

Post by Davidbachu_95 » 29 July 2019, 22:49

Histoire d’animer un peu les discussions durant cette période NBA très calme estivale, je propose un petit échange/débat sur les meilleures équipes sur une saison à ne pas avoir été titrées. Etant donné que j’ai commencé à suivre la NBA dans les années 90, je n’ai sélectionné que des équipes sur la période 1990-2019. Si quelqu’un connait bien la période antérieure, ses propositions sont les bienvenues :D
Note : j’ai uniquement décidé de parler des équipes par ordre chronologique, parce que je trouvais pour ainsi dire quasiment impossible départager certaines équipes, en dehors peut-être des Warriors de 2015-2016. :D

PS: N'ayant pas réussi à créer un nouveau sujet, je poste ça là!


Houston Rockets 2017-2018

65-17 / Défaite en finales de conférence contre Golden State 4-3.

J’ai souvent critiqué le jeu des Rockets. Mais bon dieu, quelle efficacité à la fois en attaque et en défense. L’arrivée de Chris Paul amène ce qu’il manquait aux Rockets et la saison se termine en 65 victoires, malgré un certain nombre de blessures mineurs : Harden loupe 10 matchs, Ariza 15, Gordon 13, Paul presque 25…

Mais Coach D’Antoni est plein de ressources et pluie de 3 pts après pluie de 3 pts, les adversaires doivent s’incliner face à cette armada. Le duo Harden/Paul est parfaitement secondé par d’excellents rôles players comme Trevor Ariza, Eric Gorodn, P.J. Tucker, Clint Capela, Gerarld Anderson ou encore Luc Mbah a Moute.

En PO, les Wolves et le Jazz sont facilement écartés (4-1 à chaque fois). Arrive le vrai défi : battre les Warriors, renforcés par Kevin Durant, sur une série de PO. Au sorti du match 3, une victoire de plus de 40 pts des Californiens leur donne un avantage 2-1 dans la série : les Rockets semblent sonnées et incapables de trouver des parades aux artificiers des Warriors. Pourtant, ils réagissent au match 4 et surtout au match 5, durant lequel Chris Paul est ultra-clutch dans une fin de match serrée. Le match 6 à Golden State est à sens unique (115-86 pour les Californiens). Retour au Texas pour un match 7 qui s’annonce chaud-bouillant. En première mi-temps, l’équipe de Mike D’Antoni gère très bien la partie. 11 pts d’avance à la mi-temps. Et là, tout s’écroule. 27 paniers à 3pts de suite ratée pour Houston… Malgré cela, les Rockets ne sont pas larguées au score mais finissent pas s’incliner d’une petite dizaine de points de différence. 101-92.


Golden State Warriors 2015-2016

73-9 / Défaite en finales NBA contre Cleveland 4-3.

Champion en titre, les Warriors déroulent leur basket durant cette saison. Curry est intenable, Thompson et Green tiennent parfaitement leur rôle de lieutenants et d’autres rôles players de très grande qualité (Barnes, Iguodala, Bogut, Livingston, Ezeli, Barbosa, Rush, Speights) apportent leur pierre à l’édifice. Le record des Bulls de Jordan de 1995-1996 tombe. Stupeur générale. Qui pouvaient penser que ce record tomberait un jour ?

En playoffs, les Warriors écartent facilement les Rockets et les Trail Blazers (deux fois 4-1) avant de tomber sur un adversaire d’une toute autre qualité, à savoir le Thunder du duo Westbrook-Durant. Malgré l’avantage du terrain pour les Californiens, le deux équipes sont au coude-à-coude après deux matchs : 1 victoire chacun. Dans les matchs 3 et 4 dans l’Oklahoma, le Thunder est impitoyable : + 28 dans le game 3, + 24 dans le game 4. L’impensable semble se produire : le recordman de victoires en saison régulière semble au bord du gouffre, incapable de répondre à la dureté physique de son adversaire. Golden State trouve pourtant les ressources pour remporter le game 5. Bon, rien de dramatique, se disent les fans d’OKC. On finira à la maison au match 6. Grave erreur. Golden State l’emporte à nouveau. Dans le match 7, la team de Curry finit finalement par remporter la série, après avoir pourtant été menée 3-1 dans la série, avec en plus, il est bon de le rappeler, deux déculottés de suite.

En finales NBA, on prend les mêmes et on recommence : on a droit à la revanche de l’année d’avant. Cleveland se présente en véritable Don Quichotte de la balle orange, prêt à tout pour faire tomber le moulin à 3 pts de la Baie. Bien décidé à ne pas se retrouver dans la même situation critique que contre Oklahoma, Golden State enfile le bleu de travail et mène 3-1 dans la série, avec en plus des victoires plutôt aisées. (+10 minimum à chaque fois). Cleveland ne veut pas lâcher et remporter le match 5 à l’extérieur. Durant ce match, Draymond Green a la bonne idée de continuer ses coups vicieux et dangereux et à la NBA décide dans les jours qui suivent de le suspendre pour le match 6. Cleveland ne manque pas cette occasion en or : ils remportent le match 6 et s’offre le droit de rêver. Direction Oakland pour un match 7 à l’Oracle Arena ! Ce match est haché, crispé, tendu : on sent que les joueurs des deux équipes sont quelque peu tétanisés par l’enjeu. En fin de matchs, les Warriors se créent les plus grosses occasions pour prendre l’avantage, mais Curry ne trouve pas la mire à 3 pts et Iguodala voit le King d’Akron se téléporter et venir bloquer son tir. A un peu moins d’une minute de la fin, Irving profite des changements sur écrans des Warriors pour jouer le 1 contre 1 avec Curry. Profitant de sa plus grande taille, il enchaîne quelques dribles derrière la ligne à 3 pts avant de shooter. Ficelle ! Golden State ne se remettra jamais de ce coup de poignard.

Ce match 7 est un crève-cœur pour les Warriors. Alors que James finit en triple-double, qu’Irving ajoute 26 pts et que les rôles players font le taf à merveille, le bilan est beaucoup plus déprimant du côté de Golden State. Si Green sort le match de sa vie avec 32 pts, 15 rebonds et 9 passes, Thompson et Curry cumulent seulement 31 pts, à 12 sur 36 aux tirs et à 6 sur 24 à 3 pts…Ni Barnes, ni Livingston, ni Iguodala ne parvenant non plus à rentrer leurs tirs, Golden State s’incline après avoir semblé en mesure de s’affirmer comme la plus grande équipe de tous les temps…


San Antonio Spurs 2012-2013

58-24 / Défaite en finales NBA contre Miami 4-3

J’ai hésité avec cette équipe des Spurs de 2012-2013. Mention ou plus ? Finalement, j’ai estimé qu’elle avait tout de même sa place dans cette liste. Un peu d’histoire. Après le titre le 2007, les Spurs connaissent une période 2008-2010 de déclin évident, où le style Popovic ne semble plus adapté à la NBA moderne. Duncan et Ginobili vieillissent, tous comme les roles players, et seul un Tony Parker princier permet aux Texans d’encore se maintenir dans le haut de la ligue. En PO, le déclin se fait encore plus sentir qu’en saison régulière : finales de conférence en 2008, premier tour en 2009, demi-finales en 2010.

Puis arrive la saison 2010-2011. Les Spurs en ont marre et décident de disjoncter, dans le bon sens du terme. Les paniers à 3 pts résultant d’extra-pass s’enchaînent, la défense est toujours là, et cette équipe depuis toujours peu spectaculaire et prévisible se transforme presque en « Show time ». 61 victoires. En PO, énorme désillusion : des Grizzlies enragés, menés par le trio Randolph-Gasol-Conley, massacrent les éperons. 4-2. Next.

Les Spurs, pas découragés pour un sou par cette désillusion, font une saison 2011-2012 très bonne : 50 victoires en 66 parties, lock-out oblige. En PO, ils déroulent : 4-0 contre le Jazz puis 4-0 contre les Clippers. Les Texans remportent ensuite les deux premières parties contre la jeune équipe du Thunder menée par son quatuor de jeunes talents (Durant, Harden, Westbrook, Ibaka). 10 victoires de suite en PO ! Qui pourra arrêter le rouleau compresseur texan ? Et bien… le Thunder ! :D De manière d’ailleurs nette et sans bavure : menés 2-0, les gars de l’Oklahoma remportent les 4 matchs suivants. Cruelle désillusion, à nouveau, pour la bande de Pop.

A l’orée de la saison 2012-2013, l’enthousiasme est déjà un peu retombé. Certes, les Spurs revivent mais cet effectif a montré ses limites en PO, ne parvenant pas à rejoindre des finales qui semblaient à leur portée en 2010-2011 et 2011-2012. 58 victoires en 2012-2013, saison sans accrocs grâce notamment à l’éclosion de Kawhi Leonard, qui vient soutenir un duo Parker-Duncan refusant de vieillir. Au premier tour, pas de quariter pour la « Megateam » des Lakers : 4-0. Au deuxième tour, c’est plus difficile. Les Warriors de la révélation Curry vendent chèrement leur peau, mais doivent finir par abdiquer. 4-2. En finales de conférence, les Spurs se vengent des Grizzlies en leur collant un impitoyable sweep. De retour en finales, 6 ans après celle gagnée contre les Cavs du jeune Lebron James ! Après 5 matchs, c’est 3-2 pour les Spurs, qui auront notamment vu Danny Green enchainer les 3 pts avec une réussite affolante. Match 6 à Miami. Les Spurs contrôlent le match. Ils veulent le titre. Green et Parker en panne d’adresse ? Aucun problème ! Tim Duncan, avec 30 pts, et Kawhi Leonard, 22 pts, prennent les choses en main. Puis arrive une dernière minute… que je ne commenterai même pas, je pense que vous connaissez déjà très bien ce scénario :D et de plus, cela me fait mal rien que d’y penser… Dans le match 7, les Spurs se battent, restent à portée du Heat mais finissent pas s’incliner. Cruelle défaite pour une équipe qui aura véritablement toquer aux portes du paradis, sans pour autant parvenir à les ouvrir…


Boston Celtics 2008-2009

62-20 / Défaite en demi-finales de conférence contre Orlando 4-3

Aïe, celle-là fait mal :D. En tant que fan des Celtics, j’ai dû prendre quelques calmants avant de rédiger ces lignes 😉
Champion en titre, Boston ne semble pas rassasié durant cette saison 2008-2009 : à la fin de l’année 2008, la franchise de la Nouvelle-Angleterre affiche un bilan de 29 victoires pour seulement 5 défaites, des bases historiques en somme. Courant février, c’est le drame : Kevin Garnett se blesse au genou et sa saison est terminée… Glen Davis est propulsé dans le 5 et ses bonnes performances, en plus de la hausse de niveau de jeu de Pierce, Allen et Rondo permettent aux Celtics de continuer à gagner des matchs, plus de 60 au final.
Au premier tour, ils affrontent les jeunes Bulls menés par le trio Rose-Gordon-Noah et les roles players Salmons, Hinrich, Miller ou Thomas. Si sur le papier, Boston semble, même sans Kevin Garnett, bien supérieur aux taureaux, la réalité du terrain est tout autre : les Bulls surprennent les Celtics au premier match. Cela arrive souvent en PO, me direz-vous, quand le favori prend un peu trop les choses à la légère. Pourtant, ce match n’aura rien d’un simple fait d’arme sans lendemain : les matchs s’enchainent, les coups se rendent, et la série se termine par une victoire en 7 matchs des hommes en vert. Les Bulls remportent notamment le quatrième match après double prolongations et le sixième après triple prolongations.

Au tour suivant, Boston se présente face à la séduisante et montante équipe du Orlando Magic, menée par sa star Dwight Howard et ses généraux Turkoglu, Nelson ou Lewis. Malgré les 13 pts de moyenne de Glen Davis et le double-double de moyenne de Perkins, Boston s’incline en 7 matchs âprement disputés.

La frustration reste immense quand je repense à cette série et à cette saison en général. La possibilité de faire le doublé (et d’humilier une deuxième fois de suite les Angelinos 😉 ) aurait été plus que probable sans la blessure de Garnett, tant l’équipe semblait solide et rôdée collectivement. Le fait qu’ Orlando ait été proche du ridicule contre les Lakers en finales ajoute encore une petite touche de frustration supplémentaires (ce qui est également valable pour les fans des Cavs qui ont perdu en finales de conf, je suppose :) )


Phoenix Suns 2006-2007

61-21 / Défaite en demi-finales de conférence contre San Antonio 4-2

Après une saison 2005-2006 blanche, Stoudemire est de retour. Le retour du Pick n Roll Nash-Stat fait des ravages. A côté de ça, Marion, Bell, Barbosa, Diaw, Jones ou encore Kurt Thomas font un travail fantastique et font de ces Suns un prétendant au titre plus que sérieux. Au premier tour, les Lakers de Kobe ne font pas le poids. 4-1, next. Un gros morceau : rien de moins que les Spurs, déjà titrés 3 fois depuis 1999. Alors que les Suns sont sur le point de recoller à 2-2 dans la série après 4 premiers matchs serrés mais globalement dominés par l’équipe de l’Arizona, Robert Horry décide d’envoyer valser Nash dans la table des commentateurs. Diaw et Stoudemire, alors sur le banc, ont la « mauvaise idée » (bien que le réflexe soit humain…) d’entrer de quelques décimètres sur le terrain. Infraction au règlement, la décision tombera dans les heures qui suivent : Boris et Amare seront suspendus pour le match 5, tout comme l’agresseur Big Shoot Rob…

Dans un match malgré tout dominé par une équipe de Phoenix décidemment admirable durant trois quart-temps (avec une rotation à 6 joueurs, d’Anthoni style :D ), le manque des deux joueurs se fait ressentir dans le 4ème quart-temps, remporté 32-23 par les Spurs- Victoire 88-85 des Texans, en Arizona qui plus est. Les Suns ne se remettront jamais de ce coup du destin : Fort Alamo gagne le match 6 chez lui et glanera une 4ème bague de champion quelques semaines plus tard, avec sa victoire 4-0 contre Cleveland.


Phoenix Suns 2004-2005

62-20 / Défaite en finales de conférence contre San-Antonio 4-1

Comment passer de 29 victoires à 62 en une saison ? Signer Steve Nash, voyons ! C’est cette année-là que le Canadien passe du statut de « bon joueur » à celui de MVP. Autour de lui, Joe Johnson, Quentin Richardson et même Shawn Marion artilent à 3 pts. Besoin de points dans la peinture ? Pick N Roll avec Stoudemire. Fracassages de cercles après fracassages de cercles, l’équipe de l’Arizona séduit presque toute la ligue et révolutionne le basket des années 2000. Alors que les années post-Jordan avaient vu un basket lent et défensif basé sur le 1 contre 1 à outrance ce développer, d’Antoni dit merde à tout cela. Les Suns courent, « seven seconds or less rules”, attaque le cercle avec sauvagerie, enchaînent les alley-oops, tirent en première intention. Les ancêtres des Warriors de Curry,en somme.

En PO, aucun problème contre les Grizzlies du jeune Pau Gasol au premier tour. 4-O, merci, au revoir. Les Mavericks sont un peu plus costaud au deuxième tour. Ils prennent 2 matchs à la bande de pistoleros de l’Arizona. En finales en conférence, les Spurs se dressent devant les Suns. Malgré des matchs serrés, les Texans remportent la série 4-1. Ce score me paraît encore aujourd’hui très sévère, tant Phoenix aura su pousser la dynastie naissante des Spurs dans leurs derniers retranchements. Stoudemire aura notamment martyrisé Tim Duncan, rien que ça, en plantant plus de 37 ( !) points de moyenne sur la série. Fait important à noter : Joe Johnson, titulaire indiscutable au poste 3 et indispensable aux Suns, se blesse durant le troisième match de la série et oblige Phoenix à jouer les deux dernières parties sans lui…



Sacramento Kings 2001-2002

61-21 / Défaite en finales de conférence contre les Lakers 4-3

L’une des plus grosses désillusions parmi les désillusions, définitivement. Surtout lorsque l’on sait maintenant que ce match a été truqué par les officiels sur ordre des hautes instances de la NBA…

Les Kings de 2001-2002, c’était juste des ovnis. J’ai dit que les Suns de D’Antoni étaient les « grands frères » des Warriors de Curry, les Kings seraient alors les grands-pères des Dubs. Adelman, grand bonhomme du coaching NBA, est le maestro, le chef d’orchestre. Les saisons d’avant, le meneur titulaire se nommait Jason Williams. Spectaculaire, certes. Machine à highlight, certes. Streetballer, certes. Mais aussi peu efficace et gaspilleur de ballons. Basta. Echange contre Mike Bibby. C’est véritablement à ce moment-là que la fantastique aventure des Kings 2001-2002 commence. La structure est déjà là : Webber, Stojakovic, Christic, Divac, Turkoglu, Pollard, Jackson…
En saison régulière, ça dégaine et cavale dans tous les sens. 61 victoires. Les Kings ne rigolent plus, ils ne sont plus les risées de la ligue. Confirmeront-ils en PO ?

Les deux premiers tours sont de simples formalités : 3-1 contre le Jazz (premier tour en 5 matchs) puis 4-1 contre les Mavs de Nowitzki, Nash et Finley. Tout roule pour la capitale de la Californie, jadis fondé par un immigré suisse, Herr Suter. Parenthèse mis-à-part, le grand voisin californien, Hollywood en personne, les Lakers, se présentent. Pourtant, les Kings s’en foutent des Lakers. Ils n’en ont en tout cas pas peur. Ils leur rentrent dedans, les bloquent dans les cordes. Après 5 matchs, ça fait 3-2 pour les Kings, avec 2 occasions en or de terminer le début de dynastie Shaq-Kobe. Arrive le fameux match 6, le match des arbitres ripoux. Les Kings mènent à la mi-temps, tout semble rouler pour eux. Et le festival arbitral commence. La moindre touchette, le moindre courant d’air donne des lancers aux Lakers. En tout fin de match, serré malgré l’arbitrage plus que maison, les Lakers ont une remise en jeu décisive. Les Kings sont de véritables sangsues, ils ne laissent pas le moindre centimètre d’espace aux Angelinos. Puis soudain, Kobe donne un bon vieux coup de coude en mode catcheur à Bibby, avant de recevoir la passe. Pas de faute. Le match est terminé, les Lakers s’offrent un match 7. Malheureusement, les Lakers remporteront encore celui-là. En prolongation. Les Kings ne seront pas loin de filer en finales NBA, mais le 16 sur 30 aux lancers-francs fera bien mal au moment de faire les comptes…


Utah Jazz 1996-1997

64-18 / Défaite en finales NBA contre Chicago 4-2

Difficile de choisir quel Jazz choisir (1996-1997 ou 1997-1998). Néanmoins, celui de 1996-1997 me semblait encore plus dominant, complet et moins âgé que celui de la saison d’après.

Depuis de nombreuses saisons, le duo Malone-Stockton a fait du Jazz une solide équipe au sein de la conférence Ouest. Cependant, ils ne sont encore jamais allés en finales. C’est le moment où jamais, surtout que le duo va sur ses 34 ans. Soutenus par Hornacek, Russell et Ostertag, avec Carr, Anderson et Eisley apportant des points précieux en sortie de banc, le duo, dirigé par le légendaire coach Jerry Sloan, écrase la conférence ouest et obtient 64 victoires.

En PO, les mormons transforment les deux équipes de LA en paillassons (3-0 contre les Clippers, 4-1 contre les Lakers). Les finales de conférence contre des Rockets plus que vieillissants du trio Olajuwon, Drexler-Barkley se terminent en 6 matchs par un buzzer beater légendaire de John Stockton à 3 pts. Finales, nous voilà !

Les quatre premiers matchs sont défensifs et serrés, 2-2 balle au centre. Dans le match 5, Utah possède 5 pts d’avances à l’entrée du quatrième quart-temps. Dans les dernières secondes, Michael Jordan joue en 1 vs 1 Byron Russell. Dribble sur la gauche, feinte, fade-away. Ficelle. Chicago prend le match 5. Et prendra aussi le match 6. Ce Jazz n’aura absolument pas démérité, jouant yeux dans les yeux avec la meilleure dynastie de l’histoire. Seulement, Jordan est passé par là…


Seattle SuperSonics 1995-1996

64-18 / Défaite en finales NBA contre Chicago 4-2

Au début des années 90, la franchise aujourd’hui disparue de Seattle était une très solide équipe au sein de la conférence ouest, reposant sur un duo Kemp-Payton explosif. Schrempf, Hawkins et Perkins complètent le 5 de base. En 1995-1996, les Sonics se disent que toucher le graal serait tout sauf désagréable. En saison régulière, les Sonics régalent avec un jeu léché et collectif. 64 victoires pour la pluvieuse ville de l’état de Washington.

En Playoffs, les Sonics atteignent les finales de conf en 8 petits matchs : 3-1 contre les Kings puis 4-0 contre les Rockets. Les finales de conférence contre le Jazz de Stockton-Malone sont un véritable thriller : 7 matchs âpres et disputés. Seattle mène 3-1 dans la série avant de se faire rejoindre, 3-3. Dans un match 7 insoutenable, les Sonics finissent par l’emporter 90-86. Michael Jordan, on aura te peau !
Ça commence pourtant bien mal. 2 matchs à Chicago, 2 défaites. Et ça continue dans le match 3 à Seattle. 3-0. Est-ce que Chicago va réussir son premier sweep dans les finales NBA. ? Non. Car Gary Payton a une idée derrière à la tête. Il va vers son coach, George Karl, et lui dit « Coach, laissez-moi défendre sur Jordan. Il nous lamine. De toute façon, nous n’avons plus rien à perdre. » Résultat des courses ? Un Jordan à 6 sur 19 aux tirs dans le match 4, puis à 11 sur 22 dans le match 5, mais avec « seulement » 26 pts au compteur. Les Sonics sont-ils en passe de réussir un come-back historique ? Non, malgré des Bulls limités à 87 pts et Jordan à 22 pts dans le game 6, l’attaque de Seattle câle : 75 petites unités en 48 minutes.

On ne saura jamais ce qui aurait pu se passer si Payton, l’un des tout meilleurs défenseurs de l’époque, si ce n’est le meilleur, avait défendu sur MJ dès le début de la série. Quoi qu’il en soit, ces Sonics restent l’une des toutes meilleures équipes non-titrées.


Phoenis Suns 1992-1993

62-20 / Défaite en finales NBA contre Chicago 4-2

Déjà une équipe solide en 1991-1992 (53 victoires et des demi-finales de conférence), les Suns explosent avec l’arrivée de Sir Charles. 25 pts, 12 rebonds, 5 passes, 1 interception et 1 contre pour Barkley. Accompagné de trois joueurs à plus de 15 pts par match (le sniper Marjerle, le meneur Jonhson et l’athlétique rookie Richard Dumas) ainsi que des rôles players comme Ainge, Chambers, Ceballos, Miller ou West, les Suns broient la conférence ouest.

En PO, les choses se compliquent. Dans un premier tour au meilleur des 5 matchs, les Lakers, de Divac, huitième de conf, mènent 2-0 contre la bande à Barkley. Dos au mur, les Suns reprennent leurs esprits et remportent les trois matchs suivants. En demi-finales contre les Spurs de David Robinson et Avery Johnson, les Suns passent en 6 matchs disputés. Place à la suite. Finales de conférence contre Seattle : les équipes se rendent coup pour coup et il faut un énorme Barkley au match 7 (44 pts 22 rebonds) pour vaincre les Sonics de Payton, Perkins, McMillan et Kemp.

Barkley retrouve son vieil ami Michael Jordan en finales. Phoenix perd les deux premiers matchs à domicile, avant de remporter le troisième match. Malheureusement, Chicago profite des 55 pts de Jordan pour emporter le match 4 à Chicago et mener 3-1 dans la série. Les Suns ne veulent pas lâcher et gagnent le match 5, 3-2. Le match 6 à Phoenix est dominé par les Bulls durant 3 quart-temps mais l’équipe de l’Arizona, dans un dernier baroud d’honneur, recolle au score dans le quatrième quart et passe même devant. 98-96 en faveur des Suns à 15 secondes de la fin du match. Ce sera la victoire ou la prolongation. Sauf que… non. Incroyable bévue tactique des Suns : la défense de Phoenix se focalisent beaucoup trop sur la défense du cercle et du tir à mi-distance et laisse à John Paxson un tir à 3 pts d’entrainement. 98-99 pour les taureaux.


Mentions
San Antonio Spurs 2016-2017
Oklahoma City Thunder 2015-2016
Chicago Bulls 2010-2011
Cleveland Cavaliers 2008-2009
Dallas Mavericks 2006-2007
Dallas Mavericks 2005-2006
Detroit Pistons 2004-2005
Portland Trail-Blazers 1999-2000
New York Knicks 1993-1994
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Re: Vos souvenirs NBA Finals

Post by PopJH13 » 29 July 2019, 23:03

Petite erreur sur les W's Green est suspendu pour le match 5 pas 6

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Re: Vos souvenirs NBA Finals

Post by UJ3212 » 29 July 2019, 23:04

Tu m'as fait rêver David. Un plaisir de te lire :merci:
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"Jordan Clarkson must have the most fun job in the NBA. Come off the bench and just shoot"

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Re: Vos souvenirs NBA Finals

Post by PopJH13 » 29 July 2019, 23:04

Quel gâchis Phoenix ... Jamais de titre avec une équipe incroyable
A contrario j'ai du mal a être triste pour les Warriors ou les Spurs parce qu'il se rattraperont bien par la suite

RowLegion

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Re: Vos souvenirs NBA Finals

Post by RowLegion » 29 July 2019, 23:18

Tout ça ne nous dis pas si il a vu toutes ces finales ou si il nous a fait un résumé :roll: :-\
Jeux 24" : Confrontations fantaisistes : www.basketusa.com/forum/viewtopic.php?f=37&t=2685

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Re: Vos souvenirs NBA Finals

Post by PopJH13 » 29 July 2019, 23:53

Il y a pas que des finales

Davidbachu_95

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Re: Vos souvenirs NBA Finals

Post by Davidbachu_95 » 30 July 2019, 10:18

PopJH13 wrote:
29 July 2019, 23:04
Quel gâchis Phoenix ... Jamais de titre avec une équipe incroyable
A contrario j'ai du mal a être triste pour les Warriors ou les Spurs parce qu'il se rattraperont bien par la suite

Oui, ça joue également un rôle important au moment de choisir les déceptions :)

Le truc, c'est que la défaite des Warriors en 2016 a eu un impact énorme sur les années qui ont suivi. S'ils-sont champions, est-ce que Durant débarque? Est-ce que les Rockets ne parviennent pas à remporter le titre en 2018? Est-ce que l'on a pas un titre des Spurs en 2017? :D

Pour San Antonio, c'est peut-être plus l'accumulation d'événements qui fait mal (Défaite en 2011 contre Memphis, défaite contre OKC en finales de conf après avoir mené 2-0 et cette défaite contre les Tres Amigos après avoir mené 3-2...et 47 minutes :D dans le match 6.

Boston, c'est l'affectif qui parle :D L'équipe a déjà son titre, les Celtics mettent fin à 22 ans sans titre. Et en 2009, ils sont pour moi supérieurs aux Lakers (avec Garnett). Après, tu as une occasion de remporter un nouveau titre en 2010. Saison étrange, d'ailleurs. Les Celtics semblent vieillissants en saison régulière et obtiennent une petite cinquantaine de victoires. En tant que fan, on se dit qu'on risque d'être battu en demi-finales de conf voire en finales de conf. L'équipe passse Miami, puis Cleveland, puis Orlando... On se met à rêver. En plus, c'est le classique des finales NBA: Lakers-Celtics.

Et puis... 3-2 dans la série, Perkins se blesse... On se retrouve avec Sheed en pivot titulaire (à 36-37 ans...). Malgré tout, le match 7 commence bien mais le manque de Perkins au rebond fera trop mal à mes Celt's' (18 rebonds pour Gasol je crois).

Bref, c'est un autre sujet, tant les Celtics de 2010 ne font définitivement pas partis des meilleures équipes non-titrées de l'histoire :)

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